Enfance Portrait Physique De Sa Mère

parents juifs et bourgeois. Son père est un des banquiers les plus riches de Russie, quoiqu'aimant, il est souvent absent, il voyage beaucoup; sa mère coquette et frivole ne lui accorde que peu d'attention. Irène vit dans l'aisance et le luxe, mais n'est pas heureuse. Le cortège de ses précepteurs ne lui laisse pas beaucoup de temps libre, de cette enfance solitaire, elle s'inpirera dans son oeuvre future. En 1917, son institutrice française se suicide, pour combler son absence, Némirovsky commence

IDENTITÉ Prénoms, nom de jeune fille, surnom, pseudonymes, etc. « Je m’appelle Emily et j’ai tué ma mère. » « Il m’appelait Em, faisant disparaître la sonorité féminine de mon prénom. » Page 9 Eléments caractérisants Age, profession, situation familiale, etc. « J’avais seize ans. » Orpheline : « Plus exactement, elle est morte en me mettant au monde ; ce qui revient au même. » Page 9 Portrait Physique Traits du visage, physionomie, corpulence, Allure, attitudes, tics, Caractéristiques vestimentaires

COETZEE (J.M) Scènes de la vie d'un jeune garçon, éd. Le Seuil, avril 1999, 190 p. pour la traduction française. 1. L'AUTEUR ET SON ŒUVRE J.M.Coetzee, né en 1940, en Afrique du Sud, il passe son enfance et fait ses études à Worcester, à 150 kilomètres du Cap. Il est étudiant à l'Université du Cap à la fin des années cinquante. En 1961, à 21 ans, J.M.Coetzee obtient une double licence en anglais et mathématiques, puis une maîtrise de lettres en 1963. Professeur de littérature américaine à l'Université

représentant les tempéraments sanguin et nerveux, Camille le maladif et Madame Raquin la molle. Zola, réduit dans ce livre tous les sentiments, les émotions et les réactions morales à des phénomènes purement physiques : « L’âme est parfaitement absente » .Ainsi [les remords de Thérèse] « étaient purement physiques. Son corps, ses nerfs irrités et sa chaire tremblante avaient seuls peur du noyé. Sa conscience n’entrait en rien dans ses terreurs » (p.158). Laurent et Thérèse sont rarement désignés par leurs noms

représentant les tempéraments sanguin et nerveux, Camille le maladif et Madame Raquin la molle. Zola, réduit dans ce livre tous les sentiments, les émotions et les réactions morales à des phénomènes purement physiques : « L’âme est parfaitement absente » .Ainsi [les remords de Thérèse] « étaient purement physiques. Son corps, ses nerfs irrités et sa chaire tremblante avaient seuls peur du noyé. Sa conscience n’entrait en rien dans ses terreurs » (p.158). Laurent et Thérèse sont rarement désignés par leurs noms

Noms Portraits physique et moral des personnages (+citations du texte) Mme Raquin Thérèse Raquin Camille Raquin François (le chat) Laurent Michaud Olivier Suzanne Grivet Capitaine Degans Elle apparaît comme une vieille dame sans mystère, sans complications «  une vieille dame qui souriait en sommeillant. Cette dernière avait environ soixante ans ; son visage gras et placide blanchissait sous les clartés de la lampe » (Ch1). C’était une ancienne mercière de Vernon au

Mme Tim est la femme du châtelain de Saint-Baudille. Autour d’elle s’organisent des fêtes familiales dont le narrateur garde le souvenir. Jean Giono[…] Mme Tim était abondamment grand-mère. Les filles occupaient aussi des situations dans les plaines, en bas autour. À chaque instant, sur les chemins qui descendaient de Saint-Baudille on voyait partir le messager et, sur les chemins qui montaient à Saint-Baudille, on voyait monter ensuite des cargaisons de nourrices et d’enfants

de ses origines, comme un arbre généalogique. Mise en avant de son métissage familial (père allemand, mère mexicaine). - Lien lieu/famille : grands-parents paternels audessus de l’océan, grands-parents maternels au-dessus de la terre, des cactus (Mexique). Les parents sont peints selon leur photo de mariage. - Analyse des différents plans : Frida est au centre, dans la maison bleue de son enfance. Jambe gauche entourée de feuillage (maladie). Plus proche de son père. Le ruban symbolise le cordon ombilical

d'un grand écrivain. Avec ce roman, Albert Camus accède à la célébrité. La critique salue en Meursault, personnage central de l'Etranger, un "héros de notre temps". Dans ce texte, il s’inspire des paysages de son Algérie natale où il a vécu son enfance. Le silence est d’ailleurs une composante essentielle de l’écriture chez Camus que l’on retrouve à l’œuvre dans l’Etranger, récit qui met en scène Meursault, un homme dépourvu de sentiments, subissant passivement sa vie, faisant de lui un personnage

telle qu’elle lui vient à l’esprit. L’auteur attend que son lecteur s’intéresse à l’opposition des histoires Marianne et Tervire : - 2 itinéraires dans la société. - 2 caractères de jeune fille. - rapport en contraste de fille à mère. - mère naturelle et mère adoptive. - tentation ou piège du couvent. Méditation sur la destinée féminine, femme assumant sa condition. * Un roman philosophique : Les réflexions de Marianne dénotent un tour d’esprit philosophique ; la narratrice