Eduardo Zaplana

résultats. Le MPLA avait remporté les élections. Il obtint aux législatives 53, 74% des voix, ce qui lui accordait la majorité au parlement avec 129 sièges ; tandis que l’UNITA obtenait 34,10% des voix et 70 sièges ; aux élections présidentielles, José Eduardo dos Santos l’emporta avec 49,57% des voix alors que Savimbi obtenait 40,07% des votes ; et Holden Roberto n’obtenait que 2, 11% des voix aux présidentielles et 2, 40% aux législatives.[11] Savimbi contesta le verdict des urnes et remobilisa son

Política Actualmente, o poder político em Angola está concentrado na Presidência. O ramo executivo do governo é composto pelo presidente (atualmente José Eduardo dos Santos), pelo primeiro-ministro (actualmente Paulo Kassoma) e pelo Conselho de Ministros. O Conselho de Ministros, composto por todos os ministros e vice-ministros do governo, reúne-se regularmente para discutir os assuntos políticos do país. Os governadores das 18 províncias são nomeados pelo presidente e executam as suas directivas

les succès dans sa carrière militaire. En 1967, il est promu au rang de colonel. En 1968, il est nommé chef d’État-major à Santiago. En 1969, il devient le chef de la Sixième division à Iquique. Enfin, en 1970, il est nommé général de brigade par Eduardo Frei, le président. Suite aux élections d’Allende, les tensions montent au sein du pays, 1970. Par conséquent, l’armée doit intervenir à plusieurs reprises, notamment lors de grèves. En 1971, Pinochet, qui était chargé de l’ordre public à Santiago

et accepte la négociation. Un accord de paix est signé à Lisbonne le 1er mai 1991 et les Casques bleus de l’ONU interviennent afin de faire respecter le cessez-le-feu. Celui-ci est remis en cause après la victoire, aux élections de 1992 de José Eduardo Dos Santos contre Jonas Savimbi qui récuse les résultats du scrutin et refuse le poste de vice-président qui lui avait été proposé. L'autre obstacle, qui perdure tout au long des négociations et du cessez-le-feu, concerne le désarmement des partisans

pouvoir jusqu'en 1997, première élection démocratique depuis 1973. La brèche est ouverte : les élections présidentielles et législatives de 1989 sont gagnées par l'opposition. Les présidents démocrates-chrétiens Patricio Aylwin Azócar (1990-1994) et Eduardo Frei Ruíz-Tagle (1994-2000) héritent d'un pays meurtri, mais prospère : les entreprises chiliennes sont compétitives, les finances de l'État sont saines, la pauvreté recule. Le système politique reste cependant verrouillé par les militaires. Pinochet