Épandage

pesticides 4. Travaux de mise en culture et d’entretien Désignation Unité Quantité Prix unitaire Montant Abattage Ha 1 65 000 65 000 Défrichement sous-bois U 1 30 000 30 000 Piquetage, trouaison, planting U 1 200 200 240 000 Epandage de produits FF FF FF 25 000 Tuteurage FF FF FF 120 000 Transport FF FF FF 40 000 TOTAL MISE EN CULTURE, ENTRETIEN 520 000 5. Estimation des recettes Désignation Unité Quantité Prix unitaire Montant Bananes plantains

les affaiblissent et peuvent les tuer dans les cas graves. La base de la chaîne alimentaire est également touchée, ainsi que tous les animaux qui en dépendent. Les oiseaux et mammifères aquatiques sont en particulier touchés. Des traitements par épandage de produits calcaires sont faits pour éviter la stérilisation de grands lacs d'Europe du Nord. Conséquences sur la flore Les arbres ne sont pas directement détruits, mais les éléments nutritifs contenus dans le sol sont dissous et emportés

d’aristocrates qui furent longtemps des clercs aussi.La vision du monde paysan est celle de personnes qui récoltent des richesses. Les travaux ne sont pas très astreignants. Il n’est pas montré l’entretien des chemins et des clôtures, les défrichements, des épandages d'engrais, les travaux d'entretien... Seuls les travaux gratifiants sont représentés et donnent l'impression qu'il suffit de récolter ce que la nature donne au paysan sans d’énormes efforts de sa part. La vie paysanne paraît peu difficile. Cette

détriment des cultures vivrières en partie compensée par l'apport de riz en provenance de Birmanie ==> après 1943: campagne « grow more food » pour relancer la production céréalière au détriment des cultures commerciales (coton, thé) + irrigation + épandage d'engrais ==> 1947: Inde devient indépendante: risque de catastrophe alimentaire ==> l'Inde parvient à nourrir sa population malgré des inégalités importantes ==> objectif d' atteindre l'autosuffisance alimentaire Document n° 7 p

Cette année par exemple, il y a changement de matériel de préparation des semis, achat d’une fraise buteuse (GRIMME) pour avoir un terrain très souple, terre fine car les racines n’aiment pas les mottes et un nouveau semoir d’engrais pour un épandage plus régulier. L’exploitation de ce fait, investit toujours beaucoup, il faut faire des calculs pour réussir a amortir les coûts par rapport aux rendements et ce n’est malheureusement pas toujours le cas. Parfois, l’exploitation est une difficulté

mais également contre d'autres arbovirus tels que les virus de la dengue. 4. Impact sur l’environnement des épandages d’insecticides : ces questions nécessiteraient en soi l’envoi d’une mission aux compétences spécialisées dans le domaine ; il semble qu’il faudrait sans tarder relever des indicateurs environnementaux et recenser ceux disponibles avant la mise en place des épandages pour évaluer cet impact. 5. Caractérisation du virus en cause : Réaliser une étude génomique moderne et massive

cas. Or il ne semble pas que cela soit le cas. Données traitées par le protocole LOCF d’après les données publiées par l’InVS Si la source est bien unique et localisée à un producteur il s’agit probablement d’une contamination secondaire à un épandage de lisier ou de fumure contaminé. Il peut s’agir des effets d’un « circuit court » du compost de ce producteur qui conduit à un enrichissement progressif « E coli O104:H4 » en raison de l’effet « cycle fermé » contrairement à sa dilution dans un

minérales dissoutes, toxiques ou désagréables. En ce qui concerne l'origine de tous ces déchets, nous retrouvons les trois rubriques classiques : — effluents industriels : acides, phénols, cyanures, détergents, hydrocarbures ; — effluents agricoles : épandage excessif d'engrais, de pesticides ; — effluents urbains : détergents, etc. Mais quels sont les effets de ces charges polluantes ? Ils sont multiples : — Formation de films et de mousses qui empêchent la réoxygénation de la rivière (il s'y ajoute

dans l’eau de ruissellement et dans les nappes, ainsi que des produits de traitement, responsable d’autres types de pollutions. La Bretagne, première région pour les élevages modernes dits hors-sols est l’une des régions les plus polluées par les épandages de lisier de porcs. D’après Y. Veyret, Géo-environnement, SEDES, « Campus », 1999 | L’agriculture productiviste est la cause de nombreux écoulement boueux et d’inondation pouvant endommager des habitats. De plus, le lisier des élevages intensifs

à l’économie de matière première, crée de l’activité économique et responsabilise les producteurs.

On utilise deux voies de valorisation :
 
- le recyclage industriel : verre, métaux, papier, carton, matières plastiques…
 - le retour au sol : épandage de déchets organiques en l’état et après méthanisation ou compostage.

 Incinération : il est alors souhaitable de rechercher une valorisation de l’énergie dégagée (cogénération, réseau de chaleur). Stockage : quand les autres voies ont été épuisées