Effets Pervers D Une Creation Monetaire Excessive

L'INTERMÉDIATION FINANCIÈRE Ch. BIALÈS La question de l'intermédiation financière est à la fois ancienne et nouvelle. Ancienne, dans la mesure où depuis longtemps les théories monétaires, telles que celle de Gurley et Shaw qui date déjà d'une quarantaine d'années, l'étudient en distinguant la finance directe et la finance indirecte. Nouvelle, parce que la globalisation financière actuelle est régie par une règle que l’on peut appeler « règle des 5 D » : le Décloisonnement des marchés (avec

.....................p10 | |1.2 | Pratique du « Mit-Ghamr »…………………………………………………………..p10 | |2. |Création des banques islamiques……………………………..........................p11 | |3. |Adoption du système bancaire islamique ………………………………………..p12

dans le long terme de leurs dépenses publiques pour identifier la part (et la trajectoire) de celles qui sont porteuses de croissance ; (b) les conditions et les modalités de leur financement (par l'impôt ? par l'emprunt ?) de façon à en estimer les effets et les limites. Précisons brièvement ces deux lignes de réflexions : (a') Les dépenses publiques porteuses de croissance, et donc contribuant à la « capacity building » d'un pays ont fait l'objet, ces dernières années, de nombreuses études à la fois

La répartition des richesses au niveau mondial............................................................ 1. Les grandes zones de l’économie mondiale .......................................................................................... 2. Les effets ambigus de la mondialisation ................................................................................................ Dossier documentaire : La participation des pays en développement à la gouvernance mondiale ............................

______________________________ ECONOMIE GENERALE ____________________________________________________________ ______________________________ 4ème PARTIE : LE FINANCEMENT DE L’ECONOMIE CHAPITRE 13 LA MONNAIE ET LE MARCHE MONETAIRE MOTS CLES - Agrégats monétaires (M1, M2, M3) - Anticipations - Banque centrale, banques commerciales - Banque Centrale Européenne (BCE) - Banque de France - Cours forcé, cours légal - Créances - Demande de monnaie keynésienne - Demande de monnaie friedmanienne

16,1 • La croissance zéro : la conséquence principale des rendements décroissants est qu’il y a donc un état de production maximum dans l’économie, au-delà duquel on ne peut progresser donc à terme la croissance sera de zéro. • La dichotomie monétaire : la sphère financière n’est que la contrepartie de la sphère réelle. Au sein du courant classique on trouve, en autres, trois économistes dont les conclusions vont être largement reprises par le courant néoclassique. Adam Smith : la main invisible

1-Le concept de prix d’un produit 5 2- la notion d’inflation 8 3- La BCEAO et la gestion de l’inflation 13 Chapitre 2 : La croissance et ses déterminants 16 1-Bref historique de la croissance. 16 2- la mesure du bien être dans une économie monétaire 16 3 Les déterminants de la croissance 20 Chapitre 3 : littérature sur relation entre Inflation et Croissance 32 1- Revue de la littérature théorique et empirique 32 2- Les problèmes méthodologiques sur les recherches empiriques 41 Chapitre

statistique 1-2 Les critères (caractéristiques) du sous- développement 1- Les critères économiques - la faiblesse de la productivité et du taux d’investissement ; - Le commerce des pays du tiers- monde est caractérisé par une spécialisation excessive. Ils exportent prioritairement des produits de base (énergie, matières premières, produits agricoles), intégrant peu de valeur ajoutée, et importent des biens industriels, ce qui déséquilibre massivement leur balance commerciale; - La faiblesse des

le long terme de leurs dépenses publiques pour identifier la part (et la trajectoire) de celles qui sont porteuses de croissance ; (b) les conditions et les modalités de leur financement (par l'impôt ? par l'emprunt ?) de façon à en estimer les effets et les limites. Précisons brièvement ces deux lignes de réflexions : (a') Les dépenses publiques porteuses de croissance, et donc contribuant à la « capacity building » d'un pays ont fait l'objet, ces dernières années, de nombreuses études à la

gouvernement des entreprises recouvre l'ensemble des mécanismes organisationnels qui ont pour effet de délimiter les pouvoirs et d'influencer les décisions des dirigeants, autrement dit, qui "gouvernent" leur espace discrétionnaire ». Shleifer et Vishny : « ensemble des mécanismes qui garantissent aux différents bailleurs de fonds un retour sur investissement, en évitant une appropriation de valeur excessive par le dirigeant et les actionnaires dominants. La corporate governance porte sur les moyens