Eloge Paradoxale Tristesse

dans son maintien, dans son expression, qui l’associe à l’abandon joyeux des autres Noires. Grave, rêveuse, elle semble plutôt jeter sur la scène, vers les danseurs et les danseuses, un regard où se lit peut-être, pour nous, la conscience ou la tristesse de l’exclusion. Voilà, très sommairement, ce que dit le tableau, et voilà sans doute ce qu’y lit d’emblée Bernard Giraudeau en mai 1994 puisque la plupart des éléments ici rassemblés se retrouveront dans son film. Difficile en effet, pour le spectateur

Origines……………………………………………………………………………… 2 : Léon l’Africain………………………………………………………………………. 3 : L’amour de Loin…………………………………………………………………….. 4 : Les identités Meurtrières…………………………………………………………… 5 : Contre la littérature francophone………………………………………………….. 6 : Eloge du doute……………………………………………………………………….. Section III : Réception critique du Périple de Baldassare…………………………….. 1.L’express : L’apocalypse selon Maalouf, par Thierry Gandillot…………………… 2.Lire : Un marchand génois à la recherche d’un livre mythique par

hommage à l'amour. Les 6-7 convives présents doivent prendre la parole et expliquer pourquoi l'amour est le plus important des dieux. Ils le font jusqu'à ce que, à la fn du dialogue, Alcibiade (éphèbe amoureux de Socrate) prononce un éloge de l'amour qui se transforme en un éloge de Socrate. Les dernières lignes du banquet sont : « le Soleil se lève, tous les convives se sont endormis, seul Socrate veille encore, il sort de la maison et entame sa journée sans avoir dormi. » Lors de ce banquet, un médecin

d’enfants, est convaincu par Médée de l’accueillir à Athènes après son départ de Corinthe. Médée annonce au chœur sa vengeance : tuer la femme de Jason puis ses propres enfants, pour priver Jason de toute descendance. Troisième stasimon (v. 824-865) : éloge d’Athènes et condamnation du projet d’infanticide. Quatrième épisode (v. 866-975) : Médée feint de se réconcilier avec Jason ; elle appelle ses enfants et leur donne le voile et la couronne à remettre à l’épouse. Quatrième stasimon (v. 976-1001) :

armoire. Mais surtout, le couple ambivalent du grotesque et du sublime se retrouve dans les personnages eux-mêmes. Le plus comique de tous est sans aucun doute le roi Carlos : drôle, intelligent et caustique, il incarne le grotesque inquiétant et paradoxal du pouvoir. Extrait : Hernani, Acte 1, Scène 1 « (…) DON CARLOS Cache-moi céans. Doña JOSEFA Vous ! DON CARLOS Moi. Doña JOSEFA Pourquoi ? DON CARLOS Pour rien. Doña JOSEFA Moi vous cacher ! DON CARLOS Ici. Doña JOSEFA Jamais ! DON CARLOS

d’enfants, est convaincu par Médée de l’accueillir à Athènes après son départ de Corinthe. Médée annonce 3 au chœur sa vengeance : tuer la femme de Jason puis ses propres enfants, pour priver Jason de toute descendance. Troisième stasimon (v. 824-865) : éloge d’Athènes et condamnation du projet d’infanticide. Quatrième épisode (v. 866-975) : Médée feint de se réconcilier avec Jason ; elle appelle ses enfants et leur donne le voile et la couronne à remettre à l’épouse. Quatrième stasimon (v. 976-1001) :

le mystère du voyage en Afrique, ce que représente le voyage rimbaldien, du voyage poétique au voyage physique : le voyage comme rupture, comme échappée belle, comme son propre chemin que l’on trace. Voyager, c’est changer la vie. Séance 2 : Éloge de la fugue Objectifs : prolonger la réflexion sur l’art de la fugue/ Analyse d’images mobiles Dominante : Lecture d’images https://www.youtube.com/watch?v=h9Qd-ZvyJyg 1. Projection de la scène finale des 400 coups de François Truffaut : quel lien

touchant. Parmi les douze filles qui étaient enchaînées six par six par le milieu du corps, il y en avait une dont l'air et la figure étaient si peu conformes à sa condition, qu'en tout autre état je l'eusse prise pour une personne du premier rang. Sa tristesse et la saleté de son linge et de ses habits l'enlaidissaient si peu que sa vue m'inspira du respect et de la pitié. Elle tâchait néanmoins de se tourner, autant que sa chaîne pouvait le permettre, pour dérober son visage aux yeux des spectateurs.

touchant. Parmi les douze filles qui étaient enchaînées six par six par le milieu du corps, il y en avait une dont l'air et la figure étaient si peu conformes à sa condition, qu'en tout autre état je l'eusse prise pour une personne du premier rang. Sa tristesse et la saleté de son linge et de ses habits l'enlaidissaient si peu que sa vue m'inspira du respect et de la pitié. Elle tâchait néanmoins de se tourner, autant que sa chaîne pouvait le permettre, pour dérober son visage aux yeux des spectateurs.

glorieuses », et ensuite qui ? qui sont les héros ? et où ça se passe ? Question géographique. Il a donc donné l’incipit du roman, on sait en quelques lignes de quoi il s’agit, où ça se passe, de qui on va parler. Mais alors ce titre est ici assez paradoxal, car en regardant de près, on voit que chacune des parties contient une surprise. « Légende et aventures » D’une part on a un singulier, et de l’autre un pluriel. Se demander ce qu’est légende > legere, legenda = ce qui doit être lu. Donc ça