Épouvantail

sentiments du héros vis-à-vis de cet espace citadin; pour lui, Paris est : « (...) une ville abandonnée aussi morose qu’un cinéma sans spectateurs »(p. 131) où le promeneur croise à chaque coin de rue, des : « (...) parias (...) fagotés comme des épouvantails. » (p. 176). Dans ce même espace, il rencontrera le Vieux dont le regard « (...)ressemblait à un appel(...) » (p. 30), et qui avance : « (...) comme un bateau va toutes voiles dehors » (p. 137). Souvent Habel pense à Sabine : « (...) belle comme

qui peut tout aussi bien ne leur en donner que 200. C'est pourquoi l'incertitude qui ne provoque ni des grandes ambitions, ni de hautes aspirations, n'a d'attrait spécial que pour très peu de gens ; tandis que cette même incertitude agit comme un épouvantail sur beaucoup de ceux qui font choix d'une carrière. Et, en général, la certitude d'un succès modéré exerce une plus grande nominalement. Ils forcent les ouvriers qui travaillent à domicile à louer des machines et des outils à un taux exorbitant

qu’on n’avait peut-être pas tort de vouloir l’en détacher. 263 En effet, quelqu’un avait envoyé à sa mère une longue lettre anonyme, pour la prévenir qu’il se perdait avec une femme mariée ; et aussitôt la bonne dame, entrevoyant l’éternel épouvantail des familles, c’est-à-dire la vague créature pernicieuse, la sirène, le monstre, qui habite fantastiquement les profondeurs de l’amour, écrivit à maître Dubocage son patron, lequel fut parfait dans cette affaire. Il le tint durant trois quarts d’heure

Je me sens pas à l’aise dans cette tenue. - Louis.-  Il va se marrer ! - Manuel.- Il a raison Louis ! Je me fais l’effet d’être un guignol. - Le lieutenant.- Ce qui te semble, à toi, être un guignol, pour lui c’est un épouvantail.»[213] Le jeu entre les clowns et les tortionnaires se manifestent par un désir de se dissimuler de la réalité puisque le clown n’est pas fait pour torturer mais au contraire pou faire rire. E n plus, cette pièce qui reprend

étranges, et qu'on n'avait peut-être pas tort de vouloir l'en détacher. En effet, quelqu'un avait envoyé à sa mère une longue lettre anonyme, pour la prévenir qu'il se perdait avec une femme mariée ; et aussitôt la bonne dame, entrevoyant l'éternel épouvantail des familles, c'est-à-dire la vague créature pernicieuse, la sirène, le monstre, qui habite fantastiquement les profondeurs de l'amour, écrivit à maître Dubocage son patron, lequel fut parfait dans cette affaire. Il le tint durant trois quarts d'heure

et qu’on n’avait peut-être pas tort de vouloir l’en détacher. En effet, quelqu’un avait envoyé à sa mère une longue lettre anonyme, pour la prévenir qu’il se perdait avec une femme mariée ; et aussitôt la bonne dame, entrevoyant l’éternel épouvantail des familles, c’est-à-dire la vague créature pernicieuse, la sirène, le monstre, qui habite fantastiquement les profondeurs de l’amour, écrivit à maître Dubocage son patron, lequel fut parfait dans cette affaire. Il le tint durant trois quarts

effrayait jadis ? - Non. Elle eut un rire silencieux. - Il fut un temps où il suscitait en moi un sentiment opposé, reprit-elle. Mais au bout du compte, pourquoi tant parler de lui ? Il n’a qu’à rester là au milieu de la plaine, planté comme un épouvantail. Quant à nous, nous ferions mieux de parler d’amour. […] - Hélène de Troie…, fit il. Les gamins continuent-t-ils de t’appeler comme ça ? - Des fois. Mais moins qu’auparavant) (pp.180-181). Nous assistons ici à un retour au discours amoureux. La

incapables de se gouverner et que, seuls, ils ne peuvent vivre que dans la plus horrible barbarie (« El caos total y el retorno a la barbarie. Allá los negros se están comiendo unos a otros. », l. 21-22). L’exemple d’Haïti est utilisé par lui comme un épouvantail, qui terrifie tous ceux de sa classe car elle rend possible à leurs yeux la perspective d’une révolte d’esclaves. Il est, bien sûr, totalement inconscient du fait que son propre comportement relève de la barbarie et est, comme le souligne Flora

au nombre desquels était Wilhem Schwab, achevèrent le capital Virlaz, le jeune enfant prodigue demeura pour servir, selon les voeux du Seigneur, d'exemple aux puînés de la ville de Francfort−sur−Mein, où toutes les familles l'emploient comme un épouvantail pour garder leurs enfants sages et effrayés dans leurs comptoirs de fer doublés de marcs banco. Au lieu de mourir à la fleur de l'âge, Fritz Brunner eut le plaisir de voir enterrer sa marâtre dans un de ces charmants cimetières où les Allemands

rencontre souvent des monstres marins dans l'Akranes, dont certains très laids, mais on n'en fait pas de cas... à peine une fois ou une autre, s'il faut qu'on se batte contre eux. Mais puisque nous sommes en train de parler de monstres, il y a ici un épouvantail qui est venu à la porte, un mélange de troll et de nain quoique ayant la forme d'une femme, et j'ai rarement eu aussi peur d'un être vivant; d'ail-leurs, elle m'a traité, en allemand, de diable noir quand je demandais à voir le maître de maison