Eglise Anglicane Croyances

économiques, culturelles. Leurs successeurs de la dynastie des Stuart ( 1603-1701 ), en particulier Charles Ier et Jacques II, suscitèrent une opposition politique ( anti-absolutiste ), religieuse ( anti-papiste et anti-catholique en Angleterre, anti-anglicane en Ecosse ), et anti-française. L’armée du parlement battit celle du roi[51]. Après la deuxième révolution, dite « Glorieuse révolution » ( 1688-1689 ), le régime de la monarchie limitée par les droits du parlement laissait néanmoins l’exécutif au

épouvantable. — Il n’y a pas de solution... Mais on attend tous des réponses, non ? — Eh, tu parles à une unitarienne ! Nous adressons nos prières « à qui de droit ». Et ce que j’aimais le plus dans le rite épiscopalien, à part la superbe musique chorale anglicane, c’est que le message religieux est avant tout personnel, pas dogmatique. Pas de Dieu de l’Ancien Testament qui te foudroie sur place si tu oses ne pas croire qu’il est le commandant en chef. Mais enfin c’est sûr que la grande faille de toute pensée

Il suffit de s’y mettre tout de suite dare-dare ! de leur faire admirer pendant quelques heures d’escale... tout ce que la ville et le Régime offrent de plus révélateur, de plus excitant pour des cœurs prolétaires. Autobus... tour... retour... églises... visites, revisites... rautobus... endoctrinage partout... discours... croquette finalement... A l’usine des téléphones on ahurit les pèlerins d’une avalanche d’explications techniques... les " sonner par les détails " fait partie du beau programme

ariens. Lorsque les Francs parurent à leur tour, il y avait une place à prendre. La Gaule elle-même les appelait. Et l'Église comprit que ces nouveaux venus, ces païens, rivaux naturels des Burgondes et des Goths, pouvaient être attirés dans la vraie croyance. Ce fut le secret de la réussite de Clovis et c'est une des raisons pour lesquelles on ne peut pas dire qu'il y ait eu de conquête franque. Depuis longtemps déjà l'Empire romain agonisait. En mourant, il laissait une confusion épouvantable. Plus

ariens. Lorsque les Francs parurent à leur tour, il y avait une place à prendre. La Gaule elle-même les appelait. Et l'Église comprit que ces nouveaux venus, ces païens, rivaux naturels des Burgondes et des Goths, pouvaient être attirés dans la vraie croyance. Ce fut le secret de la réussite de Clovis et c'est une des raisons pour lesquelles on ne peut pas dire qu'il y ait eu de conquête franque. Depuis longtemps déjà l'Empire romain agonisait. En mourant, il laissait une confusion épouvantable. Plus