En Quoi La Machine Infernale Est Elle Une Tragédie

description objective du rire 2)Un être déshumanisé → certains mots ne le désignent pas comme un homme : « sa face », mot repris à la l.15 pour désigner un masque et même le mot « apparition » qui lui donne un côté surnaturel → il ressemble à une machine « rire automatique » ; la réification est reprise par « pétrifié » = pierre → les images : la roue l.7 qui rappelle l’arrondi du visage mais le transforme ;« Méduse gaie » : oxymore= horreur, peur, mais le rire est présent : métaphore du monstre mythologique

néant. Nous avons cherché avec les comédiens à naviguer entre ces extrêmes qu’offre le théâtre de Feydeau : les gags qui se transforment en délires verbaux, sonores et visuels dignes des Monty Python, et les petits moments de solitude absolue et de tragédie intime de ces personnages ridicules et attachants. Le décor – une suite de paravents modulables – compose une série de portes qui claquent dans le vide et cachent mal les intimités domestiques : chambre à coucher d’où on entend les bruits d’amoureux

premier roman psychologique/d’analyse. Roman où l’intrigue passera après l’analyse des passions, le cœur humain (analyse plus importante que l’action). L’analyse même devient un récit. Roman qui crée une tradition - Tout grand roman est une « machine à générer de l’interprétation » Umberto Eco. Dans l’œuvre De l’amour de Stendhal, il dit qu’il ne comprend pas la princesse. Quelques pistes : Le roman jusqu’à la révolution, Coulet. Alain Génetiot Le classicisme. I- Introduction

MÉDÉE Tragédie de Thomas Corneille 1693 INTRODUCTION "Un Gascon chez les morts depuis peu descendu Crioit là-bas comme un pendu : Le diable emporte la Médée Et le fat qui l'a composée ! En un mot il crioit si fort Que le grand Corneille et Quinault A grands pas vers lui s'avancent Et curieux lui demandèrent Ce que signifioient ces cris? C'est un chien d'opéra contre lequel je gronde Car il m'a fait sortir du monde. Vous y mourutes de plaisir? Non messieurs de par tous les diables ! Les vers

actuelles. Affirmer le carctère infernal de nos rapports à autrui, c’est les placer sous l’aspect du conflit, de la violence ou du moins la difficulté à vivre en commun de façon harmonieuse avec autrui. Dans sa pièce Huit clos, Sartre décrit un enfer dans la mesure où ce n’est pas la méchanceté ou l’ignorance qui empêche deui me regra vivre en commun, c’est la nature de notre subjectivité qui nous rend impuissants à toute communauté. Il trouve ici un nouveau ressort à la tragédie hors de la cruauté des

1880-90 : tournant au théâtre = abandon de la notion de mimésis . [Rappel : m imésis , notion qui apparaît dans La Poétique d’Aristote : « La tragédie est l’imitation d’une action complète et entière ayant une certaine étendue […]. Est entier ce qui a commencement, milieu et fin. » Pour qu’il y est mimésis il faut donc que la pièce constitue un ensemble cohérent et que

préface est d’introduire l’œuvre d’un auteur. Précisez, pour la préface « Une comédie à propos d’une tragédie » et celle de 1832, quel est le genre utilisé et le registre qui domine. Dans la préface de 1832, l’auteur explique longuement son propos et argumente de façon véhémente contre la peine de mort. Il s’agit d’un essai développant une argumentation directe. La « comédie à propos d’une tragédie » est une petite pièce de théâtre satirique. 2 L’auteur qui rédige une préface pour son œuvre le fait

mari de Lalla Aïcha est rapporté par la mère du narrateur qui, toujours fidèle à ses habitudes, informe son époux de tout ce qui s’est passé pendant la journée. Ce n’est qu’à ce moment-là que le jeune garçon apprend, en même temps que le lecteur, de quoi il s’agit : « Moulay Larbi, le mari de Lalla Aïcha s’est disputé avec son associé, un certain Abdelkader fils de je ne sais qui… ». II- L’intérêt du récit oral Abdellah l’épicier exerce une influence considérable sur le narrateur à cause des histoires

............................................................................................ 31 La tragédie grecque Le théâtre classique français : la tragédie au XVIIe siècle La comédie aux XVIIe et XVIIIe siècles Le drame romantique Au XXe siècle, un théâtre multiforme Fiche Méthode 1 : La scène d’exposition Chapitre 3 > Genres et registres au théâtre : tragique et tragédie, comique et comédie A .......................... 57 Les registres Les registres tragique et comique

.........................................  41   JEAN  GIRAUDOUX,  ELECTRE  (1937)  ............................................................................................................  43   JEAN  COCTEAU,  LA  MACHINE  INFERNALE,  (1934)  ...................................................................................  44   ALBERT  CAMUS,  CALIGULA  (1944)  .........................................................................................