Être-vers-la-mort

La mort apparaît pour Montaigne comme étant la conséquence directe de la vie et la vraie sagesse doit ainsi conduire à l’acceptation de cette mort ; d’où cette fameuse formule, inspirée des sagesses antiques, qu’il reprend à son compte : « que philosopher c’est apprendre à mourir. » Ce qui sous-tend cette maxime, c’est l’idée que la philosophie serait à même de préparer l’individu à sa propre mort, qu’elle serait un remède contre l’angoisse quotidienne que suscite cette fatalité. Les circonstances

(prolepse). Il représente la belle et jeune Hélène de Surgères chez elle, à la fin de sa vie. Hélène est évoquée au futur « vous serez » (vers 1 et 11). Le cadre de la scène est celui de l’intimité domestique.  « auprès du feu » « au foyer ». Le moment de la journée choisi est le soir. Le  soir a une dimension symbolique. Il représente l’approche de la mort, la fin de la vie humaine. L’éclairage de la scène est parcimonieux : la chandelle, la lueur du feu. C’est un univers rétréci. Comme la flamme

La Mort et le Bûcheron -La Fontaine (Jean de) Poète français (1621-1695), (17) XVIIe sièce-le Connus pour ses recueils de fables mais aussi pour ses contes en vers, souvent libertins. Ami proche de Fouquet. Se plia aux obligations de rigueur – faire l’éloge du roi – tout en critiquant la Cour, d’un point de vue moral et politique. -Fables : Le Corbeau et le Renard / La Cigale et la Fourmi / Le Loup et l’Agneau / La Mort et le bûcheron / Le Chêne et le Roseau / Le Loup et le Chien / Les Deux

contexte P ouvant certainement être considérée comme une pièce marquante de l’œuvre de Lamartine, Milly, ou la terre natale est un exemple caractéristique de l’impeccable harmonie propre à l’auteur. Ces lignes mélodieuses illustrent magiquement l’amour et les souvenirs qu’évoque chez le poète son lieu de naissance. Dans ce poème, ce dernier montre clairement l’attachement incroyable qui le lie au berceau de son enfance. Attachement menacé, puisqu’au moment d’écrire ces vers, sa situation financière désastreuse

vert, lumière pleut, frais cresson |Ce champ lexical exprime l’apaisement du soldat en contact avec| | |bleu, nue |la nature. ( l’opposition entre la vie et la mort). | | | |L’homme guerrier vient prendre la vie du soldat que la Nature a | | |

sentiments humains et de leur violence. Texte en relation avec le célèbre poème de Pierre de marbeuf « Et l'amour et la mer ont l'amer pour partage ».   L’horloge : Avec ce poème, Baudelaire adresse un message à portée universelle (cf. le "nous" du vers 2), ce n'est pas ici seulement le poète qui est impliqué. Le Temps est en fait le symbole du drame dont l'homme est le théâtre.  L'homme, dont la vie est jalonnée par la souffrance et les fautes, dont il se repent trop tard, manque de plus à la vertu

|Il était instituteur à Châteaubriant et fut bouleversé en voyant les corps des hommes | | |fusillés, dont Guy Môquet en représailles à une action de la Résistance (mort du | | |commandant Karl Hotz) . | | |

toujours réservé une place privilégiée à la penser de la mort. Oui mais à une exception près : la nôtre. De nos jours, on s'entêtent à penser en effet que « la mort n'est rien pour nous » ou on y penser le moins possible. Résultant : nous risquons de passer notre vie à courir, nous divertir, nous abrutir au travail, pour nous retrouver fort dépourvus lorsque la mort viendra. Et paradoxe observé : si nous oublions bien volontiers notre mort, nous sommes en revanche tétanisés à l'idée que les autres

Commentaire de texte: « Il n'aurait fallu », Le Roman Inachevé d'Aragon Louis Aragon est un écrivain et poète né en 1897 et mort en 1982 ayant participé au mouvement surréaliste. Il écrit en 1956 son recueil de poème Le roman Inachevé, dans lequel il se penche sur sa vie passée, il s'agit en quelque sorte d'une autobiographie en vers. « Il n'aurait fallu » est un poème qui appartient à la partie « l'amour qui n'est pas un mot » du recueil. Il parle de la volonté de vivre retrouvée

Philippe JACCOTTET Explication linéaire Fleurs, oiseaux, fruits, c’est vrai, je les ai conviés Le thème de la mort occupe une place essentielle dans l’œuvre de Philippe Jaccottet. Dans ses premiers écrits, il l’exprimait de façon lyrique avec un certain effroi. Plus tard, dans Leçons et Chants d’en bas il l’aborde avec intimité, déchirement et un questionnement parfois morbide puisque ces poèmes évoquent le deuil de personnes qui lui ont été chères, son beau-père et sa mère. C’est dans