Eco 2011 Travail Noté

contribution, directe (production) ou indirecte (placement de l'épargne), à l'activité économique. On distingue quatre formes principales de revenu : les revenus du travail (exemple le salaire pour les ménages), les revenus de l'épargne (intérêts et dividendes), le profit (des entreprises) et la rente (revenu régulier qui ne dépend pas du travail mais de la propriété foncière ou des placements en emprunts publics). Les ménages répartissent leur revenu net disponible (après versement des impôts et cotisations

GFA VB 03/02 /2011 2-croissance. La productivité élève la production par rapport à la population. Pb=affectation de ces gains de productivité, ce qu’on en fait. Y a 3 façons : _ Les augmentations de salaires et baisse durée du travail. _Gain affecté au K= profit _Les baisses de prix. Depuis la période de la révolution industrielle, on constate une augmentation de la productivité et baisse de la durée du travail. Les gains en terme de salaire réel= ce qu’on peut acheter avec son salaire

En soufflant le chaud et le froid sur les énergies renouvelables, le gouvernement empêche le développement serein de ces filières pourtant créatrices d’emplois locaux. Concernant les autres sujets majeurs, le bilan est tout aussi insuffisant (voir note détaillée ci après) : absence de mesures climat sur l’agriculture, imposture sur les agrocarburants, taxe sur les incinérateurs dépouillée de son contenu, deux EPR programmés, etc. A noter néanmoins quelques avancées sur les politiques territoriales

SECTION 3 : L’analyse PESTEL. 26 SECTION 4 : Les cinq forces de PORTER. 27 Deuxième partie : Etude de satisfaction de la clientèle au sein d’Imperial Tobacco (Altadis) 29 CHAPITRE III : Méthodologie de l’étude. 31 SECTION 1 : Méthode de travail. 31 SECTION 2 : Questionnaire. 32 SOUS-SECTION 1: Conception du questionnaire. 32 SOUS-SECTION 2: Missions du questionnaire. 33 SECTION 3 : Méthode de l’échantillonnage. 33 SOUS-SECTION 1: La taille de l'échantillonnage. 33 SOUS-SECTION

221 222 223 3 ACTIVITÉ DU GROUPE EN 2010 ET PERSPECTIVES 2011 3.1 Faits marquants de l’exercice 2010 3.2 Activité et principaux marchés 3.3 Investissements financiers de l’exercice 2010 et organigramme simplifié au 31 décembre 2010 3.4 Autres éléments de l’activité du Groupe en 2010 3.5 Examen du résultat consolidé 3.6 Free cash flow et évolution de la dette nette 3.7 Examen du bilan et de la sécurité financière 3.8 Perspectives 2011 3.9 Références et définitions 29 30 31 36 38 41 44 45 48 50

9 % en valeur par rapport à 2007. (source : www.fashionunited.fr)Peu de concurrents utilisent des matières premières nobles à un prix aussi bas(source : book collection Princesse tam tam)AU NIVEAU ECONOMIQUE SOCIAL & DEMOGRAPHIQUE :Le premier éco- quartier de BordeauxRéalisation d’une ZAC sur les berges du Lac(source : www.bordeaux.fr)La prolongation de la ligne C du tramway Elle devrait arriver directement au centre commercial courant 2016 (source : www.wikipédia.fr)AU NIVEAU DU RESEAU : (source :

chocolat (en % du CA en 2010) Evolution du CA n un an Tablettes de chocolats Familiales +0.9% Dessert +5.6% Fourrées -2.2% Light -12.4% Pour 2010, on a noté une nette progression du chiffre d’affaire des tablettes dessert (+5.6%), les tablettes familiale résiste (+0.9%). On note également une dégringolade des tablettes light (-12.4%) et un recul des tablettes fourrées (-2.2%). 2. Les concurrents Le marché des tablettes (en valeur) en 2009/2010

un nombre limité d’Etats. Lesquels ? Ca dépend, c’est ceux qui remplissent des condition pré établis dans les traités constitutifs. Ces conditions peuvent tenir à la proximité géographique mais ces condition peuvent tenir également à des conditions éco, culturel, politique, une organisation régionale peut regrouper les producteur de certain produit, des pays qui partagent un idéal religieux, tous les critère ou presque sont admis. Le développement de ces organisation régionale et donc européenne ont

| Proposition d’une démarche éco-TIC. La thèse suivante recense les différents problèmes écologiques liés au TIC. Elle présente une analyse identifiant les dangers majeurs des TIC sur l’environnement. Elle intègre également une approche de l’utilisation des éco-TIC dans un concept de développement durable, permettant ainsi de réduire l’impact négatif que représentent les TIC jusqu’à présent

COMMUNICATION - EXPRESSION | LA NECESSITE D’UN TRANSPORT « LOCAL » et « RAISONNABLE » : raisonné & durable. | Alternatives humainement durables pour le transport. | | | | Lundi 21 Novembre 2011 GLT 2ème Année – IUT BORDEAUX IV MONTESQUIEU | SOMMAIRE Table des matières : PREMIERE PARTIE : CONSTAT 3 LE TRANSPORT ACTUEL N’EST PAS VIABLE 3 LISTE NON EXHAUSTIVE DES EXCES DU SYSTEME DE TRANSPORT ACTUEL 4 LES « FAUSSES BONNES » IDEES 5 LE LANCEMENT D’AUTOLIB’ 5 LE DEVELOPPEMENT