Équivalence logique

d’affirmer que 2 n’est pas un nombre rationnel. Par contre √ l’hypoth`ese n’est pas v´erifi´ee pour n = 4 et le th´eor`eme ne permet pas d’affirmer que 4 n’est pas un nombre rationnel (ce qui serait d’ailleurs bien sˆ ur faux!). 4 Les connecteurs logiques permettent de fabriquer de nouveaux ´enonc´es ` a partir d’autres ; nous utiliserons exclusivement les connecteurs suivants : non : non(A) est vrai si et seulement si (A) est faux ou : (A) ou (B) est vrai si et seulement si (A) est vrai ou (B) est

. 9.2 Le grand O . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9.3 Application des règles de calcul . . . . . . . . . . . . . 9.4 Complexité des méthodes de manipulation de séquences 10 Logique, invariant et vérification d’algorithme 10.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . 10.2 Rappel de logique . . . . . . . . . . . . . . 10.3 Exprimer l’état du programme formellement 10.4 Preuve partielle et totale . . . . . . . . . . . 10.5 Exemples de preuves d’algorithmes . . . . . . . . .

quand bien même Paul Ricoeur reconnaît que, du seul point de vue de la logique analytique, la volonté soit première. Une question doit alors être posée qui est de comprendre comment et par quoi, malgré ou en raison de cette dialectique du volontaire et de l'involontaire, le Cogito peut s'effectuer - au sens d'une auto-effectuation, mais encore ici on retrouve l'intuition de Descartes, i.e. qu'il y a comme une équivalence entre penser et être dans le sujet – et lequel Cogito n'en reste pas moins

génération de la parole, et de l’autre – à la stylistique, à l’analyse des textes appartenant aux différents styles. Aussi la proposition est-elle la forme linguistique de l’expression de la pensée. Voilà pourquoi la syntaxe s’adresse très souvent à la logique – science étudiant les lois de la formation de la pensée. 1.1. Trois approches à l’étude de la proposition. Toute proposition exprime les pensées et les sentiments de l’homme apparus comme résultat de ses contacts avec le monde extérieur. Voilà

Leningrad, 1973. 3. A.N. Stepanova, V.D. Bourla. Cours d’initiation à la grammaire théorique. Minsk, 1986. La grammaire c’est le compartiment de la linguistique qui étudie les lois des changements des mots et les rapports entre eux, formant des énoncés logiques. La grammaire à son tour a deux compartiments: la morphologie et la syntaxe. La morphologie c’est la science qui s’occupe des changements des mots et La syntaxe c’est la science qui étudie les relations des mots dans la phrase. La morphologie étudie

Suites, Séries, Intégrales Cours et exercices Sylvie Guerre-Delabrière Professeur à l’Université Pierre et Marie Curie Table des matières 1 Quelques éléments de logique 1.1 Lettres grecques et symboles mathématiques . . . 1.2 Implications [A ⇒ B] et équivalences [A ⇐⇒ B] 1.3 Intersection et réunion . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Quantificateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5 Ordre des quantificateurs . . . . . . . . . . . . . 1.6 Négation . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

d(x, y) = |x− y| pour la distance entre deux points x, y de la droite réelle R et Br (x) = {y ∈ R| d(x, y) < r} pour l’intervalle de centre x et de rayon r. Alors voici la formulation logique de la définition de la continuité d’une fonction f : I → R au point a ∈ I : Selon les règles de la logique, le contraire logique de (C) est la propriété suivante : Traduisons la formule (NC) en language usuel : on pourra dire que la fonction f présente au point a un « saut », d’une certaine hauteur, notée ε, où

indémontrable L’existence ou sa possibilité ? L’essence de Dieu, défini comme être parfait, inclut nécessairement son existence. C’est du moins ce qu’affirme l’argument ontologique de Descartes. Ce qui suppose que l’existence relève d’un traitement logique, et qu’il y a continuité ou dérivation entre un concept et l’existence de ce qu’il désigne. Mais Kant a montré que l’existence ne peut être affirmée au terme d’une simple analyse a priori, quel que soit le concept analysé. L’analyse confirme bien

Logique et conversation* H. Paul Grice C’est un lieu commun en logique philosophique que de dire qu’il y a, ou semble y avoir un d´calage de sens entre d’une part certains au moins de ceux que e j’appellerai les op´rateurs formels — ∼, ∧ ,∨ ,⊃, ∀x, ∃x, ιx (lorsqu’on leur donne une e interpr´tation bivalente standard) — et d’autre part ce qu’on consid`re g´n´ralement e e e e comme leurs ´quivalents ou leurs homologues dans les langues naturelles — les e expressions comme non, et, ou, si, tous, certains

« Cours de la linguistique générale » (De Saussure1916). Sa vision conceptuelle détermine la langue comme objet de recherche de la linguistique et non la parole. Il considère cette dernière comme étant un phénomène contingent qui s’inscrit dans la logique d’une communication basée sur le code. Chez de Saussure, le système langagier est construit autour d’un ensemble de signes qui se définissent comme l’articulation d’un signifiant et d’un signifié dont le rapport est arbitraire. Les théories de