En Quoi Phèdre Est Une Tragédie

siècle et est réputé pour ses nombreuses tragédies comme Andromaque, Iphigénie ou Britannicus. Cette dernière, paru en 1669, raconte le déchirement d’une famille suite à des manipulations de la mère de l’empereur pour qu’il accède au pouvoir alors que le trône ne lui était pas destiné. Celui-ci était pour son demi-frère. L’extrait qui nous est proposé se situe dans l’acte III, l’acte central de la pièce, où nous apprenons la trahison de Junie, la tragédie qui s’annonce pour Britannicus et la colère

précisément la tragédie. Le terme « tragédie » ne possède pas qu’une unique définition : la tragédie a évolué dans le temps. La tragédie possède aujourd’hui la définition suivante : une tragédie est une pièce de théâtre dont le sujet est le plus souvent emprunté à un mythe ou à l’histoire, mettant en scène des personnages héroïques et représentant une action destinée à provoquer la pitié ou la terreur, au travers de situations violentes (combats, suicides, …) Avant le 16e siècle, la tragédie obéissait

IV- La tragédie peut-elle avoir une fin heureuse ? Aristote insistait sur l'importance de la « catastrophe » finale. A l'époque de Shakespeare, en Angleterre, on définissait la tragédie comme l'histoire de la chute d'un personnage illustre, qui passe de la prospérité au malheur, et finit misérablement. Enfin, dans le langage courant, le mot tragédie est teinté de pessimisme: on qualifie de tragiques des événements terribles, tels que des guerres, des massacres, des désastres naturels... L'idée

y décrit minutieusement l'agonie d'Emma Bovary, l’héroïne qui s'est empoisonnée à l'arsenic qu'elle a pu dérober dans l'arrière-boutique d'Homais. Le dénouement funeste de la scène accentue le caractère fataliste de l’œuvre. Nous allons étudier en quoi ce personnage est une héroïne tragique ? Dans une première partie nous nous consacrerons sur l’aspect religieux que Flaubert a donné à la scène, puis l’aspect sensuel qu’Emma dégage, pour enfin nous focaliser sur l’agonie d’Emma. I – Aspect religieux

Cet aveu est donc nécessaire.PB : en quoi cette scène apparait-elle comme une scène sublime ?1mvmt : 1er paragraphe : l’aveu sublime de la princesse2eme mvmt : 2eme paragraphe : le prince abasourdi3eme mvtm : 3eme paragraphe : du mari aimant au mari jaloux 1er mvmt Femme a l’initiative de

sa pièce d'Œdipe, Corneille modernise la tragédie grecque, afin d'ajouter à l'enjeu humain et métaphysique de la pièce originale de Sophocle (« oedipe roi »), un enjeu poilitique et amoureux ,faute de quoi le public n'aurait pas vu l'intérêt de son adaptation sur la scène française .L'épisode de Dircé et Thésée apporte donc à la fois les tendresses d'amour dont était dépourvu l'originale et l'affrontement politique que réclame le genre même de la tragédie classique française. Aussi, il existe la

l’intrigue des sentiments que le spectateur ressent et exprime quotidiennement. Il peut s’agir du peuple ou bien des élites de la société : tous connaissent les sentiments. Pourquoi et comment le théâtre cherche-t-il à donner le sentiment du réel ? En quoi détourne-t-il le réel ? Qu’est ce qui est suggéré dans l’illusion de la réalité ? Afin de répondre à ces questions nous étudierons l’impression de la réalité dans la scène de théâtre, ensuite que le théâtre n’est en pas totalement à l’image de la

social) et les plus perennes. Qui dit spectacle dit spectateur et les professeurs ne sont pas les derniers à le rappeler à leurs générations d'élèves, le genre dramatique ne peut pas en théorie se passer de ses spectateurs. Il s'agira d'étudier en quoi le spectateur est un maillon clé de la représentation théâtrale, ou plutôt en d'autres termes, jusqu'où il est indispensable. A priori il y a une relation évidente, active et souvent nécessaire entre spectateur et spectacle théâtral; c'est cependant

sensible, l’art libère en même temps de la puissance de la sensibilité. Hegel, Leçons sur l’esthétique, 1818. Question d’interprétation philosophique : Pourquoi, selon Hegel, notre sensibilité a-t-elle besoin de l’art ? Question d'essai littéraire: En quoi la littérature peut-elle nous libérer de la "puissance de la sensibilité" ?Compte-rendu de l'essai littéraire I- Remarques sur le fond - La littérature est bien un art: définition de l'art: passage d'une subjectivité de sa conception abstraite

des temps modernes, c'est-à-dire de la Renaissance a la révolution de 1789, que le genre théâtral a prosperé. Au siècle precedent, malgre la consigne de Du Bellay qui, dans sa défense et illustration de la langue française, imposait l'idée d'une tragédie et d'une comédie en français, la révolution qui avait substitué l'imitation du théâtre antique aux mystères et farces du Moyen-Äge avait été trop brutale pour que le public y adhère. Le moyen-Äge n'avait dégage aucune esthétique théâtrale. Le XVI