Egalité Et Liberté Sont Elles Compatibles

différents pour se désigner elles-mêmes, mais un ensemble d’objets : s’il n’y a pas de politique qui se représente toujours comme telle, il y a toujours des armées (ou des gens qui ont des armes), des différents réglés, des ressources allouées, des groupes en conflit, des représentations plus ou moins légitimes de l’ordre social. Il n’est donc pas défendu d’indiquer empiriquement et naïvement une liste d’ « activités politiques » qui balisent le champ, même quand elles ne sont pas imputables à des

tâches que leurs membres ont à accomplir et du point de vue de la qualité et de la quantité des biens et services qui leur échoient dans la répartition de la production. Dès lors, le problème n'est plus de savoir si les inégalités sont justes mais si elles sont justifiables, « [car], tandis que les dominés ont intérêt à la découverte du mécanisme social comme loi historique qui peut être abolie si viennent à être abolies les conditions de son fonctionnement, les dominants ont intérêt à ce que ce mécanisme

sociales que si elles bénéficient aux plus désavantagés (second principe, dit « principe de différence »). C'est au double nom de l'équité et de la rationalité que la situation des plus désavantagés doit être la pierre de touche de la justice dans une société démocratique. Rawls énonce ainsi ses deux premiers principes de justice : *le principe d'égale liberté : « Chaque personne doit avoir un droit égal au système total le plus étendu de libertés de base égale pour tous, compatible avec un même système

/ république Il y a rarement un facteur qui explique tout (ex. religion) Il faut s interesser aux relations entre différents phénomenes (groupessociaux etc) qui produisent des configurations (historiques) spécifiques. L ETAT NATION EST IL COMPATIBLE AVEC LA DIVERSITE CULTURELLE ? Une question théorique Posée dans un contexte politique particulier (backlash contre le multiculturalisme), années 80, durcicement des regulatuions sur l immigration. Montée de l'extreme droite, néopopulisme, fantasme

le consensus social. Rawls y propose de fonder l’organisation de la société sur deux principes: le principe de liberté, qui affirme le droit égal de chacun aux libertés de base, et le principe de différence, qui accepte – dans certaines limites spécifiques – les inégalités socio-économiques, pourvu qu’elles soient attachées à des emplois ouverts à tous «dans des conditions de juste égalité des chances» et qu’elles aient pour effet d’améliorer le sort des plus défavorisés. Ces deux principes sont les

creation d'une identite collective, notamment chez les cadres. a) Au cours du XXe siecle, les inegalites se sont globalement reduites d'ou l'emergence d'une classe moyenne Kuznets au fur et a mesure de la croissance, les inegalites augmentent puis elles baissent. Au depart, une seule partie de la population s;enrichit grace a la valorisation de capital et de l'epargne, de la propriete. Ensuite, les inegalites baissent car il y a une baisse des independants (un indep rachete une entreprise, de meme

les citoyens d'un ensemble de droits fondamentaux (liberté d'expression, de circulation, de propriété, etc.) ; au niveau social et symbolique, comme l'avait analysé Tocqueville [1835-1840], les individus y sont animés d'une « passion pour l'égalité ». En effet, l'abolition d'une société d'ordre qui fut l'acte de naissance des démocraties occidentales, instaure une société de classes où l'assignation statutaire n'est plus de mise et où la liberté de parole permet de mettre en question les inégalités

Peut-on s'opposer au progrès technique ? 19. Peut-on à la fois exploiter la nature et libérer l'homme ? 20. Les progrès de la technique sont-ils nécessairement des progrès de la raison ? 21. Le développement des techniques nous donne-t-il plus de liberté ? 22. Est-il juste d'affirmer que l'activité technique dévalorise l'homme ? 23. L'action ne vise-elle que l'efficacité ? LE TRAVAIL, LES ECHANGES 24. Peut-on dire du travail qu'il fait violence à la nature humaine ? 25. L'homme se reconnaît-il

sociale pour aider de manière collective les personne à : - Surmonter une baisse de revenus liée à un risque de la vie (chômage, maladie, vieillesse, handicap…). - Faire face à un accroissement des charges (maladie, prise en charge d’enfants). Elles représentent en 2012 29,4% du revenu primaire brut en France (15,4% en 1960). B.3) La politique de bas revenus La persistance de la pauvreté et du chômage a conduit une évolution du système distributif français.  Apparition de prestations reposant

paradigme d'une égalité de tous, de droit, et voulue de fait ? Nous nous intéresserons ensuite aux raisons de la ferveur sociale qu'il suscite. Nous proposerons enfin une critique de la méritocratie sportive, en soulignant les limites du discours qui l'idéalise. I Le mythe méritocratique : tous égaux sur la ligne de départ. 1/ Égalité et justice. A/ L'idée fondatrice, qui permet l'assimilation du sport contemporain à la mise en oeuvre du principe démocratique d'une égalité de tous (égalité des chances)