Eloge Paradoxal

(également nommé Petits Poèmes en prose) à un objet inattendu et banal, les fenêtres, quoique apprécié des peintres (Vermeer, Rembrandt) : Baudelaire était un passionné de peinture. De ce nouveau "tableau parisien", il fait une sorte d'apologue paradoxal dans lequel il montre que les fenêtres fermées sont plus intéressantes que les fenêtres ouvertes. Mais dans Les Fenêtres, Charles Baudelaire va au-delà : il propose une réflexion qui dépasse l'anecdote du tableau inséré au cœur du poème en prose

dialogue avec Ronsard au travers des Regrets. Il met en opposition et de ce fait définit deux poétiques. Tout d’abord, il construit un éloge de Ronsard dont les thèmes sont: 
la faveur auprès du roi 
la grandeur des sujets porté par la fureur inspiratrice et
les succès qui lui permettent d’acquérir de son vivant l’immortalité. Mais il faut y voir là un éloge paradoxal. Cela lui permet aussi d’élaborer et de prendre possession de son propre domaine poétique. Face à la faveur royale, il affirme le choix

comment Molière s’y prend-il pour peindre la psychologie de son héros emblématique. Nous verrons dans un premier temps l’éloge que Dom Juan fait de l’inconstance, avant de porter notre attention sur le portrait du héros. I. Une argumentation paradoxale 1.1. Dom Juan se rit de la fidélité... On remarque que dès les premières lignes jusqu’à la 52ème, Dom Juan reprend la théorie de la constance énoncée par Sganarelle pour mieux la contredire avec vigueur. - Reprise de la thèse de Sganarelle

Poésie irrégulière tercets, quatrain 1vers seul poésie 13 quatrains rimes riches Registre 4 Lyrique épidictique épidictique Comique = autodérision Épidictique comique Thème 2 Araignée animal/ plante répugnants Éloge du pou Crapaud, poète une personne exclue Éloge du peigne Figure de 3 style antithèse Comparaison (l5 et 6) personnification hyperbole interpellation du lecteur Comparaison animalisation métaphore vers 10 Personnification vers 16, 37 antithèse vers 18, 42

A savoir: l La scène s’ouvre sur une tirade de Sganarelle, qui fait l’éloge ironique du tabac. Cet éloge donne le ton à la pièce et place la scène dans un registre comique. l Début « in médias res » => au milieu des choses Introduction : Molière est un dramaturge et comédien français du 17ème siècle qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV. Molière s’inscrit dans le classicisme qui rejette toute forme d'excès. Il a écrit de nombreuses pièces de théâtre telles que

est la scène 2 de l’acte I de Dom Juan, durant laquelle le héros apparaît. Constituée d’un dialogue entre Sganarelle et son maître, cette scène se termine par une longue réplique de Don Juan sur l’infidélité. Il expose son libertinage en faisant un éloge de l’adultère, afin de répondre à la contradiction portée par son valet. (présentation du passage) Quelle forme prend cette défense de l’infidélité ? Comment Don Juan avance-t-il sa conviction ? (problématique) Dans un premier temps, nous montrerons

théâtre. De même (l.3)« cela est admirable » illusion confirmé par la crédulité d’Argan. Toinette dit (l.9)« je vois monsieur, que vous me regardez fixement » introduit la justification de Toinette sur son âge renforcement de l’illusion théâtrale et éloge de la médecine car elle conserve mais c’est ironique dans la bouche de Toinette. Rire exagéré de Toinette valeur hyperbolique, âge très avancé pour l’époque. (l.17)« un beau jeune vieillard » cet oxymore renforce l’illusion théâtrale. 2) Le langage

dramatique et comique en confrontant le personnage lui-même au portrait paradoxal de son valet Sganarelle. Pour permettre à ses spectateurs de se faire rapidement une idée sur le personnage, la scène présente une explication entre les deux protagonistes qui lui dit qu’il « trouve fort vilain d’aimer de tous côtés ». DJ réplique dans une longue tirade et lui expose sa philosophie de l’amour. PB : Plan → Dom Juan, portrait du libertin ; éloge de l'inconstance amoureuse ; éloquence et persuasion I) Dom Juan

pour proposer une version originale tant dans la forme que dans le fond. Puisque la Femme est pour lui un être ambivalent, il va proposer dès lors, à partir d’une chanteuse de rue, un éloge paradoxal qui lui permettra d’envisager, on le verra, l’acte poétique d’une façon particulière. II. L’éloge paradoxal de la Femme A. La gueuse Portrait négatif avec : - ses vêtements + accessoires : « haillon trop court », « trous », « pauvreté », « bas troués », « sabots lourds », « sans autre

éléments du texte qui incitent au voyage. Dans une deuxièmepartie nous étudierons comment Grand Corps Malade fait un éloge paradoxal de la ville. Problématique : Comment Grand Corps Malade fait-il un éloge de la ville tout en faisant apparaitre les aspectsnégatifs ? I . Un voyage à travers la ville 1- Les différents lieux évoqués 2- Les cultures : Cosmopolitisme II . Un éloge paradoxal 1- Attachement pour Saint Denis 2- Une vision lucidede la ville Conclusion I . Un voyage à travers la ville