Emile Zola La Démocratie

législatives sont très favorables aux républicains. Mac-Mahon accepte enfin le régime parlementaire. En 1979, Mac-Mahon démissionne, c'est le triomphe de la République. B) Le triomphe de la République. - En quelques années, les bases de la démocratie sont jetées. Des lois sont prises pour assurer les libertés fondamentales :  -> liberté de Réunion (1881) -> liberté de la presse (1881) -> liberté de syndiquer (1884) -> liberté d'association (1901) - Un vrai pluralisme politique se met en

Proclamée après la chute du Second Empire, la IIIe République s’impose progressivement dans le pays. Entre 1870 et 1914, les républicains réalisent un projet dont les racines remontent à la Révolution française. Celui-ci s’appuie sur les libertés, la démocratie parlementaire, l’égalité ou encore la laïcité. Sa mise en œuvre s’effectue toutefois sans plan préétabli, au fil des événements politiques. En outre, de nombreuses contestations existent, que ce soit dans le domaine politique, social ou religieux

de la démocratie française de 1848 à nos jours   P. 6/7   Introduction : De 1848 à nos jours, la France a connu 6 régimes politiques.   - De 1848 à 1852, c’est la Seconde République, elle ne dure que 4 ans. - De 1852 à 1870, c’est le Second Empire qui s’achève par une défaite contre la Prusse - De 1870 à 1940, c’est la III° République qui pose les bases de notre démocratie politique. - De 1940 à 1944, c’est la dictature de Vichy - De 1944 à 1958, c’est le retour de la démocratie et la

condamné par antisémitisme, parce qu’il fallait un bouc-émissaire et par jalousie. Il est condamné à la déportation à perpétuité en Guyane. Des grandes personnalités s’insurgent contre cette décision et clament son innocence. Exemples : Clemenceau, Zola… Ils défendent Dreyfus au nom de la justice et de la vérité. Ils sont appelés les Dreyfusards. A l’inverse, il y a des anti-dreyfusards, pour défendre l’honneur de l’armée, la nation et la raison d’état. Cette crise divise les familles et les classes

La Fortune des Rougon (1871) D’Émile Zola (1840-1902) Le projet de Zola avec les Rougon-Macquart : Le titre générique Les Rougon-Macquart regroupe un ensemble de vingt romans écrits par Émile Zola entre 1871 et 1893. Il porte comme sous-titre Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire, comme le prouve cette phrase de Zola : "Les Rougon-Macquart personnifieront l’époque, l’Empire lui-même." Inspiré de la Comédie humaine de Balzac, l'ouvrage a notamment pour but d'étudier

LOIS (il nomme les préfets, les maires des villes de plus de 5000 habitants, les ministres – 3 CHAMBRES QUI REPRÉSENTENT LES DIFFÉRENTS POUVOIRS POUR MIEUX RÉGNER : Exécutif : Empereur, Législatif : Empereur. Officiellement, la Constitution est une démocratie, mais c’est en fait une dictature (régime autoritaire), l’empereur a presque tous les pouvoirs : le peuple est manipulé et le corps législatif faussé. Le régime est donc une dictature. Les principales libertés sont bafouées, à l’exception de la

ZOLA Les Rougon -Macquart Notes Générales sur la Nature de l'œuvre "Comprendre chaque roman ainsi : poser d’abord un cas humain (physiologique) : mettre en présence deux, trois puissances (tempéraments) ; établir une lutte entre ces puissances ; puis mener les personnages au dénouement par la logique de leur être particulier, une puissance absorbant l’autre ou les autres. Avoir surtout la logique de la déduction. Il est indifférent que le fait générateur comme absolument vrai : ce fait sera

et pour longtemps. À droite, l'affaire marque l'acte de naissance d'un parti nationaliste, autour des ligues et de l'Action française (créée en 1899), fort d'une doctrine - élaborée conjointement par Maurras et Barrès - qui mêle exécration de la démocratie et antisémitisme, enracinement dans « le culte de la terre et des morts » et exaltation des ardeurs bellicistes. À gauche, des regroupements s'opèrent également, concrétisés par la création de deux grands partis : le Parti républicain radical et

douteuse et criblé de dettes. Picquart, avant d’être muté en Tunisie, a le temps d’informer les amis de Dreyfus. Mais rien ne peut être fait car l’armée ne veut pasrevenir sur la chose jugée et se compromettre. L’« affaire » devient politique quand Émile Zola publie dans le journal L’Aurore, le 13 janvier 1898, sa lettre ouverte au président de la République et qui commence par « J’accuse » : il dénonce l’erreur judiciaire et demande la révision du procès. Sa lettre lui vaut une condamnation à un an

Au XXème siècle, les idéologies totalitaires retirent la jeunesse à l’Eglise.   Face à cela , la papauté hésite. Pie IX se replie sur un catalogue d’interdictions, le Syllabus, Léon XIII fonde une doctrine sociale de l’église à l’origine de la démocratie chrétienne.  En réalité, le recul n’est qu’apparent : l’église gagne du terrain grâce aux missions dans les colonies, où elle établit écoles et dispensaires. Les pèlerinages restent très importants et sont facilités par les chemins de fer : les