Eluard Un Seul Sourire

de l’auteur : « poète aigri (…) ta plume gratte au cœur de la vie ». Je me souviens qu’Artaud avait adhéré au mouvement surréaliste, lequel compte dans ses rangs de nombreux et célèbres poètes : André Breton, Robert Desnos, Louis Aragon, Paul Eluard ont écrit des poèmes qui nous éloignent de la souffrance et du malheur. La poésie peut faire place à l’humour : Robert Desnos jouait avec les mots, ses textes étaient souvent drôles. Le poème « Les Hiboux » pourrait agréablement permettre l’apprentissage

Blason du sourcil » de Maurice Scève, 1536 « A deux beaux yeux » de T. Gautier, La Comédie de la mort, 1838 « La courbe de tes yeux… », Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1924 « Je suis née de tes yeux », Ernest Pépin, Lettera Amorosa, 2007 - Problématique : comment traduire en mots le regard de l’être aimé ? - Lecture de l’image : Gala Eluard, Max Ernst, 1924. - Lecture cursive : poèmes d’amour (dans l’optique de constituer une anthologie personnelle) - Ecriture : écrire son blason /

plus efficaces. Exemples vers 21-22 et 47-48. Les particularités en comptent pas dans le sacrifice commun. c)Des éléments représentés par deux surtout dans la fin du poème et dans le titre Exemples vers 58-59, 63-64. Le poète réuni dans un seul vers les deux éléments contraires, des signes d'union, de réconciliation, Aragon en appel à l'union de toutes les forces pour donner toutes les chances à la libération du pays. Conclusion : Ce poème présente toutes les caractéristiques d'une

poétique, veut que la césure survienne après un mot, et non à l’intérieur : « Que toujours dans vos vers//le sens coupant les mots Suspende l’hémistiche,//en marque le repos » Mais les poètes modernes s’en écarteront parfois, comme le fait Paul Eluard dans le premier de ces deux vers : « Avec tes yeux je chan//ge comme avec les lunes Et je suis tour à tour// et de plomb et de plume » Le premier vers pratique donc ce que l’on appelle la césure enjambante ; le second pratique la césure classique

poétique, veut que la césure survienne après un mot, et non à l’intérieur : « Que toujours dans vos vers//le sens coupant les mots Suspende l’hémistiche,//en marque le repos » Mais les poètes modernes s’en écarteront parfois, comme le fait Paul Eluard dans le premier de ces deux vers : « Avec tes yeux je chan//ge comme avec les lunes Et je suis tour à tour// et de plomb et de plume » Le premier vers pratique donc ce que l’on appelle la césure enjambante ; le second pratique la césure classique

l'auteur s'adresse à un " tu " inconnu qui pourrait aussi bien être lui même (soliloque). Il s'oppose au elle qui introduit le récit du rêve. Verlaine reprend le " je " qui rappelle le mal-être chanté par les romantiques, pour nous suggérer peut-être que seul un être idéal pourrait déchiffrer son cœur, partagé entre les hommes et les femmes. Verlaine n'a pas trouvé dans sa vie la femme qu'il cherche. Son existence est onirique, elle est immatérielle, Verlaine ne se souvient même pas de son physique. Si

chez lui la nature éveille le désir, Attend-il qu’à son tour chez sa femme il s’éveille ? Non : sans aucun prélude il brusque le plaisir ; Il ne connaît point l’art d’animer ce qu’on aime, D’amener par degrés la volupté suprême : Le traître jouit seul… si pourtant c’est jouir. Loin de vous tous liens, fût-ce avec Plutus même ! L’Amour se chargera du soin de vous pourvoir. Vous n’avez jusqu’ici connu que le devoir, Le plaisir vous reste à connaître. Quel fortuné mortel y sera votre maître !

versification libre alterne cinq rimes différentes sans ordre régulier nous laissant l'impression de vagues désordonnées, d'une nature sauvage et indomptée. | Paul EluardLA TERRE EST BLEUE COMME UNE ORANGE (1429)Auteur: Paul Eluard né en 1895, mort en 1952 (XX)Paul Eluard, de son vrai nom Eugène Grindel, est né à Saint-Denis dans le 93. En 1912, il est atteint de la Tuberculose, il est donc contraint d'aller en Suisse pour se faire soigner. Là-bas, il rencontrera une jeune russe (qu'il surnomme

sont « une voix » et « elle ». b) Ces anaphores mettent en valeur la voix et l’espoir qu’elle représente. (2 points) 2- C’est le poète (représenté par « je » au vers 9) qui parle dans ce poème de « la voix » qu’il entend. Il n’est pas le seul à qui elle parvient comme l’indique le « nous » du vers 4 (qui désigne ses contemporains), qu’il interpelle à la deuxième personne au vers quinze « Ne l’entendez-vous pas ? ». (3 points) 3- a) C’est une phrase interrogative. b) Le poète alimente

annonce la fin d’une longue période d’agonie et de lutte pour certains et d’un long temps d’ennui pour d’autres. Ensuite, dans certaines croyances, on pense qu’après la mort, le défunt monte au ciel et tout comme la jeune fille du poème « Mourir » de Eluard, il garde les yeux ouverts pour pouvoir veiller sur ceux qu’il aime, les voir vivre, les guider puis accueillir ceux qui à leur tour mourront. C’est un peu une deuxième vie ou une renaissance. Mais ces idée sont beaucoup plus accentuées et présentes