Emile Verhaeren Les Villes Tentaculaires

journaux aussi sont parus tel :La Nouvelle Littérature Belge . La liste des écrivains belges romanciers, dramaturges et poètes est très longue : on cite Maurice Maeterlinck -Charles Van Lerberghe – Georges Rodenbach – Max Elskamp – Emile Verhaeren -Franz Hellens – Georges Eekhoud –Camille Lemonnier et autres. La question qui se pose concernant la littérature belge est celle de la possibilité ou non de créer une littérature propre (à moi) à la Belgique, à l’écart de toute

Villes tentaculaires ou maîtrisées (Europe 1850 - 1914) ? INTRODUCTION La deuxième moitié du XIXème siècle ainsi que la première décennie du XXème est marquée par une période de forte industrialisation en Europe. Cette industrialisation est corrélée avec une forte croissance de l’urbanisation. On retient ici comme seuil de l’urbain, celui fixé par Paul BAIROCH à 5 000 habitants. Cette période marque le début d’une nouvelle conception de la ville : Avec la destruction des murailles et fortifications

Nourritures terrestres, Paul Valéry avec La Jeune Parque). Il y a eu aussi plusieurs écrivains belges, tous Flamands de langue française qui ont joué un rôle important dans la naissance du Symbolisme français. Citons Emile Verhaeren (Les Flambeaux noirs et Les Villes tentaculaires), Georges Rodenbach (Bruges-la-morte) et Maurice Maeterlinck (Les Serres chaudes, Douze Chansons, La Princesse Maleine, L’Oiseau bleu, Pelléas et Mélisande). b) Aspect pictural et musical. -‘’ Le poète maudit ‘’

modernité :villes,trains,objets du quotidien,réalités industrielles.Renouvellement du lyrisme ou refus du lyrisme ;le « moi » n’est plus au centre de la poésie.Ponge dans son recueil « Le parti pris des choses » prouve que même les objets les plus quotidiens trouvent leur place en poésie « Le pain »(P.IO2), « L’huître », « Le cageot »….Apollinaire dans « Zone »,premier poème du recueil « Alcools » évoque la Tour Eiffel,les rues,les publicités,les journaux… Les Villes tentaculaires de Emile Verhaeren peint

comme sujet. SOMMAIRE Préface La révolte de Émile Adolphe Gustave Verhaeren Bêtise de la guerre de Victor Hugo Je proteste de Louis Aragon Si même... Vénus anadyomène d’Arthur Rimbaud Rages de Césars d’Arthur Rimbaud Le reniement de Saint-Pierre de Charles Baudelaire Les Litanies de Satan de Charles Baudelaire Le palais royal Composition personnelle Conclusion Emile Adolphe Gustave Verhaeren est un belge flamand qui naquit le 21 mai 1855 et mourut le 27 novembre

croyant libre, Désattelé des bibliothèques, Avec tous ces passants cuvant en équilibre Leurs cognacs d'Absolu, leurs pâtés d'Intrinsèque !... Messieurs, que roulerais tranquille, Si j'avais au moins ma formule, Ma formule en pilules dorées, par ces villes Que vont pavant mes jobardises d'incrédule !... (Comment lui dire : "Je vous aime" ? Je me connais si peu moi-même.) Ah ! quel sort ! pour sûr, la tâche qui m'incombe M'aura sensiblement rapproché de la tombe. "Dimanches", Complaintes La nébuleuse

Quai n°9, 2008 Pablo Picasso, Guernica, 1937 DOMAINE 2 Musique Krzysztof Penderecki, Thrène à la mémoire des victimes d’Hiroshima, 1960 http://www.youtube.com/watch?v=akpE6UgROrU&feature=related DOMAINE 3 Littérature Emile Verhaeren Poème "Les Usines", Les villes tentaculaires, 1895 3°F EPREUVE D’HISTOIRE DES ARTS COLLEGE ELIE COUTAREL 2011/2012 GROUPE Gaëlle Camacho & Laura Pailler THEMATIQUE ART et SOCIETE PROBLEMATIQUE Comment l’art contemporain critique-t-il la société de consommation

choisi les sept poèmes suivant : * « Les Misères » de Théodore Agrippa d'Aubigné (1552-1630) * « Melancholia » de Victor Hugo (1802-1885) * -« Le Mal » d’Arthur Rimbaud (1854-1891) -« Le Dormeur du val » * « Les usines » d’Emile Verhaeren (1855-1916) * « Pater Noster » de Jacques Prevert (1900-1977) * « Le Déserteur » de Boris Vian (1920-1959) Dans un premier temps, nous approfondirons un peu les poèmes retenus : auteur, œuvre, recueil dont est extrait le poème, puis nous

l’électricité/ Les tramways feux verts sur l’échine». (extrait de « Voie lactée ») ◦ octosyllabe qui parle de tramways = innovation = mélange des styles ◦ personnification de la ville et de son énergie Autre œuvre : - Émile Verhaeren poétise aussi la ville dans Les villes tentaculaires • exprime une fascination pour la ville industrielle et ses usines à la fois sublimes et terrifiantes. Deux édifices considérés comme des symboles de modernité de la fin du XIXe siècleB. Une liberté de ton Premier

ma joie bien-aimée Chanté l'amour à voix virile Receuil: Alcools, 1913 J'ai choisi ce poème car j'aime les poèmes du genre lyrisme et le fait que l'auteur nous parle de ses echecs amoureux dans une ville. "Les Usines", Emile Verhaeren (1855-1916) Automatiques et minutieux, Des ouvriers silencieux Règlent le mouvement D'universel tictacquement Qui fermente de fièvre et de folie Et déchiquette, avec ses dents d'entêtement, La parole humaine abolie. Plus loin, un vacarme