Eluard Ronsard Hugo

pays… », Victor Hugo, les Châtiments, II, 5), les figures d’opposition comme le chiasme ou l’oxymore (« le soleil noir de la Mélancolie » Gérard de Nerval), les ruptures de construction comme l’ellipse ou l’anacoluthe (« Exilé sur le sol au milieu des huées, /Ses ailes de géant l’empêchent de marcher », Baudelaire l’Albatros) et bien sûr les figures de substitution comme la comparaison et la métaphore, (de Ronsard et Du Bellay à Jacques Prévert ou Eugène Guillevic en passant par Hugo, Apollinaire,

effet, durant cette époque, une nouvelle façon d’écrire voit le jour. Elle apparait au XVI siècle. Ce nouveau style s’appelle la Pléiade. Au départ, elle s’appelait «la Brigade» car elle était constituée de 7 poètes dont Joachim du Bellay, Ronsard, Rabelais… Ce groupe de poètes défendait la culture de la langue française ainsi que l’imitation des auteurs gréco-latins. Les poèmes qu’ils écrivaient correspondaient bien au renouveau puisqu’ils étaient écrits en sonnet (poème composé de 2 quatrains

dame. Les « Amours » de P.Ronsard adressés tour à tour à Cassandre, Marie , Hélène paraissent quelques siècles plus tard, et évoquent à la façon du grand poète italien Pétrarque, les mille douleurs amoureux. De même dans les Sonnets pour Hélène, Ronsard célèbre le charme de l’être aimé, l’émerveillement de l’amoureux devant une « divine nature ». D’ailleurs, il est fréquent que le poète s’inspire de ses liaisons amoureuses pour composer, tel est le cas de Lamartine, dans les Méditations poétiques

Capital de la douleur Paul Eluard (1895-1952) est un poète Français, il participe au mouvement du surréalisme, lui donnant trois de ses plus beaux recueils dont « Capitale De La Douleur » publié en 1926.Capitale De La Douleur est découpé en quatre sous parties:« Répétitions », « Mourir de ne pas Mourir », « Les petits justes » et « Nouveaux poème », qui contiennent approximativement 20/30 poèmes chacune. Poèmes exprimant le désespoir amoureux, la tristesse de Paul Eluard lorsque sa muse Gala le quitte

Le Parti pris des choses (1942). I- Certes, la poésie sert à exprimer des sentiments intimes A-La poésie célèbre souvent l'amour, les femmes. Elle sert de vecteur à une déclaration amoureuse. -Apollinaire, Poèmes à Lou, p.146. Mais aussi Ronsard qui, dans les Sonnets pour Hélène, p. 94, ne se contente pas de peindre à la mort et de presser Hélène de céder à ses avances, dans d'autres poèmes du recueil, il glorifie sa beauté. De même dans le recueil la Nouvelle continuation aux amours, p.93

rattrape, et même après l’avoir évitée et repoussée tant de fois, la mort fini toujours par se montrer. Vie et mort sont indissociables, car vivre c’est mourir. C’est ce qu’éprouve Pierre de Ronsard au moment où il écrit son poème Je n’ai plus que les os, trois semaines avant de trépasser. Dans cet adieu à la vie Ronsard, épuisé par la maladie, nous décrit l’approche de la responsable de sa décrépitude d’une manière qui nous laisse t’à penser qu’il l’accepte bien. Ce poème figurera en deuxième place dans

(Rabelais, Pantagruel, Gargantua) et littérature d’idées (Montaigne, Essais). - la Pléiade : imitation des modèles antiques, fondation d’un nouvel art poétique et promotion de la langue française. Genre littéraire dominant : la poésie lyrique (Ronsard, Les Amours ; Du Bellay, Regrets). Au XVIIe siècle, deux mouvements s’opposent et cohabitent : _ le mouvement baroque mise en scène des métamorphoses du monde ; obsession de la mort, du rêve, de l’inconstance, du masque ; profusion d’ornements

tantôt « tendres » ou tantôt « mélancoliques ». Cependant, la définition énoncée par Lamartine sur la poésie lyrique est-t-elle réellement celle partagée par le lecteur ? A l’aide des textes du corpus et de la préface de Les Contemplations de Victor Hugo, nous essayerons de comprendre la définition donnée par Lamartine pour enfin tenter de saisir la définition qu’attend le lecteur sur la poésie lyrique. Pour le poète, la poésie lyrique est l’épanchement de ses propres sentiments notamment grâce

DEVOIR DE FRANCAIS POUR LE 6/01/11 Poème 1: C'est un poème de Paul Eluard intitulé Notre vie, 1947 extrait du recueil Le temps déborde qui se rapporte à sa vie. Paul Eluard participe à la première guerre mondiale avant de s'engager dans le surréalisme. Il écrit les recueils Capitale de la Douleur (1926) et L'Amour de la poésie (1929). Il a écrit également plusieurs textes dénonciateurs comme Au rendez-vous allemand (1944). Dans ce poème on remarque que la vie est marquée par le bonheur

décrit dans la « Ballade des pendus » les pendus aux yeux « plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre ». Ronsard se peint lui-même à l'approche de la mort : « Je n'ai plus que les os... » ; il décrit la jeune Hélène devenue « bien vieille [...] au foyer accroupie ». Baudelaire peint « Une charogne ». Il puise parfois son inspiration dans une réalité plus délicate : dans « Fenêtres ouvertes », Hugo rend compte des bruits de la vie quotidienne qu'il perçoit de sa chambre. Le poète s'efforce de rendre