Effets Pervers D Une Creation Monetaire Excessive

L’OBSERVATION DES FAITS ET L’EMERGENCE DU CONCEPT MODERNE DE CRISE Comme la vie sociale, l’activité économique est scandée de multiples rythmes, la production est aléatoire (cf agriculture). Sous l’AR, on peut faire deux observations : - l’ampleur des effets de la crise dépend du mode de répartition de la production, donc de la nature des rapports sociaux - les crises frumentaires de l’AR comme les crises des pays défavorisés aujourd’hui n’ont pas de causes climatiques ; elles sont très largement déterminées

des grandes entreprises b) Les difficultés financières et monétaires -Recours à l’impôt -Dons particuliers -Rapatriement des capitaux -Recours à la dette publique Auprès des particuliers, endettement auprès de pays extérieurs (R-U, USA) -Création monétaire -Principal prêteur : Environ 10 milliards de dollars de prêt aux belligérants : 3 au R-U et 4 pour la France -1914-1919 : l’encaisse or est stable et la masse monétaire est multiplié par 6 -Suspension de la convertibilité or/argent

vous est demandé de faire apparaître clairement le plan utilisé. Première partie : Exercices (16 points) Exercice 1 (8 points) Document 1 : La masse monétaire dans la zone Euro Milliards € Pièces et billets Dépôts à vue M1 Dépôts à terme < 2ans Dépôts avec préavis < 3 mois M2 Pensions Titres d’OPCVM monétaires Instruments du marché monétaire et titres de créances < 2 ans M3 2005 496,6 2807,8 3304,4 1027,4 1520,1 238,9 621,3 118,6 6830,7 2006 553,7 3046,0 3599,7 1209,1 1566,2 247,0 615,8 164,9

courbe LM…………………………………………….. C) La représentation de l’équilibre…………………………………………….. D) Impact des politiques actives………………………………………………. D.1) Cas de la politique budgétaire…………………………………… D.2) Cas de la politique monétaire……………………………………. II) Le programme néo – classique : la remise en cause de la politique Economique…….. II.1) La courbe de Philipps………………………………………………………………. II.2) La réinterprétation de Friedman : la courbe de Philipps augmentée………….. II.3)

d’instruments à atteindre des objectifs relatifs à la situation économique ou social d’un pays. Objectifs  Instruments  Résultats Politique conjoncturelle Maintenir ou rétablir les grands équilibres économiques à court-moyen terme. (Politique monétaire et politique budgétaire) Politique structurelle Modifier les structures de l’économie à long terme pour suivre le changement économique. (Politique industrielle, politique de la connaissance…) Les objectifs de la politique économique conjoncturelle :

par Bank of America, en ont été le détonateur. Cette crise est le résultat de l’enchaînement d’une série de facteurs qui ont modifié le comportement des investisseurs parmi lesquels ont été dénoncés, la désintermédiation bancaire, la titrisation excessive des créances, la transformation du risque de liquidité ainsi que l’évaluation de certains actifs à la valeur du marché. Les normes IFRS ont pour vocation de mieux informer les investisseurs de la valeur réelle de l’entreprise et consacrent à travers

PUISSANCE DU BRESIL SE FRAGILISE 7 2.1: Ce pays qui est une grande puissance agricole reste un pays fragile. 7 2.3 : La population du Brésil 8 3 : L’AGRICULTURE RESTE LE POINT FONDAMENTALE DES INEGALITES 9 3.1 : Une concentration foncière excessive. 9 3.2 : La réforme agraire est la seule solution 9 3. 3 : Le sous-développement se retrouve aussi dans les inégalités régionales 10 4 : LES VILLES DU BRESIL SONT LE REFLET DE L’INEGALITE SOCIALE 10 4.1 : Le pays d’Amérique latine le plus

budgétaire reflète également l’orientation politique d’un gouvernement, selon qu’il privilégie ou non l’intervention de l’État dans les processus économiques. 1. LES DIFFERENTES PRINCIPES La politique budgétaire constitue, avec la politique monétaire, l’un des principaux leviers de la politique économique de l’État. Elle consiste à utiliser certains instruments budgétaires (dépenses publiques, endettement public, prélèvements fiscaux) pour influer sur la conjoncture économique. Jusqu’à la crise

productions, par opposition aux prolétaires qui sont exploités car ils ont juste la force du travail. D. Le monétarisme. C’est un terme apparu à la fin des années 60 pour qualifier un courant de pensé éco. pour lequel l’action de l’Etat en matière monétaire est inutile voir nuisible. Friedman a cherché à rétablir la théorie quantitative de la monnaie contre la théorie dominante de l’époque, le keynésianisme. E. L’économie de l’offre. C’est une pensée économique selon laquelle la manière la plus

d’un contrat social qui permet de rompre avec L’Etat de nature. C’est un contrat qui est propre à faire respecter un système de droits compatibles. On dénombre trois critiques de la théorie du contrat social : - Cette théorie suppose une création de l’Etat non spontanée, comme une démarche rationnelle et réfléchie par les agents. - Cette théorie repose sur une conception négative et pessimiste de la nature humaine. - Le caractère non concret du concept de contrat social : l’Etat