En Quoi La Comédie Instruit Elle

soient employés l’un pour l’autre. Document Définition de la rhétorique I.  La rhétorique est la faculté de considérer, pour chaque question, ce qui peut être propre à persuader. Ceci n’est le fait d’aucun autre art, car chacun des autres arts instruit et impose la croyance en ce qui concerne son objet : par exemple, la médecine, en ce qui concerne la santé et la maladie ; la géométrie, en ce qui concerne les conditions diverses des grandeurs  ; l’arithmétique, en ce qui touche aux nombres,

soient employés l’un pour l’autre. Document Définition de la rhétorique I. La rhétorique est la faculté de considérer, pour chaque question, ce qui peut être propre à persuader. Ceci n’est le fait d’aucun autre art, car chacun des autres arts instruit et impose la croyance en ce qui concerne son objet : par exemple, la médecine, en ce qui concerne la santé et la maladie ; la géométrie, en ce qui concerne les conditions diverses des grandeurs ; l’arithmétique, en ce qui touche aux nombres, et ainsi

amoureux. Il m'appellerait perfide, et ce mot de perfide m'a toujours fait plaisir; c'est, après celui de cruelle, le plus doux à l'oreille d'une femme, et il est moins pénible à mériter. Sérieusement, je vais m'occuper de cette rupture. voilà pourtant de quoi vous êtes cause! aussi je le mets sur votre conscience. Adieu. Recommandez-moi aux prières de votre Présidente. Paris, ce 7 août 17**. LETTRE VI LE VICOMTE DE VALMONT À LA MARQUISE DE MERTEUIL Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire

amoureux. Il m'appellerait perfide, et ce mot de perfide m'a toujours fait plaisir; c'est, après celui de cruelle, le plus doux à l'oreille d'une femme, et il est moins pénible à mériter. Sérieusement, je vais m'occuper de cette rupture. voilà pourtant de quoi vous êtes cause! aussi je le mets sur votre conscience. Adieu. Recommandez−moi aux prières de votre Présidente. Paris, ce 7 août 17**. LETTRE VI LE VICOMTE DE VALMONT À LA MARQUISE DE MERTEUIL LETTRE VI 10 Les Liaisons Dangereuses Il n'est

soient employés l’un pour l’autre. Document Définition de la rhétorique I. La rhétorique est la faculté de considérer, pour chaque question, ce qui peut être propre à persuader. Ceci n’est le fait d’aucun autre art, car chacun des autres arts instruit et impose la croyance en ce qui concerne son objet : par exemple, la médecine, en ce qui concerne la santé et la maladie ; la géométrie, en ce qui concerne les conditions diverses des grandeurs ; l’arithmétique, en ce qui touche aux nombres, et

J'aurais passé, après cette explication, si je n'eusse été arrêté par les exclamations d'une vieille femme qui sortait de l'hôtellerie en joignant les mains, et criant que c'était une chose barbare, une chose qui faisait horreur et compassion. "De quoi s'agit-il donc ?" lui dis-je. "Ah ! Monsieur, entrez," répondit-elle, "et voyez si ce spectacle n'est pas capable de fendre le coeur." La curiosité me fit descendre de mon cheval, que je laissai à mon palefrenier. J'entrai avec peine, en perçant la

lui dit qu’au Japon La fortune pour lors distribuait ses grâces. Il y court. Les mers étaient lasses De le porter, et tout le fruit Qu’il tira de ses longs voyages, Ce fut cette leçon que donnent les sauvages : « Demeure en ton pays, par la nature instruit. » Le Japon ne fut pas plus heureux à cet homme Que le Mogol l’avait été : Ce qui lui fit conclure en somme Qu’il avait à grand tort son village quitté. Il renonce aux courses9 ingrates, Revient en son pays, voit de loin ses pénates10, Pleure de

paysans. J'aurais passé après cette explication, si je n'eusse été arrêté par les exclamations d'une vieille femme qui sortait de l'hôtellerie en joignant les mains, et criant que c'était une chose barbare, une chose qui faisait horreur et compassion. De quoi s'agit-il donc ? lui dis-je. Ah ! monsieur, entrez, répondit-elle, et voyez si ce spectacle n'est pas capable de fendre le coeur ! La curiosité me fit descendre de mon cheval, que je laissai à mon palefrenier. J'entrai avec peine, en perçant la foule

subordonné, Phèdre peut être considérée en effet comme la première tragédie de caractère. Avec Phèdre, la tragédie française classique accomplissait de façon éclatante sa lente mutation de tragédie d'intrigue en tragédie de caractère, dix ans après la comédie, pour laquelle Le Misanthrope porte témoignage de la même transformation. Et c'est pourquoi elle est en même temps l'ultime chef-d'oeuvre d'un genre qui, fasciné par l'exceptionnel équilibre ici obtenu, ne fera plus que se survivre durant un siècle

— L’action. — Le temps et le destin. — Le spectateur du spectateur. — La comédie. — Le rire et les larmes. Dixième leçon : le costume. La mode. — L’originalité. — L’uniforme. — Costumes de combat. — Le style de l’ornement. — La ceinture. — L’homme et l’animal. Onzième leçon : le costume (suite). Costume de cérémonie. — Les insignes. — Perruques et voilettes. — Le costume de scène. — La draperie. — En quoi architecturale. — Le meuble. Douzième leçon : l’architecture. Les