En Quoi Le Rire Est Une Puissance Critique

aux concepts du siècle des Lumières. En effet, comme les penseurs du 18e siècle qui ont vulgarisé des idées nouvelles ayant abouti à une transformation radicale de la société, ces auteurs francophones africains de notre corpus portent un regard critique sur la société ainsi que sur les nouveaux dirigeants africains bien des décennies après les Indépendances. Les auteurs du siècle des Lumières comme ceux d’aujourd’hui ne sont pas exempts de poursuites ni de menaces judiciaires et économiques.

l’auteur ? : un point de vue omniscient, maitrise de tous les points de vue, le narrateur s’appuie aussi de l’opinion publique (« on ») même si elle est critique et moquée. L’ironie est dirigée vers l’opinion publique. - Paradoxe= on le sait, on en parle tous mais personne ne le nomme. - Critique sociale= remord / désir. – Réalisme= une réflexion, une critique. FICHE DE LECTURE Héros romanesques au XIXème et XXème siècles

Plans des textes de français : Le prologue de Gargantua :Problématique : en quoi ce texte permet-il de nouer un pacte de lecture avec le lecteur ? I. Le prologue cherche à séduire le lecteur1) En créant une connivence avec le lecteur2) Par l’utilisation d’un comique verbale3) En mettant en avant le caractère mystérieux et à double sens de l’ouvrageII. Le prologue donne également des indications sur ce que va être l’œuvre1) En l’inscrivant dans un héritage philosophique2) En développant la métaphore

L'extrait de Gargantua que nous allons étudier décrit une scène de repas dans laquelle le gros appétit des convives ne laisse pas indifférent. (résumé de l'extrait) Ce texte présente un intérêt car les abus en tous genres suscitent le rire. Il sera l'occasion d'observer en quoi cette scène comique est humaniste. (problématique) Pour cela, nous verrons d'abord les différents procédés comiques convoqués dans l'extrait, puis nous analyserons la présentation réaliste de l'homme qui y est faite. (annonce du

quelque peur sophiste, qui a choisi l’anagramme d’Alcofribas Nasier, Rabelais dans son Prologue fait entrer son lecteur dans un espace d’écriture très particulier. Il s’adresse à nous sous le mode du rire, tout en nous demandant de le prendre au sérieux. Ainsi le texte se présente comme un paradoxe. En quoi apparaît il représentatif de l’humanisme ? Nous nous interrogerons dans un premier temps sur la joie de vivre que le narrateur transmet dans sa façon d’écrire. Puis, nous découvririons, sous

sacré dans le sens où la parole de l’auteur est fixée, imprimée, élevée à un statut de Tout cohérent, voulu, maîtrisé, abouti, presque immuable. En outre, nous devons souligner que le texte de théâtre est soumis à la lecture, mais également à la critique et à l’analyse, ce qui en fait bien un objet littéraire. Cet objet a une certaine indépendance, celle qui laisse le choix de l’imaginaire, parfois même à travers l’imprécision de l’auteur, et c’est ce flou que la représentation vient dissiper, ôtant

politique et de l’autorité du Prince. Celle-ci est représentée par un personnage qui incarne la force concrète et symbolique du pouvoir politique. Ainsi Tartuffe ne se présente pas seul dans la famille qu’il veut spolier, mais fort du soutien de la puissance étatique. Face au pouvoir du Prince, on constate tout d’abord que la famille ne se révolte pas, mais semble plutôt se soumettre, puisqu’aucun personnage ne s’adresse directement à lui. Ce schéma de dialogue est intéressant car jusqu’à ce que l’exempt

dirigée par Laurence Hansen-Løve Edition numérique : Pierre Hidalgo PhiloSophie © février 2011 Table des matières Introduction : Biographie ......................................................... 5 Chapitre 1 : La doctrine de la volonté de puissance ............... 12 Affirmation et négation de la vie ............................................... 12 Vie et valeurs : le fait primordial ................................................. 12 Les trois sens du mot « vie » ...................

En quoi Fin de partie est-elle une pièce dérangeante ? Plusieurs pièces de Beckett, y compris Fin de partie, sont entrées au répertoire de la Comédie française. L’écrivain irlandais, dont le théâtre d’avant-garde a fait scandale et partagé le public à ses débuts, semble ainsi être devenu un classique. Pourtant le texte et la dramaturgie d’une pièce comme Fin de partie demeurent dérangeantes, même pour un public du XXIe siècle. Déranger, c’est susciter un malaise, un inconfort, ébranler

personnages ? Le cas échéant : peut-on déceler une intention d’auteur ? S’il s’agit d’un extrait : Au début d’une nouvelle : à quoi certains éléments placés au début de la nouvelle servent-ils pour la suite du texte ? À la fin d’une nouvelle : y a-t-il résolution des tensions ? Peut-on observer un élément qui paraît extérieur à la nouvelle (par exemple : un passage descriptif) ? À quoi cette « pause » sert-elle ? S’agit-il de préparer le lecteur à une nouvelle tension ? À ne pas faire dans le commentaire