Engagement Hors Bilan Fraude

tendance à se faire auditer soit sur la demande des actionnaires, des bailleurs de fonds, soit encore pour des besoins légaux. Au niveau de sa mission, l’auditeur traite les différents cycles relatifs à l’activité de l’entreprise notamment les postes du bilan et du CPC afin d’essayer d’avoir une vision générale sur l’entreprise et ses différents cycles. Nous pouvons citer à ce titre : - Le cycle vente-client  - Le cycle achat-fournisseur - Le cycle immobilisations-amortissements - le cycle stocks-inventaires

CLARTÉ 7.1 - Selon le principe de clarté : - les opérations et informations doivent être inscrites dans les comptes sous la rubrique adéquate, avec la bonne dénomination et sans compensation entre elles ; - les éléments d'actif, de passif et de hors bilan doivent être évalués séparément ; - les éléments des états de synthèse doivent être inscrits dans les postes adéquats sans aucune compensation entre ces postes. 7.2 - En application de ce principe, l’établissement de crédit doit organiser sa comptabilité

et l’optimisation des opérations et la conformité aux lois et règlementations en vigueur. (IFAC) Objectifs du contrôle interne  Respect de la politique de gestion  Optimisation des ressources  Sauvegarde des actifs  Prévention détection des fraudes et erreurs  Fiabilité des informations financières  Conformité aux lois et règlementation Eléments constitutifs du contrôle interne Deux grands éléments : 1. Environnement général de contrôle interne : ensemble des comportements, degrés de sensibilisations

relatives à la gestion et à l’organisation Les informations relatives au positionnement et à la stratégie Les informations sur l’actionnariat 2 Chapitre II : Démarche de l’analyse financière A. Analyse de l’activité bancaire I. Analyse du bilan 1. Analyse statique 2. Analyse dynamique II. Calcul des ratios de structure B. Analyse de la rentabilité : I. Analyse du compte de résultat 1. Analyse statique 2. Analyse dynamique II. Calcul des ratios de rentabilité C. Mesure du risque Conclusions

2005 - 2006 L’absence ou l’insuffisance de leur maîtrise provoque inévitablement des pertes qui affectent la rentabilité et les fonds propres. La persistance et l’importance de ces pertes peuvent est-à-dire l’incapacité de faire face à ses engagements. conduire à la défaillance, c' Mais le risque est aussi une source de profits et la banque qui ne prendrait aucun risque prendrait le plus grand d’entre eux : faire faillite Le risque n’est donc pas de prendre des risques mais d’en prendre trop

recoupements dont dispose l'administration. La démarche de programmation suivie, vise principalement la mesure du risque fiscal, et cibler ainsi, les dossiers où celui-ci s'avère fort probable. OEuvrer à dégager un gain de productivité en réussissant un engagement de moyens adéquat au risque fiscal potentiel. Le service de programmation étudie et approuve les propositions des vérifications arrêtées par les commissions régionales ou inter-préfectorales. Les dossiers sélectionnés par ces commissions sont établis

Gestion Globale des Risques : DGGR 1- Département normes et outils 2- Département suivi du portefeuille 3- Département surveillance des risques de marché CH2 : Analyse du processus d'octroi de crédit aux entreprises : Cas BMCE BANK 1- Tiers 2- Engagements 3- Garanties 4- Analyse financière 5- Diagnostic financier et Jugement d'expert 6- Octroi de crédits et gestion des risques Partie II : Enjeux Bâle II pour les banques marocaines : Cas BMCE BANK CH1 : présentation des écarts entre les apports

d’encadrer la structure du passif des entreprises, afin de garantir un « bon équilibre » Dette / Capital (le « Leverage ») et par suite un ratio de capitaux propres « suffisant ». Pourquoi règlementer les banques particulièrement ? Du fait des engagements croisés entre banques au niveau mondial, les difficultés rencontrées par un établissement à un moment donné (par exemple insolvabilité) pourront mettre en difficulté ses partenaires, parfois de façon majeure, et créer alors ces fameux effets dominos

les organisations sont exposées à un risque de fraude. Le mot risque désigne donc ici un événement défavorable pour la structure et signifie en fait que l’entreprise est exposée au risque de pertes suite à des fraudes. En outre, le mot risque peut-être analysé sous un angle quantitatif. Il désigne une mesure du niveau d’exposition de l’organisation aux conséquences d’un événement défavorable comme par exemple les pertes financières suite à la fraude d’un employé Dans l'entreprise, la notion de risque

ressources qui, faute de temps, négligent leurs responsabilités inhérentes à la gestion journalière (supervision, …) et au développement de l’entreprise. Si les solutions « Quick & Dirty » ont permis aux entreprises d’assurance de remplir leurs engagements, certaines entreprises entreprennent une réflexion globale sur la fonction financière compte tenu des nouveaux défis actuels et prévisibles. Partie II : L’intérêt d’une réflexion globale En effet, la fonction financière est tributaire