Exorde

qui est prescription des parties de la lettre (genre judiciaire, délibératif, démonstratif) Taches de l’orateur Inventio- dispositio – elocutio – memoria – actio Parties du discours La référence est la théorie du discours judiciaire : exorde (intro) « captatio benevolentiae » narration (exposition) argumentation(confirmation, réfutation) péroraison(conclusion) Rhétorique générale à la rhétorique épistolaire La lettre et le genre démonstratif Ce qui relève de l’éloge, de

écrivain que pour un homme ‘ou une femme ordinaire de s‘exprimer en public ? Pourquoi ? - Vous étes-vous déja trouvé(e) en situation de parler en public ? En quoi est-ce difficile ? Analyse Comment chaque orateur suscite-t-il ‘attention dans son exorde ? Par quelle formule chacun sadresse-t-il au public ? 2 Ataide de Vencadré « Connaissances », délimitez les cing temps du discours de l’oratrice au Mémorial de Caen. 3 Quels arguments servent la these de loratrice ? 4 Comment réfute-t-elle la

destruction. Néanmoins que serait un monde sans sucre ? Parfois, il est nécessaire de faire des compromis, afin de trouver une touche de fantaisie, de douceur dans ce monde plein de conflits. Légende :Lg 1 à 22 : Exorde Lg 23 à 58 : Narration + Argumentation Lg 58 à 62 : Péroraison Question rhétorique Comparaison Personnification Hyperbole Anaphore

ellipse n. f. Procédé syntaxique ou stylistique consistant à omettre un ou plusieurs mots à l'intérieur d'une phrase, leur absence ne nuisant ni à la compréhension ni à la syntaxe.Ellipse du verbe : " Pierre mange des cerises, Paul des fraises " exorde n. m. Première partie d'un discours. Par extension, Entrée en matière. gémination n. f. Répétition d'un mot.(sens linguistique : doublement d'une syllabe ou d'un phonème dans une formation familière (ex : mémère, chinchinchard). hendiadyin ou

soucieux de préserver durablement la paix. Plan : I une maitrise oratoire et discursive ( : basé sur le raisonnement) 1) une organisation des paragraphes * par thème = pensée organiser : meilleure compréhension 1er : présente la situation + exorde (susciter la bienveillance/ montre sa psychologie) 2nd : le pardon 3ème : la fermeté 2) construction des phrases *connecteurs : articule ses idées * construction chronologique : adverbe de closure 3) Situation d’énonciation *pronom

aveugle. « Le tragique n’est jamais que ce qui semble ». (Scherer) I. 2. La rhétorique du discours Même en proie à la passion, la dramaturgie classique impose un ordre rigoureux. Tirade organisée selon la rhétorique classique : rappel ( : -exorde (bienveillance de l’auditoire, captatio) -narration : exposé des faits, récit : essentielle dans le genre judiciaire, et épidictique, elle est moins importante dans le genre délibératif (caractère opportun ou inopportun d’une décision à prendre)

discour de rhétorique (il y a d’abord trois phases de préparation avant le discours) 1) l’invention, la connaissance du sujet, les arguments que l’on va aborder pour convaince un auditoire, les plus perfomants possible. 2) La disposition : * exorde : créer l’accroche, interpeler l’auditoire, capter son attention. * narration : exposer les faits en étant le plus objectif possible. * confirmation : construction des formules de rhétorique, annoncer le arguments de défense. * réfutation

(métaphore=puissant car point d’appui), argument de cadrage (présenter le réel d’un certain point de vue, amplifier certains aspects), argument de communauté (basés sur des valeurs/croyances partagées par l’auditeur) Disposition = savoir faire un plan : 1) exorde (comment captiver l’attention et la bienveillance de l’auditoire), 2) narration (enjeu du débat, opinion de l’orateur), 3) argumentation (raisons pour soutenir l’opinion), 4) péroraison (synthèse en utilisant une formule frappante) Action = savoir

un recueil de lettres) éponyme : personnage qui donne son titre à une œuvre esprit critique : esprit qui soumet tout à l’examen euphémisme : façon de présenter une réalité brutale ou blessante en atténuant son expression pour éviter de choquer exorde (n.m.) : première partie d’un discours, entrée en matière Filigrane : par transparence, à l’arrière-plan fonctions (cf. : schéma de la communication) :           - référentielle : message qui présente le référent          - phatique : parler

et l’absurdité de sa conduite. Catilina, par le portrait que nous en a fait Cicéron, apparaît comme un être déshumanisé, un fou. Dès lors, il ne suffit pas de se défendre contre cet homme dangereux, il faut riposter : c’est un homme à abattre. Cet exorde a donc aussi pour objectif de faire réagir les sénateurs comparés, implicitement, à des bêtes qui se laissent égorger sans rien faire. Le déchainement dont fait preuve Catilina contraste fortement avec l’inertie du Sénat que Cicéron ne peut que déplorer