Est Il Raisonnable De Désirer

p.149-150:Le devoir conjugal Swann désir le devoir conjugal tout en sachant que ce sera la fin de sa passion pour Odette.Il ne peut donc être que malheureux (p.160: «si priver un malade de son vice ou lui ôter son mal est encore raisonnable ou même possible»). Swann souffre de ne pas savoir ce que fait Odette lorsqu’il n’est pas avec elle. Cependant, le mystère engendre la jalousie qui provoque le désir qui fait l’amour ou plutôt la passion amoureuse. p.150: «Mais du sein de son état morbide,

La Nouvelle Héloïse, a pour thème le rapport du désir et du bonheur. On est heureux qu’en satisfaisant des désirs. En effet la plupart des personnes suppose que la satisfaction du désir va de pair avec le bonheur, or est-ce bien le cas ? Est-ce ce que démontre Rousseau ? Le désir fait-il notre bonheur ou bien notre malheur ? Au final, le désir cherche t-il réellement à être satisfait ? L’auteur remet en cause dans ce texte, l’aspect négatif du désir, en approuvant que celui-ci ne nous fasse pas forcément

de contact, cela n’a aucun autre sens que créer du contact * fct métalinguistique : définition du dico * ex : le chat est un mammifère Les pub on un intérêt, on doit vendre un produit, on doit créer un désire donc créer du manque : Le modèle AIDA : attention, intérêt, désir, achat La pub fct repose donc sur la séduction Société hédoniste : je consomme donc j’existe et donc le language est à des fins promotionnelles. b) La vision de l’argumentation rhétorique : la question du

pas oublier que l’état de nature n’a pas de lois ni de règles. Donc les hommes sont dans un affrontement constant car au fond le désir de se conserver c’est ce qui va déterminer chacun à s’approprier tout ce qu’il juge utile à cette conservation de soi. Tous les coups sont permis : la loi de la jungle, la loi du plus fort. Ce désir se ramène en dernière analyse à un désir de puissance. Car elle est le seul moyen pour l’homme de garantir sa jouissance future. Hobbes dira que l’homme n’est pas naturellement

Marcel Proust écrit que « le désir fleurit, la possession flétrit toutes choses ». Vous discuterez cette affirmation. Quand on cherche à comprendre « le désir fleurit, la possession flétrit toutes choses », citation de Marcel Proust, on peut percevoir les mots de façons différentes. Le désir c’est ce que l’on recherche et que l’on pense être source de satisfaction. Le désir est différent du besoin car s’il n’est pas satisfait cela n’est pas mortel pour l’être humain. Quant à l’idée de

d’abord une affaire de pulsion. On peut préciser que c’est une pulsion de groupe, « être comme les autres », être en conformité avec le groupe . Les mœurs expriment pour Nietzsche une morale du troupeau. Elles sont relatives au désir d’obéir, de suivre, d’être commandé. Le bien est ce qui est normal ; le mal est ce qui anormal, non ordinaire. Parler de pulsion de groupe signifie qu’il y a une force qui pousse le groupe à accomplir des actions qui vont

l’immédiateté du vécu, c’est pour la pensée faire retour sur quelque chose afin d’en interroger le sens, la valeur ou bien le fondement. Ici la réflexion porte sur nos désirs. Non pas les désirs comme s’il s’agissait de penser en terme général l’objet désir mais nos propres désirs. C’est dire que ce qui est interrogé nous concerne de manière intime et totalement personnelle. La question est de savoir « ce que peut nous apporter » une telle réflexion. Avec l’expression « peut » l’énoncé suggère que

peut refuser les sensations et les émotions du corps alors que l’animal n’a pas d’intelligence pour pouvoir refuser le corps, il va suivre son instinct, sa sensibilité. En effet, l’animal quand il a peur, il fuit, quand il a soif, il boit, quand il désire une chose, il la prend, il est en quelque sorte privé de liberté. L’homme est le seul capable de refuser ce que lui demande son corps. II)La force de résistance de l’âme Alain montre les différents degrés de la force de refus. -« Le total refus est

à connaître certaines choses de la vie. Par ailleurs on associe facilement la connaissance à la science, or après la théorie on trouve la pratique, c'est à dire l'expérience de cette théorie afin de la confirmer. De plus il arrive souvent que l'on désire faire une expérience, pour savoir ce que ça fait, donc en connaître la sensation, comme les parc à sensations fortes. Cette soif d'expérience pourrait venir de préjugés posés par la société, des préjugés que l'on voudrait confirmer, donc que l'on

l’expansion des savoirs et de la confrontation des hommes entre eux à l’occasion des voyages, par exemple. Comme si le fait d’acquérir d’avantage de connaissances et de biens matériels donnait à l’être humain, non pas un sentiment de satiété avec le désir d’en rester à ses acquis du moment, mais, au contraire, l’impérieuse volonté de bâtir, avec ces acquis mieux répartis et mieux utilisés, la cité idéale, la société parfaite dont tout homme a rêvé un jour…La puissance du rêve utopiste a porté avec force