Embellir Le Réel

de découvrir la mentalité de ceux-ci. Ensuite, nous nous pencherons sur le mythe indigène, cette propagande installée par les métropolitains, à travers des affiches ainsi que des ouvrages littéraires. Enfin, nous découvrirons la réelle situation de ces populations, par l’intermédiaire des zoos humains ainsi que des descriptions trouvées dans des récits d’exploration. I - CONTEXTE HISTORIQUE : LA COLONISATION La colonisation est une domination politique, économique, militaire

historiens s’accordent généralement sur le fait que le niveau de vie des êtres humains sur l’ensemble du globe n’a que peu évolué depuis l’Antiquité jusqu’au XVIIIe siècle (entre l'an 0 et l'an 1000 l'économie mondiale aurait même décliné), mis à part une embellie en Europe occidentale entre le Xe et XIIIe siècles, annulée par les épidémies et les famines des XIVe et XVe siècles. Ils s'accordent aussi à constater qu'il y a de grandes disparités selon les peuples et selon les époques, avec très tôt l'apparition

l’illusion et la représentation d’un ailleurs auquel on peut croire. Les décors ont donc un rôle central car ils assurent le passage entre l’univers de la séance, les lieux et l’univers de la pièce, et entre la coordination de ces lieux et le monde réel extérieur. Pour illustrer l’articulation de la scénographie autour d’un jeu sur la représentation distanciée de différentes périodes et dans l’esthétique de la mise en scène et dans le système référentiel de la fiction, on peut s’appuyer sur le Ruy

la société civile. Durant ces protestations, les médias traditionnelles, tel que la presse et la télévision, n'ont pas reflété la réalité inhumaine qui y avait en majoritairement dans les rues de Téhéran[11]. La télévision national à préférée embellir la victoire du président conservateur, et qualifier les protestants de dangereux[12]. Quelques jours après le meurtre de Neda, les médias nationaux ignoraient toujours sa mort, refusant de diffuser la réalité qui serait néfaste pour l'image du

celle de l’ « optimisme », doctrine philosophique qui procède de Leibniz et consiste à dire que la faiblesse de l’esprit humain lui interdit de pénétrer le « plan divin », les « desseins de la Providence », c’est-à-dire de percevoir la totalité du réel et de l’Histoire, totalité au sein de laquelle ce qui semble un mal à l’homme contribue en fait à un bien global. Le débat est à la fois complexe, parce que la théologie et le bon sens s’y heurtent, et périlleux, parce que contester l’existence de

faut avoir peur du progrès technique La peur du progrès technique est sans fondement réel Une éthique du progrès technique plutôt qu’une éthique de la peur Parties secondaires Il faut avoir peur du progrès technique  Introduction : A) La technophobie B) Des raisons d’avoir peur : le grand méchant loup C) Une éthique de la peur Transition : La peur du progrès technique est sans fondement réel Introduction : A) L’éthique de la peur : une démagogie B) Défense du progrès technique

Coup de théatre : apparition du rouge au premier plan Point de vue externe, objectivité (Parnassien) : utilisation des indéfinis perceptions simples fondent la description La déduction qu'on fait est aussi fondée sur examen précis du réel. Mouvement de caméra : on chemine vers le coeur du vallon, général 1er quatrain plus précis, description du soldat : En général, position au début puis détails Dernier tercet : proximité du regard, absence de mouvement des narines et de la

« L’ingénu ». Voltaire l’a nommé Candide pour souligner ça : il est candide, franc, sincère, sa perception du monde est pure, directe, droite. Il voit le monde tel qu’il est, comme un enfant, sans préjugés ni distorsions. Il découvre, révèle le monde non-embelli et montre-le au lecteur. 4. Ces deux personnages de contrast représentent deux points de vue extrêmes, deux pôles opposés. Cette opposition aide Voltaire à dessiner sa propre opinion qui est entre celles d’eux. Pangloss et sa métaphysico-théologo-cosmolonigologie

voilà ce qu'on murmure. Tout mon corps vacille, et je sens Se déclouer la sombre armure De ma raison et de mes sens. Je vois l'immense instant suprême Dans les ténèbres arriver. L'astre pâle au fond du ciel blême Dessine son vague lever. L'heure réelle, ou décevante, Dresse son front mystérieux. Ne crois pas que je m'épouvante ; J'ai toujours été curieux. Mon âme se change en prunelle ; Ma raison sonde Dieu voilé ; Je tâte la porte éternelle, Et j'essaie à la nuit ma clé. C'est Dieu que le fossoyeur

véhicule avec lui une histoire générique, partant de nombreux codes culturels, régi également par des impératifs inconscients) ne peut se réduire à l’application de théories (pseudo)-scientifiques qui appartiennent au monde réel et non à la fiction. Aussi voudrions-nous montrer dans le cadre de cette séance de quelle manière la Chartreuse de Parme , loin d’être une simple application des théories échafaudées dans De l’Amour