Emmanuel Kant Environnement

de beauté en elle-même, on s’intéressera aux impacts de sa perception, tant sur ses observateurs que sur ses victimes. Si tu es belle, tu seras aussi bonne Pour me la jouer intello show-off, j’aurais pu commencer par vous dire ÉVIDEMMENT, même Kant a dit que le beau « était l’expression du bon »… Mais la vérité, c’est que j’ai pensé aux contes de fées en premier. Je ne te cause pas des contes de fées 2011, où visiblement les princesses ne voient aucun problème à roter, péter et salir leurs robes

MEHDI TMG1 GENOIS PHILOSOPHIE NOTE : OBSERVATION : On dit souvent que les hommes âgés ont de l’expérience. « Avoir de l’expérience » ou « faire l’expérience de » c’est le fait de vivre soi même quelque chose, de l’affronter seul, afin de rentrer en contact avec le monde réel. Mais alors pourquoi se frotter à la réalité, « faire l’expérience de » Cela est t’il important? Le fait d’avoir de l’expériences est il bon pour soi ? Qu’est-ce qui fait la valeur de l’expérience ? Que nous

du point de vue pragmatique, Kant définit la conscience de soi et illustre la manière dont cette faculté caractérise l’unicité de l’homme, en le distinguant, par là même, de tous les autres êtres vivants. Le philosophe indique tout d’abord la raison pour laquelle la conscience de soi doit être considérée comme le pouvoir qui confère à l’être humain sa dignité particulière : la conscience de soi l’institue comme une « personne ». Dans la deuxième partie du texte, Kant souligne le caractère universel

et ne demande rien d'autre qu'elle-même. L'art est un jeu désintéressé qui se justifie par sa seule beauté. L'art ne sert à rien. Il est un luxe totalement inutile, mais dont l'homme ne saurait se passer pour continuer à devenir ce qu'il est. Selon Kant « le beau est l'objet d'une satisfaction désintéressée et libre ». Certains pensent que l'art est là avant tout pour justement nous faire échapper à la réalité, en suscitant des émotions face à un tableau, une sculpture… A l'encontre des ces derniers

d’autant plus que les travailleurs ont, eux aussi, la liberté de travailler ailleurs. 2) Les actions des entreprises d'exploitation de l'amiante sont moralement condamnables selon, entre autres, les principes utilitaristes et le principe du respect de Kant. En effet, en utilisant l'utilitarisme, il est facile de démontrer que les dirigeants des entreprises auraient dû faire autrement. L'utilitarisme suppose que le plus grand nombre de gens possible devrait avoir le plus grand bien possible. Dans ce cas-ci

 Commentaire de texte Kant, Métaphysique des mœurs, Doctrine du droit Principe fondamental du droit – La coexistence des libertés individuelles Kant (1724-1804), « dans la plus grande intimité de son être et de son génie, a été l’homme du droit » affirme Jean Lacroix, philosophe français, dans Kant et le kantisme (PUF, 1996). En effet, héritier du siècle des Lumières, Kant ne pouvait demeurer insensible au contexte qui l’entourait. Beaucoup d’ouvrages étaient à cette époque consacrés au droit

sociologique. « Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Voilà la devise des lumières. » Emmanuel Kant, Was ist Aufklarung ?, 1794. a) L’esprit des Lumières : une  « Révolution Copernicienne » L’idée générale est de placer l’humain et la nature au centre de la vérité. Le siècle des Lumières est le siècle de la critique. Ce siècle célèbre la raison, et un philosophe comme Kant assoie le sujet humain au centre du monde, et la vérité n’existe que construite par l’Homme. La posture

l'homme est révélée à travers la société Il va même jusqu'à dire que les vices sont révélés par la société. Ainsi, nous pouvons voir certains effets négatifs de la société sur l'individu qui n'empêche pourtant pas la liberté de ce dernier car pour Kant, c'est justement dans la confrontation de la vie sociale que l'individu développe ses facultés. Pour conclure, nous avons vu que de nombreux auteurs pensent que la société est naturelle chez l'homme. Si pour certain, la société nous entrave, les autres

l'homme est révélée à travers la société Il va même jusqu'à dire que les vices sont révélés par la société. Ainsi, nous pouvons voir certains effets négatifs de la société sur l'individu qui n'empêche pourtant pas la liberté de ce dernier car pour Kant, c'est justement dans la confrontation de la vie sociale que l'individu développe ses facultés. Pour conclure, nous avons vu que de nombreux auteurs pensent que la société est naturelle chez l'homme. Si pour certain, la société nous entrave, les autres

l’effort ; l’acceptation de la difficulté de se forger une pensée. L’acceptation des doutes, de la modification de sa pensée au fil du temps  L’audace de penser par soi-même, malgré les risques de se tromper. Cf phrase du philosophe allemand Emmanuel KANT qui définit l’esprit des Lumières au XVIII°siècle : « Sapere aude » (OSE SAVOIR, ose te servir de ta propre intelligence). Pour illustrer cette idée : Cf article du « Monde » : « La soif de comprendre, nouveau créneau du business culturel » (sur