Eloge Paradoxal Du Bruit

1. ------------------------------------------------- Erasme, Eloge de la folie L'erreur est énorme de faire résider le bonheur dans les réalités : il dépend de l'opinion qu'on a d'elles. Il y a tant d'obscurité, tant de diversité dans les choses humaines, qu'il est impossible d'en rien élucider, comme l'ont justement dit mes Académiciens1, « les moins orgueilleux des philosophes »; ou bien, si quelqu'un arrive à la connaissance, c'est bien souvent aux dépens de son bonheur. L'esprit de l'homme

doit-il nécessairement célébrer la beauté ? Peut-on célébrer le laid avec une forme belle ?  On pourra ainsi se demander comment Baudelaire détourne le topos littéraire de l’adresse à la femme aimée dans une vanité pour se livrer à une célébration paradoxale du laid, du répugnant et du mort (de la mort ?).   I – De la vanité à la description macabre   La vanité est un type de tableau très courant au XVIe siècle dans la peinture baroque. Son propos est moral : il s’agit de rappeler à celui qui

tous... » (l.9) -> Absurdité complète de cet affrontement. La guerre : lieu où on risque sa vie sans raison. b) l’image paradoxale de la prison comme refuge La prison devient un lieu de refuge et de protection pour Bardamu (contraire à la vraie vie) : « prison pépère » (l.18). Les murs de la prison deviennent des remparts où l’on se protège. Idéalisation de la prison (paradoxale à la vie réelle) : « une toute prête, au soleil... (l.19). Renversement des valeurs associés communément à la guerre. (Guerre

Ce sonnet s'insère dans une œuvre de commande , la reine Catherine de Médicis invitant Ronsard à chanter une de ses dame d'honneur : Hélène de Suggère. Nous nous attendons donc à un éloge de la dame , suivant le scénario pétrarquisant en vogue au XVIème siècle. Cependant, le traitement du portrait , va reposer sur un autre thème traditionnel : la déchéance inévitable imposée par la vieillesse à la dame. Ce poème se rattache alors a une tradition, celle où le dépit de l'amant s'exprime par une forme

générosité de la mer * 4ème : L32 à la fin, Piracci, focalisation interne . Description vivante : * Les odeurs * Les lumières = HYPOTYPOSE * La foule en mouvement * Le bruit + parole de la foule . Fonction référentielle : * Illusion réelle, illustration visant à créer l’illusion réaliste. Faire passer la fiction pour une vraisemblance. * Champ Lexical du marché aux poissons : « Thon, poisson » ; « pêcheur »

auxquelles il croit exilées du monde. Quand Bernanos écrit ce pamphlet en 1938, il est déjà un auteur connu pour avoir écrit déjà un roman Sous le soleil de Satan (1926), et un pamphlet La grande peur des bien-pensants (1931). Son pamphlet fait grand bruit : il s’oppose à Claudel, il est soutenu par Mauriac. C’est à cause de sa notoriété et de sa position décalée par rapport à son propre camp. Il dénonce la perversion de la fin poursuivie par les moyens employés. L’écrivain est aussi un personnage public

d’insistance sur science et silence qui associe les chats aux savants· “Erebe” = région des enfers au bord du styx· Rimes riches avec “Ténèbre” et “funèbre” qui revoient à la mort et au Spleen· Périphrase “Amis de la science et de la volupté” → éloge et dualité· Éloge des chats → Êtres profonds, énigmatiques, mystérieux et orgueilleux. Attirés par la mort. → Tonalité fantastique · Les chats ensorcelant· “Sphinx” , Caractere double → séduisants (chat

à Corneille « courent, volent et nous vengent » en passant par Baudelaire « leurs ailes de géants empêchent de voler » et Hugo « Ruy Blas ». Jeux de mots et de sons pour montrer la bêtise de l'élite : « croient croire », « croa-croa ». On file du bruit de la grenouille au coq peut-être avec les « plumes », symbole de la pédanterie. Au début, on a de la poésie en vers libres et ensuite on glisse vers la poésie en prose. Fausse envolée lyrique du « goémon dans le creux des rochers » puisqu'il est

voyelles nasales qui adoucissent l’impératif (“Songe”) +  assonances et rythme ± irrégulier, rimes +idée de rêve, donc d’idéal commence à s’installer avec “Songe”· Seules activités de ce lieu : aimer -> aimer = vivre là-bas· “pays qui te ressemble” : éloge de la ♀ ? (j’ai ajouté mais suis pas sûre) · “soleil s ”, “ciel s ” -> éternel · “ciels” -> terme de peinture -> tableau imaginaire, irréel· oxymore “Soleils mouillés” : impossible

Il n’a pas demandé avantRetour au présentVers 30Je t’implore : il lance un appel quasi désespéré et devient un « malheureux père » qui suscite la pitiéLe châtimentVers 32Etouffe dans son sang : image terrifianteBontés de neptuneVers 21Evocation paradoxale : la mort tragique qui sera un bienfait pour le pèreCette tirade consacre la rupture définitive entre un père et un fils. C’est une violence inouïe avec un appel au châtiment divin. Le fils est tragiquement condamné par un père qui le traite de