Effets Pervers D Une Creation Monetaire Excessive

1 RESUME 2 Abstracts 3 INTRODUCTION GENERALE 4 Partie I : Approches Théoriques de l’union monétaire et de l’intégration financière 16 Introduction 16 CHAPITRE I : Approches théoriques de l’intégration monétaire 18 CHAPITRE II : Approches théoriques de l’intégration financière 37 CONCLUSION DE LA 1ère PARTIE 64 Partie II : Etudes Empiriques et Mécanismes de mise en œuvre de la Zone monétaire et financière Ouest-Africaine 66 Introduction 66 CHAPITRE I : Analyses empiriques des convergences

pour la première fois en 1616 par A. Montchrestien dans son ouvrage «Traité d'économie politique » ouvrage dans lequel il explique la manière dont la France peut devenir riche et puissante = la Renaissance: développement du premier principe monétaire de Jean Bodin qui explique l'accroissement des prix du 16ème siècle par le flux d'or et d'argent en provenance d'Amérique. A cette époque, l'économie apparaît comme l'art d'enrichir la Nation = fin 18ème siècle: apparaît chez les physiocrates

Compte-tenu de l’état actuel des négociations, quelles sont les enjeux et les avancées possibles ? .................................................................................................................................. 2. L’environnement monétaire ............................................................................................. 7 9 10 11 12 14 16 17 19 21 21 22 23 25 26 28 30 30 34 34 34 36 37 37 38 38 40 41 46 46 47 48 49 La situation actuelle ..........................

.....................118 2. L’intégration financière internationale des économies en voie d’industrialisation affecte leur mode de développement ....................... 124 3. Un troisième facteur : la multiplication d’innovations financières aux effets incertains quant à la stabilité systémique ............................. 132 Conclusion .............................................................................................. 136 Chapitre IV. Pourquoi les pouvoirs publics ne peuvent se désintéresser

définition large est celle du - Marché de l'argent à long terme. Une définition plus étroite nous donne - Marché de capitaux à long terme qui utilise comme support des valeurs mobilières. Caractère de long terme du marché, distinct du marché monétaire. Le critère de l'échéance ne tient plus trop puisque l'on s'échange de plus en plus de titres à court-terme. La notion de valeur mobilière est également en déclin sur le terrain du droit financier qui préfère des notions plus récentes. On préfère

commandent les réactions. La prise en charge a varié entre une réponse privée (individuelle avec l'aumône, ou par les institutions religieuses) et publiques (assistance, répression, enfermement dans des hôpitaux ou des prisons). Janvier 1790 : création du comité d'extinction de la mendicité[1] Fin du XVIIème et XVIIIème siècle : la pauvreté reste constituée par les marginaux mais aussi par l'immense majorité de la population agricole Au XIXème siècle, le pauvre devient ouvrier. Les études

très jeune importante face à un chômage ou un sous-emploi chroniques, information accrue des populations pauvres sur les modes de vie dans les pays du Nord et part du rêve qui incitent à émigrer. 2. Effets 2.1. Pour le pays d’origine : Perte de forces vives de jeunes, Mais en même temps des effets positifs moindre chômage sur place apport de capitaux considérables maintenant leur économie sous perfusion (transferts vers la famille restée sur place) Les transferts de salaires contribuent

4.3 Comment les modifications des taux d’intérêt influent-elles sur les décisions de dépenses des consommateurs et des entreprises ? 4.2 La monnaie et les taux d’intérêt : comment la politique monétaire peut-elle influencer les taux d’intérêt ? 38 38 46 4.1 Un aperçu de ce que la politique monétaire peut faire et de ses limites ENCADRÉS 4.1 Pourquoi les banques centrales peuvent-elles influencer (ex ante) les taux d’intérêt réels ? Le rôle des prix « rigides » 4.4 Les facteurs à l’origine

LES RISQUES POLITIQUES, COMMERCIAUX ET DE CHANGE 1) LE RISQUE DE NON PAIEMENT a) Points forts du Brésil : − Le Brésil dispose de ressources naturelles abondantes et son économie est relativement diversifiée. 10 − Les politiques budgétaire et monétaire sont prudentes et pragmatiques. − Les potentialités du marché intérieur continuent d' attirer des investisseurs étrangers. − Le pays dispose du soutien de la communauté financière internationale. b) Points faibles du Brésil : − La dette publique

magasines et journaux[1], ont parlé de « limites de l'ingénierie financière et de la titrisation ». Bien que l'objectif de départ de ces opérations soit de limiter le risque auxquelles certaines institutions s'exposent, ces opérations ont un effet pervers. En effet, le risque ne disparaît pas avec ces opérations, il est déplacé. Et, alors qu'il était précédemment concentré au sein d'établissements capables de l'estimer, il est dorénavant déversé sur les marchés. C'est ce qui nous a amené, au regard de