En Quoi Phèdre Est Une Tragédie

significativement Le Mariage de Figaro « la Folle Journée ». La limitation de l'action de la tragédie classique à 24 h conduit à une concentration de rebondissements bien rare dans la réalité : Phèdre avoue son amour à son beau-fils Hippolyte, Thésée - son mari qu'elle croyait mort - revient inopinément, elle calomnie Hippolyte auprès de Thésée, celui-ci maudit son fils que Poséidon fait mourir, et Phèdre, rongée de remords, se suicide. Une scène de reconnaissance, improbable dans la vraie vie, vient

significativement Le Mariage de Figaro « la Folle Journée ». La limitation de l'action de la tragédie classique à 24 h conduit à une concentration de rebondissements bien rare dans la réalité : Phèdre avoue son amour à son beau-fils Hippolyte, Thésée - son mari qu'elle croyait mort - revient inopinément, elle calomnie Hippolyte auprès de Thésée, celui-ci maudit son fils que Poséidon fait mourir, et Phèdre, rongée de remords, se suicide. Une scène de reconnaissance, improbable dans la vraie vie, vient

être aimé. Cette tragédie [terme utilisé seulement pour qualifier la mort] réaliste (la mort sur scène) remplace progressivement l’amour par le désespoir, le spectateur suit au cours du temps les émotions de chacun des personnages qualifiées par leurs façon de s’exprimer (mise en scène didascalies expressives). C’est le genre d’amour impossible qu’on retrouve dans les problèmes Cornélien [« L’amour est un tyran qui n’épargne personne » P.Corneille] manifestement représenté dans Phèdre de Jean Racine

sont, elle aussi très différentes. Dans la tragédie c’est le règne du malheur .Dans la comédie, c’est tout l’inverse : l’amour, qui conduit toujours à des jours heureux, l’amour triomphe. Mais dès que le rideau se lève, le spectateur sait bien qu’il y a une différence fondamentale entre la comédie et la tragédie. 1 A) La tragédie est un Genre dramatique qui trouve son origine dans la Grèce antique, la tragédie est une représentation du destin d’hommes

Depuis le XVII siècle, la tragédie est définis par de nombreuses règles et principes fondamentaux, l'un de c'est principe est de ne pas représenter la mort sur scène car elle est considérée comme pouvant choquer le spectateur. Cependant la mort est fondamentale dans la tragédie vu qu'elle lui donne tout son sens. C'est pourquoi il est intéressant de s'interroger si la mort au théâtre ne doit pas rester « quelque chose qu'on ne doit point voir » ou si au contraire la représenter permettrait de donner

aussi certains personnages. Nous allons tout d’abord voir en quoi les conflits au théâtre sont divertissants pour les lecteurs et/ou spectateurs, ils sont même souvent indispensables car une pièce de théâtre sans désaccord serait trop monotone. Mais en premier lieu la définition du terme « conflit » s’impose. Un conflit est une rencontre d’éléments (ex : forces célestes = dieux à l’humanité dans les tragédies), de sentiments ou d’idées contraires qui s’opposent, il est, d’une manière

Nous allons étudier un extrait d’Andromaque, une pièce de théâtre de Jean Racine, en 1667. Jean Racine est l’un des plus grands dramaturges du 17ème siècle. Cette tragédie antique a pour thème principal une chaîne amoureuse à sens unique : Oreste aime Hermione qui n’a d’yeux que pour Pyrrhus qui lui-même est épris d’Andromaque, encore amoureuse de son époux défunt, Hector. Dans cet extrait de l’acte V et donc du dénouement, écrit en vers et alexandrin, Hermione, qui vient d’envoyer Oreste assassiner

Bérénice de Racine Une pièce typiquement tragique Le titre lui-même, «Bérénice», est typiquement un titre de tragédie. En effet comme l’a remarqué Bergson dans le rire, les tragédies ont souvent pour titre un nom propre (on peut citer Antigone, Phèdre, Othello...) parce que les caractères qui sont incarnés par les personnages sont entièrement absorbés et éclipsés par eux - alors qu’au contraire dans la comédie, qui a souvent pour titre un nom commun (l’Avare, le Bourgeois gentilhomme, les précieuses

jours | -méthodologiques : construction d’un personnage, éléments de narratologie, la lecture analytique-culturels : mouvements culturels et littéraires (XVII à nos jours), lien roman/autres arts-littéraires : évolution des genres romanesques | En quoi le personnage de L’étranger est-il représentatif du roman du XXè siècle ? | Œuvre intégrale : L’étranger, Albert CamusGroupement de textes Corpus 1 (séance inaugurale) : « les problématiques essentielles du roman :A. Stendhal, Armance. Quelques scènes

« Lettre morte » (recueil En marge) de Didier Daeninckx. - Travail d’écriture : transformation du texte de fiction en pur fait divers. - Lecture de l’intégralité de la nouvelle + question de compréhension du texte : En tuant les deux postières, en quoi Bernard a-t-il « vengé » Colette ? S3 : Le schéma narratif (1 heure) Objectif : révision du schéma narratif à partir de la lecture d’une courte nouvelle Support : « Le Reflet » de D. Daeninckx, manuel p.257 Activités : - les élèves doivent repérer