Étoile de mer

Les Étoiles Théodore de BANVILLE Recueil : "Rondels" Les cieux resplendissants d’Étoiles Aux radieux frissonnements, Ressemblent à des flots dormants Que sillonnent de blanches voiles. Quand l’azur déchire ses voiles, Nous voyons les bleus firmaments, Les cieux resplendissants d’Étoiles Aux radieux frissonnements. Quel peintre mettra sur ses toiles, O Dieu! ces clairs fourmillements, Ces fournaises de diamants Qu’à mes yeux ravis tu dévoiles, Les cieux resplendissants d’Étoiles

musique (comparé) est comme une mer (comparant). On perçoit ici le dénominateur commun des deux termes : c’est le mouvement (celui du rythme musical, celui des vagues, du flux et du reflux de l’eau). L’idée de mouvement est présente aussi dans le verbe prend (=saisit, emporte). Ce mouvement s’exerce sur le me qui, en position centrale dans le vers, est littéralement « pris » entre musique (position initiale) et mer (position finale). ... musique ... me ... mer : remarquons l’allitération en m

également subdivisée en 2 sous-parties, et ce sont également les mots placés en anaphore qui indiquent le thème : Le vocatif « Poète » fait de celui-ci le destinataire du message proféré par la voix de l’au-delà, qui définit son rôle, Les termes « La mer », « Le vent » et « l’astre », placés en début de vers ou d’hémistiche, précèdent l’interprétation successive de chacun des éléments de la vision. St. 1 : La mise en place de l’allégorie : La 1e strophe dessine visuellement l’allégorie, réduite à

d’Asie « Je suis l’alpha et l’oméga », il est il était et il vient. Ses yeux sont comme une flamme ardente, ses pieds pareils à de l’airain, dans sa main droite, sept étoiles, dans sa bouche une épée acérée à double tranchant. Il est assis au milieu de sept candélabres, représentant les sept églises. Les sept étoiles sont les anges. |EPHESE |SMYRNE |PERGAME |THYATIRE |SARDES

trad. G.Pingré, Paris 1786) Ronsard : Hymne des Étoiles, 1555 (extrait, Premier livre des Hymnes) Georges Buchanan : La Sphère (extrait du Livre III, vers 383 à 412) Jean-Edouard Du Monin: L'Uranologie, ou le Ciel (extrait, Paris, 1583) Guy Lefèvre de la Boderie : Cantique sur la nouvelle étoile (Divers Mélanges Poétiques) Alphonse de Lamartine : Les Étoiles (extrait, Nouvelles Méditations Poétiques, 1823) Alexeï Khomiakov : Les étoiles (trad. I.Astrow, dans : Poésie Russe, anthologie

comportement. En choisissant ce sujet, j'avais pour but d'élargir ma culture à propos de toutes ces croyances, ces superstitions. Je voulais aussi par cette occasion, mieux comprendre quelle était l'importance de la position des étoiles dans le ciel pour les Romains, ce que ces étoiles signifiaient et pourquoi ca avait une influence sur leur comportement et sur leur mode de vie. De plus, je trouve très intérressant de savoir pourquoi telle planète porte tel nom, savoir la signification de chaque mois

présent, on peut également retrouver des mots comme; luit, lumière, mirera, soleil, étoile, et lune pour expliquer cette relation entre la nature et les astres. De plus, dans le troisième vers, le fait que les verbes soient employés au futur est pour expliquer ce que deviendra le temps en fin de journée. On peut le constater avec cet exemple;« La lune, ce soir, dans les mares Mirera son visage bleu, Quand les étoiles peu à peu Paraîtront les floraisons rares. » Dans ce vers, l’auteur démontre bien

fixes ou clignotants »), enfin il y a un jeu sur les oppositions entre la nuit profonde, l’eau profonde et les couleurs lumineuses des phares et des bateaux. Les quatre éléments participent au spectacle : - La mer l.4, l’eau profonde l.23 = EAU - deux autres feux l.9, des étoiles l.24 = FEU - Yeux vivants de la terre l.15, bancs de sable l.22 = TERRE - plus sombre que le ciel l.23 = AIR Les quatre éléments sont récurrents ce qui permet un spectacle total. On peut repérer aussi un jeu sur

elle le devint. Rép. calembour 26. C’était si plein, on n’aurait pas pu y mette une épingle. Rép. hyperbole 27. La douceur fleurie des étoiles Rép. métaphore 28. Voici que décline la lune lasse vers son lit de mer étale. Rép. allitération 29. Mon esprit est pareil à la tour qui succombe. Rép. comparaison 30. La nuit splendide et bleue est un paon étoilé. Rép. métaphore 31. Le navire était noir mais la voile était blanche. Rép. antithèse 32. Je ne sais rien mais je dirai tout. Rép. paradoxe

la répétition de « je suis ». Ligne 14 : « quelques-unes, cependant, semblaient courir », une personnification des étoiles, ligne 15 : « bâtiments en marche », une personnification des bateaux, pourvus, ici, de jambes avec la métonymie « bâtiments ». Enfin, le dernier paragraphe de l’extrait laisse présager un petit retour à la réalité puisqu’il est utilisé l’expression « vraies étoiles », ligne 17, comme si Pierre revenait d’un rêve. Cela contraste avec le mot « firmament », ligne 17, qui est quelque