Eluard Courage

défendre la cité de Rome en danger. Horace ressemble en bien des traits à un véritable chevalier héroïque. Il en ressort un discours à tonalité épique car le personnage réalise un véritable louange de ses valeurs et actions guerrières : l’honneur, le courage, la fierté et le patriotisme. L’emploi des verbes d’action « je fais », j’accepte », « je combattrai » témoignent de l’engagement d’Horace pour la cité de Rome, c’est un véritable « serment » qui est fait à la cité de Rome, un pacte inaliénable

Personne « Cher journal, j’ai mon anniversaire aujourd’hui mais personne ne me souhaitera quoi que ce soit. Je viens d’avoir 15 ans et pourtant j’ai le sentiment d’avoir déjà trop vécu. Je suis assise dans une chambre qui ne me rappelle aucun souvenir, les murs ont vu défiler trop d’âmes en détresse, dont la mienne. J’ai vécu dans de multiples familles d’accueil pour me retrouver dans cet orphelinat. Ils disent avoir tout essayé. Je suis « un cas très compliqué ». Je n’ai jamais eu ma place,

dans son poème d'Aragon en l'honneur des 23 condamnés. Questions : I. L'importance du contexte historique Dans quel but ce poème est-il écrit ? L'écriture du poème « strophes pour se souvenir » répond à la nécessité de commémorer le courage des résistants du groupe Manouchian fusillés en 1944 pour leur engagement dans la Résistance. Parce que l'action résistante est accomplie dans la clandestinité et l'anonymat , la mémoire des résistants doit nécessairement être cultivée : c'est le

de l’amour indépendante et libre, se déclarant finalement « féministe » et refusant cette « amitié » faussement consolatrice. Jugement personnel : j'ai apprécié ce livre, car Marcelle Sauvagot fait preuve d'honnêteté, de clairvoyance et de courage mais surtout ,elle ne se fait pas d'illusions sur les sentiments de son amant et les siens. Elle prend conscience qu'il est avec une autre qu'elle, et elle veut lutter contre cela . De plus , le fait qu'elle soit gravement malade la rend encore plus

nourrissent de notre peur pour assouvir leurs objectifs. La peur peut susciter en nous divers sentiments et émotions : L’angoisse, la folie, la jalousie, le repli sur soi, l’étourdissement, le traumatisme, le désespoir mais tout aussi la bravoure, le courage, la motivation, la force, la hardiesse, la détermination, le travail, la rigueur, l’ajustement et le dynamisme. Celle-ci est fécondée par le réalisme de notre impuissance, notre faiblesse, notre légèreté, notre insignifiance, notre incapacité d’agissement

d’interdictions dans une phrase très longue débitée d’un seule souffle et faite pour être dite rapidement. Cette litanie s’arrête brusquement par la reprise du mot « comprendre » et une avant-dernière phrase pathétique « Si je deviens vieille ». + le courage d’Antigone, tout jeune encore, impressionne (sa détermination et son calme devant la mort qui l’attend) : bravoure, héroïsme + la révolte d’Antigone s’ancre dans un refus des interdits, une exaspération devant les contraintes auxquelles nous pouvons

les attaques. Une faible luminosité marquée par l'oxymore v1273 où la seule lumière vient d'une lune ou des étoiles. Un suspens créé par la succession des épisodes: une embuscade v1258/1281, l'attaque surprise v1282/1292, les maures retrouvent le courage v1293/1296, un combat féroce v1297/1309, des renforts arrivent v1311, la fuite des maures v 1313/1315. La conjonction de coordination “mais” montre le changement de situation v1293/1324/1309. Cet épisode est mis en valeur par des vers qui délimitent

viles créatures […], c’est un seul chevalier qui vous attaque ! » « ôte-toi de là […] un combat […] sans pitié » : D.D. de DQ avec un lexiq dépréciatif qui vise à rabaisser ; DQ fait de ses opposants l’antithèse du chevalier (vile : sans dignité ni courage) pour apparaître lui-même c° un chevalier exemplaire  DQ ne connaît pas le doute et est inflexible (cf Achille au ‘’cœur de fer’’) = certitude * Modèle de courtoisie : « il se recommanda de tout cœur à sa dame Dulcinée, la priant de le secourir »

entendement sans la direction d'autrui ».Or cet état peut se rencontrer à tout âge et il ne provient pas de l'incapacité où sont les hommes de juger par eux-mêmes et de comprendre (« entendre »), mais par manque de courage de se servir de cette faculté, sans la direction d'autrui.« Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! », voilà quelle est la devise des Lumières. Kant se demande toutefois pour quelles raisons les « mineurs », au sens ainsi défini, sont si enclins à céder à la paresse et

villes. Il retrouve Giuseppe. Mais décide de séparer leur chemin et se donner un lieu de rendez-vous en Italie. Angelo, errant à nouveau seul, rencontre la femme qui l’avait hébergé à Manosque. Entre Pauline et lui va naître un amour, fondé sur le courage qui les distingue du reste de l’humanité. L’un et l’autre parfaitement heureux, ils vont faire route ensemble en multipliant les actes de bravoure militaire. Sur leur chemin, ils se font attraper et mettre en quarantaine, mais ils s’évadent aussitôt