Euthanasie Passive

Document de réflexion de l’ACSP sur l’euthanasie, le suicide assisté et les soins de fin de vie de qualité Approuvé: 24 avril 2010 Introduction En juin 2005, un député a présenté un projet de loi (projet de loi C-407) devant le Parlement fédéral en vue de légaliser l’euthanasie et le suicide assisté. Ce projet de loi ne se s’est pas concrétisé, mais a été de nouveau présenté sous forme du projet de loi C-562 en juin 2008, puis encore sous forme du projet de loi C-384 en mai 2009. Ce projet

L'euthanasie : le pour et lecontre POUR | CONTRE | Perte de la qualité de vie | Comment évaluer la qualité de vie? | La personne malade souffre | Où est la limite de la souffrance? | L'homme est propriétaire de son corps | Certains médecins pensent qu'il faut simplement améliorer les soins palliatifs et non donner la mort, grâce à ces soins l'euthanasi est inutile | L'euthanasie redonne une dignité humaine aux souffrants, c'est un droit que de mourir dans

L'euthanasie se réfère à délibérer fin de la vie d'un individu avec son propre désir. Il est généralement demandé par les patients en phase terminale. Alors que certains soutiennent la pratique de l'euthanasie comme un moyen de soulager une de l'agonie d'une vie pénible, pourquoi d'autres contre elle en disant qu'elle viole le caractère sacré de la vie ... L’euthanasie est contestée par ceux qui croient que c'est contre la volonté de Dieu pour mettre fin à une vie, que ce soit volontaire ou involontaire

B) Le droit de Mourir dans la dignité « Je vous réclame le droit de mourir » écrivait Vincent Humbert au Président de la République, Jacques Chirac. Comment faire d’un droit ce qui est un fait, ce qui est intrinsèque à l’humanité, puisque tous les hommes meurent un jour ou l’autre. Il faut alors ici comprendre le « droit de mourir » comme un droit de mourir avant l’heure, de décider soi-même qu’il est temps de partir. Précisons les termes, puisque nous parlons de « droit de mourir dans la dignité »

L’euthanasie : un droit ? une liberté ? Axel Kahn* . La société n’a pas à autoriser l’homicide par la loi mais il convient qu’elle sache se montrer indulgente. Il semble que le terme d’euthanasie ait été créé par le philosophe Francis Bacon au début du 17e siècle. Son sens étymologique est « bien mourir ». Le débat sur les conditions dans lesquelles la loi devrait déterminer les règles à appliquer pour bien mourir est déjà très ancien et rebondit régulièrement. La Hollande et la Belgique autorisent

Document source |Information apportés par le document|Fiabilité de la source/critique| Périodique :Le monde du 06/04/2008 auteur : Cécile Prieur|Le droit de mourir, suicide d’une patiente qui souffrait horriblement d’une déformation du visage dûe à une tumeur incurable| Il s’adresse aux citoyens | Revue :Le nouvel observateur du 31/10/2012 auteur : Sipa Paris|Améliorer la loi Leonetti pour permettre aux patients de bénéficier d'une meilleure aide médicale et de lutter contre l'acharnement

les progrès scientifiques au XXe siècle ont pu ouvrir la voie à une médecine conquérante et envahissante, et une impression de maîtrise technique rejaillit sur la totalité de la vie individuelle : d'ailleurs de la naissance à la mort, la vie du citoyen est marquée par une succession d'étapes médicales (vaccins, visites médicales, contrôles divers, traitements hormonaux...) La majorité des naissances et des morts se passent à l'hôpital. Le fait en lui-même ne suscite pas la critique. Mais l'hospitalisation

fiche d'arrêt n°20: CEDH, 29 avril 2002 Les faits: Atteinte d'une sclérose incurable en phase terminale, la demanderesse qui avait conservé toute sa lucidité, avait exprimé la volonté de mettre fin à sa vie pour échapper à sa souffrance et à une mort indigne. Empêchée par sa maladie de le faire elle même, elle sollicitait l'aide de son mari mais entendait auparavant être assuré que ce dernier ne ferait pas l'objet de poursuites. La procédure: La demanderesse forme un pourvoi auprès

L'EUTHANASIE : pour ou contre? L’euthanasie est l’acte d’un tiers qui met délibérément fin à la vie d’une personne dans l’intention de mettre un terme à une situation jugée insupportable. L’euthanasie réclamée par le malade, est dite : « volontaire ». L’euthanasie faite à l’insu du malade (incapable d’exprimer sa volonté) , est dite : «  imposée ». Mode « opératoire » : Injection d’une drogue ou d’un produit toxique. Omission d’administrer un traitement indispensable. Suicide Médicalement

de mourir, euthanasier cet homme ou cette femme reviendrait à tuer son humanité, à supprimer sa dignité morale et à lui enlever son pouvoir de se définir lui-même en tant qu’humain. Nous pouvons également regarder cette question sous l’angle du remord. Le remord est (entre autre) ce qui nous différencie de l’animal. Seul l’Homme peut éprouver un sentiment de culpabilité face à une action qu’il a posé, et ce regret est présent chez chaque être humain. Hors, pour qu’il y ai euthanasie, il doit y