En Quoi La Culture éloigne T Elle De La Nature Selon Freud

Table des matières Introduction ........................................................................................... .. 4 1. Synthèse des idées essentielles développées dans l’ouvrage de Sigmund FREUD, L’avenir d’une illusion. ……………………..... .. 5-6 2. Plan de l’ouvrage…………………………………………………… 7 3. Analyse détaillée du chapitre 3 « Les représentations religieuses ».. 8-10 Conclusion……………………………………………………………… 11 Bibliographie…………………………………………………………… 12 INTRODUCTION. J’ai

dans l'histoire de l'humanité. Nous n'avons jamais été aussi nombreux et nous vivons à plus de 80% dans un monde urbain, un monde humain. Aujourd'hui l'Homme peut transformer la nature, Il peut s'éduquer durant des années, Il peut se transformer physiquement (ex : chirurgie esthétique). Et l'homme n'a jamais été aussi éloigné de son état naturel qu'aujourd'hui.On peut donc se demander pourquoi l'Homme ne veut pas rester à son état naturel ? Nous répondrons à cette question en deux temps : Dans un premier

DEVENIR HUMAIN Citations : Freud : « tout ce par quoi l'homme s'est affranchi de l'animalité et s'en éloigne à tous jamais » def de la culture selon Freud Malson : « la vérité que proclame en vérité tout ceci est que l'homme en tant qu'homme, avant l'éducation, n'est qu'une simple éventualité moins même qu'une espérance » Kant : «  l'homme ne peut devenir homme que par l'éducation .Il n'est que ce que l'éducation fait de lui » Aron : «  ce qu'il y a d'inhumain dans la guerre c'est qu'elle

est une créature bien différente des autres espèces qui peuples notre planète. On peut considéré que les animaux ont une nature, définit par des instincts, mais pour l'homme la question est plus difficile à traiter, en effet celui-ci est confronté, au contraire des autres êtres vivants, à la culture, mais dans quelle mesure cette-dernière peut-elle dénaturée l'homme ? La culture est au sens large, tous ce que l'homme acquiert à partir de sa naissance, tous ce qu'il apprend, qu'il intègre, que ce soit

s’oppose-t-elle à la nature ? Corrigé réalisé par Matthias Gault, professeur de philosophie. Ebauche de réflexion Tour à tour célébrant les miracles de la technique, ou les merveilles de la technologie, ou méfiants et nostalgiques d'un retour à la nature lorsque nous conspuons les nouveautés technologiques qui nous défont de l'authentique rapport à la nature, il semble que ces deux attitudes inverses reviennent au même : prendre acte de l'écart entre technique et nature, et faire de la technique

l’artiste, qui lui a le talent nécessaire, est une superposition ou même une substitution à la nature ; création humaine elle tend à transformer l’état de nature en état de culture. Le terme servir renvoi au nom serviteur ; quel est sa fonction ? Il est au service de, et par définition, est d’accomplir des tâches pour son maître : on peut de la sorte le comparer à un valet, ou un domestique. S’interroger sur « à quoi sert l’art ? », c’est donc se demander si l’art apporte quelque chose d’utile à son maître

l’artiste, qui lui a le talent nécessaire, est une superposition ou même une substitution à la nature ; création humaine elle tend à transformer l’état de nature en état de culture. Le terme servir renvoi au nom serviteur ; quel est sa fonction ? Il est au service de, et par définition, est d’accomplir des tâches pour son maître : on peut de la sorte le comparer à un valet, ou un domestique. S’interroger sur « à quoi sert l’art ? », c’est donc se demander si l’art apporte quelque chose d’utile à son maître

LE BONHEUR Le bonheur représente indéniablement ce à quoi tout homme aspire. Il marque l’accomplissement de son être, de son œuvre. Mais dès qu’on essaie de réfléchir sur ce terme, nous sommes confrontés à des difficultés , d’une part pour le définir, d’autre part pour le réaliser. Car suffit-il vraiment d’agir dans ce but pour l’atteindre , il faut sans doute y mettre du sien mais c’est rarement suffisant, toutes sortes d’obstacles jalonnent notre parcours (maladies, accidents, désillusions…)

Note à propos du titre : Cet ouvrage de FREUD a été très longtemps traduit comme « Malaise dans la culture. » qui est d'ailleurs le titre de l'édition que j'ai utilisé. Une autre traduction nous propose « Malaise dans la civilisation » qui semblerait s'inscrire de manière plus large grâce à l'utilisation du terme de civilisation. Je dis bien « semblerait », car les définitions des deux termes, selon leurs acceptions philosophiques, psychologiques, sociologiques ou politiques – etc – nous laissent

le  talent nécessaire, est une superposition ou même une substitution à la nature ;  création  humaine  elle  tend  à  transformer l’état de nature  en état  de  culture. Le  terme servir renvoi au  nom serviteur ;  quel  est  sa fonction ? Il  est au service de,  et  par  définition,  est  d’accomplir des tâches pour son  maître : on peut  de la   sorte le comparer à un valet, ou un domestique.  S’interroger  sur « à quoi  sert l’art ? »,  c’est donc se  demander  si  l’art  apporte  quelque chose d’utile