En Quoi Le Tourisme International Est Il Le Reflet De La Mondialisation

Chapitre 1 : Mondialisation : manifestation, justification et contestation. I) Concepts et définition 1) Mondialisation et globalisation Fond monétaire international FMI : l’interdépendance économique croissante de l’ensemble des pays du monde provoqué par l’augmentation du volume et de la variété des transactions transfrontières des biens et services ainsi que des flux internationaux des capitaux en même temps que la diffusion généralisé de la technologie. G20 : intégration croissante

production.(renouvellement des équipements – aug de la productivité)La fin des années 70 :- la résistance des salariés à l’augmentation des cadences- saturation de la demande (qui atteint un taux d’équipement élevé)- l’ouverture de la concurrence internationale croissante (logique schumpéterienne : épuisement de la grappe d’innovations)b) Les débats sur l’essoufflement contemporain de la productivité :Les MPIC (innovations aux nouvelles technologies de l’information) perturbent l’organisation des entreprises

(comme des entrées de capitaux). Les placements étrangers effectués sur le territoire national (investisseur de Dubaï place dans une banque française) procurent des entrées de devises. (Document Powerpoint). La balance des capitaux, c’est la mondialisation des frontières. Avant l’épargne était captive dans les pays. Il est possible d’investir des sommes considérables sur les marchés mondiaux (nationaux). Elle devient positive et excédentaire. La balance des invisibles porte bien son nom car on ne

pour que les autres pays fassent ce que souhaitent les Etats-Unis) et attirante (attractivité liée aux valeurs, au système universitaire et à la recherche, aux perspectives d’emploi, à la culture de ce pays). En 1990, le professeur de relations internationales Joseph Nye (Harvard University) développa dans Bound to Lead la notion de soft power. Le soft power désigne la capacité pour un Etat "A" d'influencer le comportement d'un Etat "B" et d'amener l'Etat "B" à adopter le point de vue de l'Etat "A"

UNIVERSITE PARIS 1 – PANTHEON SORBONNE INSTITUT DE RECHERCHE ET D’ETUDES SUPERIEURES DU TOURISME « Le tourisme de plongée : le modèle français doit-il s’inspirer ou peut-il concurrencer le modèle américain pour le développement touristique d’un territoire ? » Mémoire professionnel présenté pour l’obtention du Diplôme de Paris 1 – Panthéon Sorbonne MASTER PROFESSIONNEL « TOURISME » (2eme année) Spécialité Gestion des Activités Touristiques et Hôtelières Par Céline Scamps Directeur

Sommaire  Introduction…………………………………………………………………..…3 Chapitre I : Le cadre théorique du Commerce International des services (CIS) Section I : Cadre conceptuel de Commerce International des Services…………………………………………………………………………………..4 A. Définition des services……………………………………………………….4 B. Notion du Commerce International des Services………………………….…5 Section II : Une réglementation pour le Commerce International des Services A. L’Accord Général sur le Commerce des Services……………………….….6 1. La structure

9 Lionel Fontagné et Jean-Hervé Lorenzi 1. Introduction .......................................................................................... 9 1.1. Le débat de politique économique ................................................. 9 1.2. De quoi parle-t-on ? ................................................................... 11 1.3. Une réorganisation des firmes sur une base mondiale ................. 12 1.4. L’analyse des économistes ......................................................

universitaires, ont dû recevoir des enseignements abordant les problèmes de sous-développement et de développement soit à l’occasion des enseignements spécifiques portant sur cette matière, soit par le biais des cours de Politique Economique ou d’Economie Internationale. Le cours doit donc viser l’approfondissement de l’analyse des théories implicites et/ou explicites qui fondent l’Economie du Développement dans sa double dimension d’analyse des fondements du sous-développement et des stratégies de développement

Cependant, cette question mérite certains éclaircissements puisqu’elle suscite d’autres interrogations : Qu’est ce qu’un modèle capitalistique ? En quoi les spécificités politiques, économiques et sociales propres à chaque nation peuvent elles influencer le choix et l’évolution du capitalisme? Quel rapport existe-t-il entre l’ouverture économique et la mondialisation, et les spécificités et traditions locales propres à chaque pays ? Qu’en est-il de l’influence réciproque ? Etc. Autant de questions auxquelles

l’ISCAE, Directeur de recherche Suffragants : Monsieur Lahcen Hannaoui Professeur à L’ISCAE Monsieur Mohamed Bendahane, Professeur en Communication, Université Mohammed V, Rabat Monsieur Abbas AZZOUZI, Directeur Général de l’Office National Marocain du Tourisme, Monsieur Ali Ghanam Directeur Général CMKD Monsieur Othman Chérif Alami, Directeur Général Atlas Voyages Novembre 2007 1 S t r a t é g i e m a r k e t i n g d e l ’ é c o t o u r i s m e a u M a r o c 2 S t r a t