En Quoi Le Cid Est Une Piece Classique

revienne sur le passé ou qu’elle ouvre sur le monde d’aujourd’hui, elle contribue à l’acquisition d’une culture personnelle. Elle permet d’instaurer un dialogue avec les œuvres patrimoniales et elle facilite parfois l’accès à la lecture des œuvres classiques. Le professeur choisit des textes de qualité adaptés à ses élèves et à son projet pédagogique. Cette lecture personnelle de l’élève n’exclut pas le recours à la lecture cursive, en classe, de textes ou documents destinés à éclairer l’étude qui est

tout cède au bouffon d’aujourd’hui » (L’Impromptu de Condé, 1663).  - Un « Sonnet sur le Festin de Pierre » : Tout Paris s’entretient du crime de Moliere : L’un dit : j’étoufferai cet infâme bouquin ; L’autre : je donnerai à ce maître faquin De quoi se divertir à grands coups d’étrivière. Qu’on le jette lié au fond de la rivière, Avec tous ces impies compagnons d’Arlequin ; Qu’on le traite en un mot comme un dernier coquin, Que ses yeux pour toujours soient privés de lumière. - La Lettre

plaisir théâtral, bien au contraire : « La principale règle est de plaire et de toucher. » (préface de Bérénice) — la prise en compte du public (« à qui je me ferai toujours gloire de plaire ») est au fondement de l'esthétique littéraire de l'âge classique. L'espace scénique Racine joue de toutes les ressources offertes par la skénè — mot qui, en grec, désigne le bâtiment de fond de scène. La tragédie commence par « ces lieux », désignés par Antiochus (acte I, sc. 1) : lieu central

dont bénéficent les proscrits. Les bergers assurent en effet une partie de leur subsistance, en leur donnant « du lait, des fromages et des châtaignes » et ils observent à leur égard un devoir de protection. Un narrateur guide et ethnologue 6 En quoi la première phrase de la nouvelle s’apparente-t-elle à un guide touristique ? Précisez qui est désigné par le pronom « on » dans cette phrase. À la manière d’un guide touristique, la première phrase de la nouvelle semble s’adresser à un voyageur potentiel

originale et parfois difficile à discerner. Ainsi une argumentation peut paraître lâche ou serrée, courte ou longue, formelle ou informelle, lourde ou subtile, produite avec une économie de moyens ou au contraire donner l’impression de pilonner, classique ou novatrice, un long siège ou un coup d’audace, simple ou à effets, sérieuse ou bouffonne, évidente ou ironique, directe ou indirecte, agressive ou complice… 2.2 L’approche par les trois verbes Argumenter, c’est vouloir convaincre, persuader

grâce à quoi il eut la chance de voir de ses yeux le président de la République, Jules Grévy. Elle revint à Paris avec Guillaume et Albert en 1889, année de l'Exposition. Guillaume était depuis un an élève des Maristes au collège Saint-Charles, de Monaco. Il y connut deux condisciples qui, retrouvés plus tard à Paris, demeurèrent ses amis jusqu'à la fin, René Dalize et Toussaint-Luca. Il y fit d’immenses lectures, sources d’une érudition étonnante mais dispersée, y acquit un humanisme classique et s’initia

livre. Un livre d’heure d’imprimé à la fin 15em coût moins d’un sous (par apport au 50 sous). III) l’aspect matériel ou codicologie du livre : forme contenus, enluminures. A) Des volumes composites 1) L’environnement codicologique De quoi est composé le livre ? => Somme de plusieurs ouvrages. Tout codex est un mélange de textes moraux/poétique etc… L’origine viendrait du commanditaire => Choix, bibliothèque personnel dans un seul livre. Ou alors, des relieurs du 17em/18em ont

difficile à discerner. Ainsi une argumentation peut paraître • lâche ou serrée, • courte ou longue, • formelle ou informelle, • lourde ou subtile, • produite avec une économie de moyens ou au contraire donner l’impression de pilonner, • classique ou novatrice, • un long siège ou un coup d’audace, • simple ou à effets, • sérieuse ou bouffonne, • évidente ou ironique, • directe ou indirecte, • agressive ou complice… 2.2 L’approche par les trois verbes Argumenter, c’est vouloir

parfois difficile à discerner. Ainsi une argumentation peut paraître • lâche ou serrée, • courte ou longue, • formelle ou informelle, • lourde ou subtile, • produite avec une économie de moyens ou au contraire donner l’impression de pilonner, • classique ou novatrice, • un long siège ou un coup d'audace, • simple ou à effets, • sérieuse ou bouffonne, • évidente ou ironique, • directe ou indirecte, • agressive ou complice... .2.2 L’approche par les trois verbes : Argumenter, c’est vouloir

«spadassin» : homme d'épée, bretteur habile, assassin à gages. - «écuyer» : gentilhomme au service d'un chevalier Acte I scène 1 : - «entrailles du pape» : juron qui révèle le mépris du soldat pour l'autorité ecclésiastique. - «ducats» : grosse pièce d’or, à l’origine frappée à l’effigie du duc. - «moitié» : la moitié de la somme. - «débauche à la mamelle» : dès le plus jeune âge (exagération). - «rouée» : débauchée, personne intéressée et rusée, sans scrupule, qui mériterait le supplice de