Emile Verhaeren Les Villes Tentaculaires

répulsion face au mal, il a fait émerger l’absurdité de l’existence en cette nuit du monde. Philippe BOISNARD Michel Foucault, L’Histoire de la folie à l’âge classique, Le cercle anthropologique, Paris, 1972, Tel-gallimard, p. 545. Emile Verhaeren, Les villes tentaculaires, Les usines. Henri Michaux, La Vie dans les plis, Les envies satisfaites, Paris, 1972, Poésie-gallimard, p. 11. Roberto Zucco, scène IV. Koltès La nuit juste avant les forêts. Une part de ma vie, Entretien avec Emmanuelle Klaussner

question 1 : qui est Alfred de Vigny ? (bio sous forme de prise de notes) Alfred de Vigny, « La Maison du Berger » Le poète s'adresse à Eva qui représente la femme en général. Pars courageusement, laisse toutes les villes ; Ne ternis plus tes pieds aux poudres (1) du chemin ; Du haut de nos pensers vois les cités serviles Comme les rocs fatals de l'esclavage humain. comparaison Les grands bois et les champs sont de vastes

contre-blason », ou éloge du « laid » dans ce même corps… « Blasonner » devint d’ailleurs un verbe à la mode pour désigner l’exercice poétique qui, chez d’autres poètes, servit encore à la description de plantes, d’animaux, de pierres, de météores et même de villes de France. Ici le « teint » (v. 5), la « bouche » (v. 6), la « gorge » (v. 9) et les « yeux » (v. 10) sont bien autant de lieux ou d’« appas » (v. 12) du corps de la belle Caliste, la bien nommée, dont l’évocation relève explicitement de cette forme

cœurs n’ont pas fini de balancer. Mais on peut aussi préférer un idéal de vie rustique et champêtre, proche de la nature, (le bonheur est dans le pré), à l’existence trépidante et artificielle des grandes villes tentaculaires (Les Villes tentaculaires est un recueil de poésie écrit par Émile Verhaeren). Quoi qu’il en soit, le choix n’est jamais simple car le bonheur n’est pas selon un « concept indéterminé » selon Kant. Il est aussi, précise Kant, un Idéal. Idéal non de la raison mais de l’imagination

édition des Fleurs du mal » 312 Hugo, « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » 314 Lautréamont, « Le Pou » Le poète, alchimiste du quotidien 316 Verlaine, « Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs » 317 Nouveau, « Le Peigne » 319 Verhaeren, « Les Usines » Le poète, alchimiste du verbe 322 Rimbaud, « Alchimie du verbe » 324 Corbière, « Le Crapaud » 325 Apollinaire, « Réponse des Cosaques Zaporogues au Sultan de Constantinople » L’objectif est de montrer comment, à partir

ville, la ville âpre et profonde … Toujours, en son triomphe ou ses défaites, elle apparaît géante, et son cri sonne et son nom luit, et la clarté que font ses feux dans la nuit rayonne au loin, jusqu'aux planètes ! Émile VERHAEREN , L'âme de la ville : Les villes tentaculaires SOMMAIRE INTRODUCTION....................................................................................................................1 1. HISTOIRE ET TOUR DU MONDE DES ILLUMINATIONS DES TOURS GÉANTES......

9, 10, 12, 14)  Lecture documentaire, TICE  Objectif : acquérir le bagage culturel nécessaire à la compréhension du roman (XIXe siècle, contexte historique et social) et se créer une fiche mémo sur l’époque.  Supports :Les expositions de la BnF Émile Zola, expositions en images, dossiers préparatoires, gros plans Adresse : http://expositions.bnf.fr/zola/index.htm Au Bonheur des Dames, l'exposition en images (une nouvelle société, naissance du commerce, espace de la ville - espace du roman, le roman

12, 14)  Lecture documentaire, TICE  Objectif : acquérir le bagage culturel nécessaire à la compréhension du roman (XIXe siècle, contexte historique et social) et se créer une fiche mémo sur l’époque.  Supports :Les expositions de la BnF Émile Zola, expositions en images, dossiers préparatoires, gros plans Adresse : http://expositions.bnf.fr/zola/index.htm Au Bonheur des Dames, l'exposition en images (une nouvelle société, naissance du commerce, espace de la ville - espace du roman, le

progressèrent-elles en quelques décennies davantage qu'elles ne l'avaient fait au cours des dix siècles précédents. Le XVIe siècle est marqué par l'apparition de la langue française moderne, soutenue par le pouvoir royal de François Ier, qui, avec l'édit de Villers-Cotterêts (1539), donne à cette langue son statut de langue officielle du droit et de l'administration du royaume de France. L'usage du latin commence à décroître, les dialectes continuent d'être parlés par la grande majorité de la population. Le

tout relativement, à 15.000 en 1911: effet d'un début de changement des mentalités? Peut-être, dans la République anticléricale des radicaux, était-il un peu plus facile aux divorcés d'affronter le regard de la société, au moins dans les grandes villes. Surtout, la taille des familles diminuait. En 1914 le nombre moyen d'enfants par famille était de 2, déjà en-dessous du fameux taux de renouvellement des générations (2,1 aujourd'hui, un peu plus à l'époque à cause de la mortalité infantile élevée3)