Eloge Paradoxal De La Lenteur

18), « rayons de l’automne » (valeur symbolique de l’automne, saison romantique). • Du « matin » au « réseau d’or », image qui connote le coucher du soleil ou de l’année (cf. « automne »). • Adverbe : « tout doucement » (v. 16) ; impression de lenteur, avec rime intérieure sourde en « ou » et sonorités dentales « t » et « d », et douceur de « c (= ss) », « m ». • Les verbes : le présent et les verbes d’état (« je suis ») ; verbes comme « commence à » (v. 15). b) Le vocabulaire • L’expression

informatisée des devoirs ne permet aucune erreur de code. > Veuillez rédiger ce devoir après avoir étudié la séquence 3 Objets d’étude : – l’éloge et le blâme ; – démontrer, persuader, convaincre. Objectifs du devoir : Ce devoir porte sur l’éloge paradoxal ; il évalue votre connaissance des genres de l’éloge et du blâme et votre capacité à analyser et produire une argumentation relevant de ces genres. Pour réaliser ce devoir, vous devez donc maîtriser les acquis de la séquence 3 portant sur les genres

tout mon corps et transir et brûler. (Racine) Oxymore : Deux termes, unis grammaticalement, s’opposent par leur sens. L'union de mots contraires frappe l'imagination. Ex : Un silence assourdissant ( Camus ) Elle se hâte avec lenteur ( la tortue de La Fontaine ) La Bête humaine d’Emile Zola Cette obscure clarté qui tombe des étoiles (Corneille) Antiphrase : Elle exprime une idée par son contraire dans une intention ironique. On dit le contraire de ce qu'on pense

Champs lexicaux de la vie sociale (métiers, ville…) Satirique => Dénoncer des comportements, défauts ou des personnes en se moquant. Visée argumentative. - Antiphrases - Caricatures : figures de l’exagération (hyperboles…) - Naïveté feinte ou éloge paradoxale - Allusions et sous-entendus Tragique => Montrer qu’il n’y a plus d’espoir, faire naître la crainte et la pitié - Futur prophétique - Style solennel - Figures d’insistance - Exclamations et interjections - Champs lexicaux du sacrifice et

l'association du surnom de son aimée renforce cette peur de mourir. Il utilise le lexique du destin (*ajouté les vers) c'est une constatation tragique. Il y a aussi une sonorité en « sang » → effet de ralentit en 4 et 4 (syllabe) et puis 8. Cette lenteur peut être associé au crépuscules lui même associé a la venue de la nuit qui entraîne la venue a une mort imminente. Apollinaire pourtant a beaucoup aimé être dans l'armée. Il y a une certaine forme de lucidité de l'auteur (v29) Dans les autres strophes

rêverie du poète. Les navires viennent tout juste d’accoster et sont bercés par le bonheur de l’immobilité. La deuxième partie du vers renforce cette idée à travers la sonorité en [g] et la rime féminine qui apporte une douceur et une sensation de lenteur à la fin du vers. La fin du tercet installe une véritable progression dans le texte. Alors que début du sonnet évoquait un départ vers l’inconnu, la fin du sonnet installe un point d’ancrage : le port maritime. Comme si l’expérience amoureuse était

plus de toutes ses qualités, une valeur rare et inestimable dans ce monde de libertinage : la vertu d’une honnête femme qui est de« s'attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d'une femme, qui est d'aimer son mari et d'en être aimée ». Singulier éloge du mariage « d’inclination » en un siècle où le mariage d’intérêt est la règle ! Mais pour atteindre ce bonheur, il ne suffit pas de se prémunir du mensonge des hommes, il convient tant «  il était difficile de conserver cette vertu » de se préserver

L’impulsivité de Julien (l. 5 à 6)L’impulsivité de Julien est la définition même du mélodrame.Verbes au passé simple : «  s’écria Julien et il s’élança une vieille épée du Moyen Age » → décalage entre la spontanéité de sa colère et la lenteur de cette action 3- Une affrontement inéluctable ? (l.7 à 12)Julien est un personnage romantique et pathétique cependant son orgueil tellement excessif qu’il prête à rire. Hyperbole : « Sa douleur, qu’il croyait

de la vie. Texte 2 : Dans ses Satires (1668), Nicolas Boileau, auteur du XVIIème siècle, le siècle du classicisme, conçoit la sagesse comme « une égalité d’âme, que rien ne peut troubler ». Il met en garde contre la « flamme » des passions. Lenteur et précaution caractérise la sagesse humaine. La qualité principale en est sans doute la constance, ce que l’on peut déduire d’un raisonnement a contrario dans lequel Boileau évoque la fourmi, qu’on « ne voit point d’une humeur inconstante » (v.31)

malédiction » • Hortense Chauvin « Voyager lentement pour se reconnecter au vivant », • Image bêtes sauvages qui réapparaissent pendant le confinement dans des lieux touristiques ou Eaux de Venise avant après confinement ? • « Apprentissage de la lenteur » Jean-Michel Maulpoix, Chutes de pluie fine / Sujet d’écriture personnelle : Les touristes mettent-ils (nécessairement) en danger la planète ? Séquence 3 : Le grand voyage … Invitation à voyager, invitation à se transformer. Problématique