Égoïsme

ont moins de remboursement * Pb de représentativité = les jeunes sont peu représentés. Le fossé de creuse : les jeunes s’abstraient au moment des votes alors que les plus âgées votent et donc ont plus de « pouvoir » * Les générations sont égoïsmes * Il y a un conflit intergénérationnel * Document 2 : avoir trente ans en 1968 et 1998 « C. Baudelot et R. Establet » * Selon les 2 sociologues, les liens intergénérationnels sont toujours présent dans la famille + sens de transmission

la société : le défi de la richesse. III Les thèmes Les thèmes dominants sont :   Le thème fondamental du roman :l’égoïsme : est poussé dans ce roman. Cette égoisme est déclenché par des querelles d’héritage d’argent de famille. Elle règne a la place de la générosité. Cette égoisme met les sentiments de coté pour priviliéger la réussite personnel ; seul le père Goriot fait preuve d’une extrême générosité envers ses filles et ses fidèles. La paternité est traitée d'une

La nature humaine, dans la mesure où elle est soumise au principe de plaisir, où elle est recherche du plaisir, ne se présente pas, nous dit Hume, comme égoïsme. Hume tient beaucoup à l’idée, en s’opposant à certains de ses contemporains, que l’homme n’est pas essentiellement égoïsme mais plus profondément partialité. L’homme n’est pas QUE égoïsme, c’est à dire qu’il n’est pas indifférent à ses semblables, mais dispose d’une sphère naturelle de sympathie, seulement cette sympathie naturelle mais qui

62 : les différentes attitudes du courtisan ambitieux : indifférence, égoïsme, hypocrisie,..., que des contraintes auxquelles il doit se soumettre au point qu'il est en esclave, " martyr de son ambition" 'ambition ( remarques 61 à 73) est le sentiment qui anime tous les courtisans et qui conditionne tous leurs faits et gestes. Empressés, ils sont et vont partout où ils peuvent être vus. Certains sont plus habiles et plus sournois que d'autres, tel Théodote qui cache bien son jeu. Au

petit à petit qu’il a été victime des adultes (sa mère, son père) ; Dans un éclair de lucidité, il comprend qu’il a été abandonné par sa mère. Il finit par rompre avec son père qui l’a accueilli à regret. il ne peut plus supporter son hypocrisie,son égoïsme, sa lâcheté.Il ne retrouve qu’un peu de tendresse qu’auprès de son oncle et sa tante qui n’auraient pas demandé mieux que d’accueillir ce petit enfant pour le mettre à l’abri des tourments. Son refuge, ce sont les mots. Ce livre est écrit dans seul

comprend ainsi aisément l’idée que développe Tocqueville selon laquelle l’égalité des conditions parmi les hommes conduit à l’individualisation de la société.C’est le résultat de l’égoïsme démocratique. L'individualisme de la société est due à un égoïsme démocratique. « Ces petits et vulgaires plaisirs » qu’évoque Alexis de Tocqueville semblent être le seul intérêt des citoyens modernes. La jouissance matérielle et l’enrichissement est la principale préoccupation sociale des masses. La société devient

en conflit avec les autres, spécialement avec ceux partageant la même inclination. A l'opposé, seul l’amour désintéressé préserverait de l’égoïsme. Il y aurait donc un « égoïsme faible » (dû aux besoins physiologiques fondamentaux) susceptible de ne créer des conflits que dans des circonstances exceptionnelles, et un « égoïsme fort » engendrant inéluctablement la rivalité et la discorde. Les quêtes insatiables du pouvoir, de la richesse, du confort, du prestige appartiennent à cette dernière catégorie

penser que l'acte moral se caractérise précisément par le désintéressement envers nos intérêts personnels. Notre aptitude à distinguer le bien du mal étant liée à l'usage de notre raison, comme l'indique Kant, agir moralement c'est agir contre son égoïsme. Agir moralement n'est rien d'autre qu'écouter notre raison : la loi morale est en nous et, souligne Kant, est la même pour tous puisque nous sommes tous des créatures raisonnables. D'où le caractère universel de ses impératifs qui s'imposent à nous

siècle. Ce document s'attache à analyser les variantes du mythe ainsi que des thèmes tels que la morale amoureuse, la religion, la dénonciation des classes sociales ou encore l'inadéquation entre moeurs et morale dans la société. Au-delà de son égoïsme et de son insolence, Don Juan fait ressortir des points importants au niveau social. En effet, son instabilité et son irrévérence mettent en valeur certains caractères dans les nombreuses classes qu'il fréquente due à son rang et à ses appétits amoureux

et malingre » (chap.II, lg.26-27). Une certaine « faiblesse » (lg.29, chap.II) émane de sa personne. À cause de cela, il n’étudie pas de toute son enfance et demeure « ignorant » (chap.II, lg.40). Il est également profondément égoïste (chap.II, « égoïsme féroce », lg.55). Laurent, quant à lui, ami d’enfance de Camille, est décrit comme « grand » et « fort » (chap. V, lg. 36) par le narrateur. Il émane de lui une « beauté sanguine » (chap.V, lg.39). Des expressions telles que « joues pleines