En Quoi Phèdre Est Une Heroine Tragique

) A ce propos considérer aussi la récurrence du verbe « haïr » et ses dérivés tt autant présent semble-t-il que le verbe aimer. Les 2 sœurs aiment et haïssent leur maîtresses, s’aiment et se haïssent. 2 pers des extrêmes, dc aux caractéristiques tragiques qui vt faire naître chez le spect pitié et terreur selon le principe de la catharsis de la tragédie grecque et classique définie par Aristote. Ambiguïté en outre en ce qui concerne leur talent de comédienne. Cl ds un 1° temps est présentée coe une

aux émotions débridées, tout en doutant, en hésitant. Ce doute exprime sa liberté et sa sensibilité. Est-elle criminelle ou innocente? C'est cela qui est intéressant dans son cas : chercher ce qu'il y a d'innocent chez cette grande coupable qui, héroïne presque sophocléenne par son caractère inflexible et déterminé, est de ces êtres qui sont davantage condamnés à la violence que violents a priori. Sa vraie fatalité est d'être une femme. Et cela Euripide le met bien en lumière. Par exemple, par les

– dans son traité De la Colère2, il décrit ce que peut être le théâtre de la vengeance : Il faut montrer sa rage effrénée et foudroyante, il faut lui rendre ses apprêts habituels garrots, croix, feux allumés autour des corps empalés. Chez lui, le tragique réside dans le « spectacle des souffrances »3 qu’infligent à l’homme toutes les circonstances malheureuses de la vie. Mais l’homme possède le moyen d’atténuer les ravages des passions humaines en les maîtrisant, par l’exercice de la raison, par l’application

ces personnes. Et c'est à lui que je suis redevable de cette histoire, et même du dessein que j'ai pris d'en faire une tragédie.» Dans sa seconde préface, il précisa : «M. le comte de Cézy était ambassadeur à Constantinople lorsque cette aventure tragique arriva dans le sérail. Il fut instruit des amours de Bajazet et des jalousies de la sultane. Il vit même plusieurs fois Bajazet, à qui on permettait de se promener quelquefois à la pointe du sérail, sur le canal de la mer Noire. M. le comte de Cézy

se couvrir de gloire. Aussi cède-t-il. Acte II Scène 1 : Ériphile confie à sa suivante, Doris, qu’au spectacle des retrouvailles d’Agamemnon et d’Iphigénie, elle a souffert, d’abord parce qu’orpheline, elle ne sait qui sont ses parents, ce sur quoi Calchas pourrait la renseigner, mais surtout parce qu’elle est tombée amoureuse de son ravisseur, Achille, et qu'il n'y a rien qu'elle ne se sente capable de tenter pour empêcher l'union qu’on projette entre lui et Iphigénie. Scène 2 : Iphigénie s’étonne

pourra se couvrir de gloire. Aussi cède-t-il. Acte II Scène 1 : Ériphile confie à sa suivante, Doris, qu’au spectacle des retrouvailles d’Agamemnon et d’Iphigénie, elle a souffert, d’abord parce qu’orpheline, elle ne sait qui sont ses parents, ce sur quoi Calchas pourrait la renseigner, mais surtout parce qu’elle est tombée amoureuse de son ravisseur, Achille, et qu'il n'y a rien qu'elle ne se sente capable de tenter pour empêcher l'union qu’on projette entre lui et Iphigénie. Scène 2 : Iphigénie s’étonne

pourra se couvrir de gloire. Aussi cède-t-il.Acte II Scène 1 : Ériphile confie à sa suivante, Doris, qu’au spectacle des retrouvailles d’Agamemnon et d’Iphigénie, elle a souffert, d’abord parce qu’orpheline, elle ne sait qui sont ses parents, ce sur quoi Calchas pourrait la renseigner, mais surtout parce qu’elle est tombée amoureuse de son ravisseur, Achille, et qu'il n'y a rien qu'elle ne se sente capable de tenter pour empêcher l'union qu’on projette entre lui et Iphigénie. Scène 2 :

se couvrir de gloire. Aussi cède-t-il. Acte II Scène 1 : Ériphile confie à sa suivante, Doris, qu’au spectacle des retrouvailles d’Agamemnon et d’Iphigénie, elle a souffert, d’abord parce qu’orpheline, elle ne sait qui sont ses parents, ce sur quoi Calchas pourrait la renseigner, mais surtout parce qu’elle est tombée amoureuse de son ravisseur, Achille, et qu'il n'y a rien qu'elle ne se sente capable de tenter pour empêcher l'union qu’on projette entre lui et Iphigénie. Scène 2 : Iphigénie s’étonne

PHÈDRE TRAGÉDIE RACINE, Jean 1677 Publié par Gwénola, Ernest et Paul Fièvre, Avril 2015 -1- -2- PHÈDRE TRAGÉDIE par Mr RACINE À Paris, chez Claude Barbin, au Palais, sur le perron de la Sainte Chapelle. M. DC. LXXVII. Avec privilège du Roi. Représentée pour la première fois le 1er janvier 1677 à l'Hôtel de Bourgogne. -3- Préface. Voici encore une tragédie dont le sujet est pris d'Euripide. Quoique j'aie suivi une route un peu différente de celle de cet auteur pour la conduite de l'action

mettre en scène sa première pièce de théâtre - la Thébaïde. Bien qu´il devienne membre de l´Académie française en 1672, la carrière de Racine prit un tournant radical et il se retire de la vie théâtrale à cause de l´échec au cours de l´introduction de Phèdre (1677), sa tragédie la plus connue. En même année, il se marie et se met à mener une vie de retraite et de piété. Auteur d´Andromaque (1667), de Britannicus (1769), de Bérénice (1770), de Bajazet (1672), d´Iphigénie (1674), d´Atalie (1691) et d´autres