Eloge Paradoxale Tristesse

prêt à donner tout, son titre, son château, tous ses biens, pour avoir de nouvau l’air jeune. Son vœux montre qu’il n’est pas seulement un vieillard aristocratique, fier de ses ancêtres, mais qu’il souhaite se libérer du passé. L’éloge qui suit, éloge paradoxale, revèle un côté entièrement humain : « Au cœur on n’a jamais de rides » (762). Il ne lui reste pas d’autre option que de mettre en valeur les avantages de son âge et de sa sagesse par rapport à la jeunesse qui lui manque. En s’adressant aux deux

servir de méthode de dépouillement. But de Montaigne : réunir les 2 courants afin de mettre en valeur une déficience de l’homme qui est à la fois épistémologique et ontologique. Il doit y avoir une fusion du néant de l’homme en Dieu. La négativité paradoxale de Dieu se mue en une positivité supra essentielle. Dieu est avant l’être, avant le principe de non-contradiction. Chez les tenants de la théologie négative, … La négation est irréductible dans l’Apologie de Raymond Sebond, l’homme est néantise

ZONE , Apollinaire C'est le poème d'ouverture du recueil Alcools (1913), mais il parle du centre de Paris, ce qui en fait une ouverture paradoxale. (titre : zone, alors qu'il est question de la tour Eiffel,…). On peut donc penser qu'il reprend l'étymologie grecque "ceinture" : il fait à pied le tour de la ville, mais aussi le tour de ses problèmes (interrogations sur lui - même, son enfance, sa religion : réflexion sur les souffrances, sur l'amour). On est frappé par l'apparence du poème

choix des couleurs montre l’influence de l’impressionnisme (qui privilégie l’expression des sentiments au détriment du réalisme de la scène : La couleur est une sorte de langage – noir pour exprimer la tristesse, jaune, rouge pour exprimer la chaleur, le bien-être…) Construction du tableau C’est un éloge à Tahiti. Il y a une impression de vitalité. Le tableau est divisé en deux : au premier plan, la nature. Au 2ème plan, les femmes et l’homme Les humains (en haut) semblent naitre, venir de cette nature

historique et politique .................................................................................. 35 3) Critiques ........................................................................................................................ 35 a) Eloge de la mémoire contre le pacte de l’oubli : allusion aux disparitions en Argentine ? ........................................................................................................................................... 38 Conclusion ......

Orphée ne se retournât pas vers elle. Or, n’entendant pas le pas léger de l’ombre de sa femme, il se retourna et la perdit à jamais. Orphée revint sur terre inconsolable. Dès ce moment-là, le lyrisme devint synonyme d’expression personnelle de la tristesse. (On attribuait en effet à Orphée l’invention de la lyre). La poésie lyrique En fait, la poésie lyrique n’est pas une poésie forcément désespérée. Ce qui la caractérise, c’est l’expression de sentiments personnels, quels qu’ils soient, tristes

instantanée de son ami « tressaillant et se redressant vivement », qui redoute, plus que tout, que d’autres que son ami perçoivent sa souffrance (« Devant ce monde ? »). Plus révélatrice encore, et toujours face à Le Bret, c’est après son brillant éloge paradoxal du plaisir qu’il éprouve à déplaire (« Eh bien oui, c’est mon vice. / Déplaire est mon plaisir. J’aime qu’on me haïsse », v. 1023 à 1040) – lui-même consécutif à sa tirade des « Non, merci » (v. 964 à 1022) –, que Cyrano, face à son ami lui répondant

Baudelaire, « Parfum exotique » Séquence 11 La poésie symboliste D. G. Rossetti, Lilith P. Verlaine, Poèmes saturniens, « Mon rêve familier » D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Parfum exotique » TEXTE 2 S. Mallarmé, Poésies, « Tristesse d’été » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 C. Baudelaire, Le Spleen de Paris, « Un hémisphère dans une chevelure » TEXTE 3 A. Rimbaud, « Au Cabaret-Vert, cinq heures du soir » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « À une passante » ÉTUDE

au côté des grecs contre la domination turque où il va mourir. Vin Médoc : Chasse Spleen  : donné par Byron, il en raffolait parce que ce vin avait le pv de chasser le spleen : éloge de l’ivresse. Quand il choisit le mot spleen, au contraire de mélancolie qui est un terme médical  : héritage de la médecine antique galénique fondée sur la

genre picturale, la question du regard est très importante, question de l’objectivité essentiel dans le portrait. Dans quelle mesure un portrait peut il être objectif ?? Tout portrait est subjectif donc c’est qu’il appartient au registre épidictique (éloge ou blâme). Contrairement au portrait pictural, un portrait littéraire s’appuie à la dimension psychologique et le portrait peut aussi être un portrait de soi. Importance de l'acte du peintre, c'est à dire de faire le portrait. Dans quelle mesure