Effets Pervers D Une Creation Monetaire Excessive

(années 1840) ▪ prise de conscience de la rentabilité nulle (cf. la boule des NTIC en 2000) Spéculation se répercute sur l'économie : ◦ mouvement de hausse des taux d'intérêt (résultant du besoin de monnaie et de politiques restrictives des autorités monétaires) ◦ krach entraîne des difficultés en liquidité bancaires et industrielles qui freinent l'investissement Crise permet alors de "purger" les excès spéculatifs (une réponse aux perturbations) La spéculation toujours renouvelée : Reinhart et Rogoff

paiements et un ralentissement de la croissance. L’explosion des ratios d’endettement et de l’incapacité de pays de l’UEMOA à faire face à cette situation a entrainé leur gouvernement, avec l’appui de la Banque Mondiale(BM) et du Fonds Monétaire International(FMI) à procéder à de nombreuses mesures de redressement économique. C’est ainsi que des politiques d’ajustements ont été adoptées dans le but d’arrêter les déséquilibres, d’assainir les bases de l’économie afin de relancer la croissance

financière d'une banque commerciale: outil de mesure de sa performance (cas de la BCDI de 1998 à 2002) Le phénomène de globalisation financière initié de puis le début des années 80 s'est accompagné d'un accroissement notable des risques bancaires. En effet, les marchés et les activités bancaires sont devenus de mois en moins cloisonnés et les mouvements internationaux de capitaux se sont intensifiés. Il en a résulté une concurrence accrue et donc une réduction des marges bancaires qui conduit les établissements

1991 a été de 12,131 MD contre 10,990 MD en 1990. Calculons le taux d’accroissement du PIB en 1991 aux prix courants. Soit : (PIB 1991 - PIB 1990) = 10.4 % PIB 1990 Ce taux n’est pas significatif car il comporte des effets de la hausse des prix entre 1990 et 1991. En effet, la croissance économique peut être faussée par l’augmentation des prix. Il nous faut donc le PIB de 1991 aux prix constants de 1990. Les statistiques nous donnent ce PIB 1991 (prix constants de 1990) = 11,375 MD D’où

Faculté des Sciences Economiques Année Universitaire 2005/2006 Et de Gestion de Sfax COURS : Economie monétaire Destiné aux étudiants de 2ème et 3éme année Sciences économiques Enseigné par TRIGUI Borhen Maître de Conférences Responsable de l’Unité de Recherches DEFI-FSEG-Sfax Support de cours n°1 Avertissement : Les documents distribués ne sont pas des suppléants du cours mais seulement des supplétifs soutenant les notes personnelles prises

consensuel dans l’entreprise mais elle est aussi la source de plusieurs effets pervers liés à l’incomplétude des textes notamment pour ce qui est de la législation du travail. Ces effets pervers se sont traduits par des comportements sociaux dysfonctionnels et pathologiques (baisse de la productivité, absentéisme, indiscipline etc..) réduisant ainsi le différentiel entre avantages et coûts de la législation sociale. Ces effets se sont renforcés statistiquement pour constituer presque des faits stylisés

terme............... INSEE et Direction de la Prévision Annexe B. Croissance potentielle – écart du PIB : quelques éléments d’évaluation ............................................................ Direction de la Prévision 79 Annexe C. Les effets sur l’emploi de la réduction du temps de travail ....................................................... Gérard Cornilleau, Éric Heyer et Xavier Timbeau, OFCE 85 93 97 Résumé ................................................................

suffisant A le partage de la valeur ajoutée ne doit pas trop sacrifier les salaires car, pour Keynes, le déterminant de l’investissement est la demande effective (rôle de l’incertitude -pessimisme- ; effet accélérateur) ; la profitabilité compte davantage que le profit maximum et l’endettement peut stimuler (effet de levier) alors qu’un excès d’épargne et des taux d’intérêt élevés sont néfastes B … comme le montre la décennie 90 jusqu’à nos jours avec un risque de retard technologique de l’Europe face

l’Etat américain créa Ginnie Mae (Government National Mortgage Association), afin de conserver un pied dans le marché du crédit au logement. Ginnie Mae était chargée de gérer les crédits immobiliers garantis par l’Etat ; ce dernier se portait en effet caution pour que les ménages les plus vulnérables au plan économique puissent souscrire des crédits. Mais en 1970, Ginnie Mae innova en inventant des titres conçus à partir de créances immobilières qui, la plupart du temps, étaient de nature hypothécaire

connexes 3 Mesure de l'inflation 3.1 Mesure de la variation des prix à la consommation 3.2 Mesure d'une variation plus large des prix 3.3 Impact de l'inflation sur la mesure du PIB 4 Causes de l'inflation 4.1 Inflation induite par excès de masse monétaire 4.2 Inflation induite par la demande 4.3 L’inflation importée 4.4 Inflation induite par les coûts 4.5 Inflation induite par des éléments structurels 4.6 Rôle des facteurs psychologiques et des anticipations 5 Conséquences de l'inflation 5