Équivalence logique

1. ? Assertion qui indique un fait auquel le locuteur ne croit pas, ou exprime une opinion qui n'est pas la sienne ; par ext., assertion contraire à la vérité. 2. ? Menteur (paradoxe du ) : argument sceptique contre la raison et paradoxe logique (auquel la théorie des types donne une solution) : Épiménide le Crétois dit que les Crétois sont menteurs, donc il ment, mais alors les Crétois ne sont pas menteurs, donc il ne ment pas, mais alors il ment, etc. héros : Personnage principal

Cyrano de Bergerac. Don juan dans ce texte soutient une thèse, il ne croit pas en la fidélité, il prône l’inconstance et donc pour cela il développe une stratégie pour convaincre qui va de la critique à l’éloge. Il y a donc ici un parcours, une logique dans son argumentation. Il s’efforce d’obtenir l’adhésion de son destinataire par ces moyens là, par un raisonnement.

réduit pas qu’à cela. Bien au contraire, cette fable au-delà de sa portée politique, détient une portée universelle et « éducative » les comportements que possèdent certains humains : toujours essayer de tenir un raisonnement logique afin de dissuader l’autre tandis que la logique et les arguments ne résolvent pas toujours tout. La raison n’est elle donc pas le débouchement d’un consensus?

en postulant que différence et ressemblance sont des relations (saisies et/ou produites par le sujet connaissant) susceptibles d’être réunies et formulées en une catégorie propre, celle de l’altérité/identité, qu’on peut construire, comme modèle logique, la structure élémentaire de la signification (1979 : 100). La différence et la ressemblance formeraient ainsi l’altérité et l’identité, ou en d’autres termes les valeurs d’écart, de contraste et d’isotopie nécessaires à l’apparition d’une signification

Devoir renvoi à l'idée d'une contrainte, d'une obligation morale que l'on s'impose ou que l'on nous impose. Démontrer revient à établir une proposition, une thèse, en s'appuyant sur des preuves reconnues ou en adoptant un raisonnement logique. Tout signifie sans exception, tous les domaines sont donc pris en compte. Sommes nous donc contraint d'établir une démonstration, de faire des propositions en rassemblant des preuves, dans tous les domaines connus? Spontanément on pourrait penser que l'on

connaissances représente la deuxième étape pour réaliser une dissertation. Mobiliser des connaissances signifie trouver des arguments qui servent de preuves aux idées avancées . Les connaissances sont de nature différentes (textes, tableaux etc…) La logique est de mobiliser d’abord les connaissances du dossier documentaire et en complément on mobilisera les connaissances du cours et des connaissances personnelles. Mobiliser dans un premier temps les conaissances du dossier documentaire permet de cadrer

THEATRE DE L'ABSURDE Beckett fait partie du groupe de dramaturges de ce qu'on appelle « le théâtre de l'absurde » (Sartre, Ionesco, Camus, Genet...) . En latin, « absurdus » qualifie ce qui est dissonant, discordant, contraire aux lois de la logique et à ce qui devrait être. C'est un théâtre très marqué par son époque. Après la seconde guerre mondiale, les mentalités changent. Croyances religieuses et questionnements sur l'évolution du monde dans lequel les gens vivent sont en permanente évolution

argumentative et polémique du genre de l'article de dictionnaire au XVIII° siècle; le Dictionnaire philosophique portatif de Voltaire. Lecture du texte. Comment se présente le texte ? : 5 § aux sujets différents; le plus souvent sans transition logique = succession des définitions et des exemples dans un dictionnaire. Annonce des axes : le but de la lecture méthodique sera de dégager la thèse défendue par Voltaire et de commenter deux particularités de la méthode argumentative : le recours constant

pointilleux sur les détails. Il est réfléchi et dispose d'une certaine vision des choses. Il entretient une drôle de relation avec Clov. Résumé de la pièce Procédés de composition de la pièce Le discours est sans ordre logique apparent, répétitif et percé de silences ; la plupart des répliques peuvent sembler sans intérêt pour comprendre l'évolution de la pièce. Il faut dire que le dialogue, chez Beckett, n'a pas la même fonction que dans le théâtre classique: il

le lecteur à se perdre dans la pièce, il ne sait plus où il en est ni pourquoi. De plus la musicalité de la pièce berce le lecteur, l’incitant à se laissant porter par le dialogue, sans en chercher le sens. Les mots ne se suivent pas dans un ordre logique, mais par association phonétique « Le Sauveur. Deux voleurs. », par association inconsciente, par association sérielle « De l’enfer, de la mort, damnés, sauvés », ou encore par un principe de rupture : intrusion brutal de mots savants (« apathie »