Eloge Paradoxal De La Lacheté

mort : La mort c’est l’éternité ( jeunesse)  allusion à un temps suspendu « mon rêve infini » « des grandes nuits » // le crépuscule du soir ( inspiration poétique née d’une nuit d’insomnie, et d’une figure féminine morte) B. Une représentation paradoxale de la mort Confusion entre la vie et la mort : la femme vivante est évoquée comme déjà morte avec adjectif «  ténébreuse » => superposition vie et mort La souffrance est représentée par les euphémismes, et l’allitération en P Incarnation de la

prêt à donner tout, son titre, son château, tous ses biens, pour avoir de nouvau l’air jeune. Son vœux montre qu’il n’est pas seulement un vieillard aristocratique, fier de ses ancêtres, mais qu’il souhaite se libérer du passé. L’éloge qui suit, éloge paradoxale, revèle un côté entièrement humain : « Au cœur on n’a jamais de rides » (762). Il ne lui reste pas d’autre option que de mettre en valeur les avantages de son âge et de sa sagesse par rapport à la jeunesse qui lui manque. En s’adressant aux deux

façon des héros de Salinger, elle est provocante, perverse, insolente, amusante, exubérante : «Elle donne à la vie des coups d’accélérateur», dit l’un des personnages. Mais elle est marquée par une grande ambiguïté : dans sa conduite, il y a un paradoxal et pathétique défi au viol alors qu’en fait elle est restée bloquée par celui de sa mère. Patiemment, elle tisse sa toile, usant de la fascination qu’exerce sa beauté et son mystère pour parvenir à ses fins, satisfaire son sombre besoin de vengeance

du pouvoir qui a le pouvoir de la parole. C/ Ironie du fabuliste Modalité exclamative «  manger l’herbe d’autrui, quel crime abominable »  souligne l’absurdité de cette conséquence injuste. On met aussi en avant le manque du courage, la lâcheté.  « on n’osa trop approfondir » Vocabulaire religieux, antithèse entre « saints »  « querelleurs ». Negat* de restriction «  rien que la mort … » crée un décalage entre la force du châtiment et la faiblesse du crime. Rapidité marque par l’hémistiche

d’enfants, est convaincu par Médée de l’accueillir à Athènes après son départ de Corinthe. Médée annonce au chœur sa vengeance : tuer la femme de Jason puis ses propres enfants, pour priver Jason de toute descendance. Troisième stasimon (v. 824-865) : éloge d’Athènes et condamnation du projet d’infanticide. Quatrième épisode (v. 866-975) : Médée feint de se réconcilier avec Jason ; elle appelle ses enfants et leur donne le voile et la couronne à remettre à l’épouse. Quatrième stasimon (v. 976-1001) :

goût de l'indépendance et du pouvoir pervers) en la personne d'Ésaü, l'intolérance du monde adulte (dont les huguenots du Val-des Joncs sont à la fois victimes et responsables), l'amitié (Paméla), la perfidie (les parents de Paméla, l'oncle... ), la lâcheté (le charpentier Pierreclou), la servilité (le docteur Trelawney)... Médard a moins de liberté que les autres, car il est grevé d'un itinéraire prédéterminé par les occurrences avec l'intrigue. Mais, en dépit de cette contrainte, il manifeste une

d’enfants, est convaincu par Médée de l’accueillir à Athènes après son départ de Corinthe. Médée annonce 3 au chœur sa vengeance : tuer la femme de Jason puis ses propres enfants, pour priver Jason de toute descendance. Troisième stasimon (v. 824-865) : éloge d’Athènes et condamnation du projet d’infanticide. Quatrième épisode (v. 866-975) : Médée feint de se réconcilier avec Jason ; elle appelle ses enfants et leur donne le voile et la couronne à remettre à l’épouse. Quatrième stasimon (v. 976-1001) :

C’est enfin un homme seul, dans son individualité, qui est représenté, au point qu’on peut parler de portrait de Rolin. 8 Séquence 7 – FR10 © Cned – Académie en ligne 1 A La critique de la société Lecture analytique n° 1 : Érasme, Éloge de la folie, ch. LIV Introduction et situation du texte Érasme est une figure centrale de la Renaissance. Appelé «  Prince des humanistes  », on le qualifie aussi d’humaniste européen. En effet, au début du XVIe siècle, il est connu partout en

l’a tué? Et pourquoi? Il était allé dans un bal de faubourg afin de prouver son courage en défiant et tuant l’homme réputé le plus vaillant des environs, Rosendo Juarez. Mais, contre toute attente, Rosendo ne répondit pas à la provocation, avec une lâcheté qui pourrait cependant passer aussi pour un acte de courage. Francisco quitta le bal en vainqueur, emmenant la femme de Rosendo (la Lujanera) comme butin de sa facile victoire. Mais, peu après, il revint, blessé à mort. Par qui? par la femme? par

c’est essentiellement un art de l’artifice et la vie elle-même – la morale et la civilisation – est tenue d’être artificielle ; ce n’est pas par hasard que Baudelaire a écrit, dans son étude sur Constantin Guys, le peintre de la vie moderne, un « Éloge du maquillage ». Au fond, pour lui, tout accès à la « spiritualité » passe par un « maquillage » et rien n’est plus contradictoire avec l’homme spirituel que l’homme naturel. Le spirituel se confond avec le poétique, et l’éthique baudelairienne du