Éclairement lumineux

Lotissement Place giratoire Rurales Les tableaux 3 et 4 (page 6) concernent les performances exprimées en éclairement et uniformités d’éclairement. Ils correspondent à des voies urbaines sur lesquelles les positions d’observation sont multiples et ne permettent pas d’exprimer des valeurs de luminances significatives, ainsi qu’à des voies urbaines ayant des niveaux lumineux ambiants variés (la vitesse autorisée étant au maximum de 50 km/h). Le tableau 5 (page 7) est spécifique des situations

groupes de façon à ce que dans chaque groupe se trouve un "expert" de chacun des problèmes. Mise en commun des explications trouvées. Synthèse personnelle à l'issue de cette mise en commun. GROUPE 1 Constat n°1 : En conditions de très faibles éclairements, celles du crépuscule ou de la nuit en plein air, les contours des objets sont imprécis et nous ne voyons pas leur couleur ("la nuit, tous les chats sont gris"). Problème.1 : Comment expliquer qu'on ne voit les couleurs que le jour ? Ressources

 GROUPE 1 Constat n°1 : En conditions de très faibles éclairements, celles du crépuscule ou de la nuit en plein air, les contours des objets sont imprécis et nous ne voyons pas leur couleur ("la nuit, tous les chats sont gris"). Problème.1 : Comment expliquer qu'on ne voit les couleurs que le jour ? (répondre après avoir traiter individuellement les questions de 1 á 4 d’aide á l’analyse des documents. 1 analyse du document 1 et 2 p34 Q1 quelles sont les cellules qui transforment la lumière

confort de l’utilisateur ? Fiche Elève Nature d’activité : Dimension : longueur a = Largeur b = Hauteur totale ht = Hauteur du plan utile = Couleur du plafond : Couleur des murs : Couleur du sol : Obstacles éventuels : (piliers,…) Eclairement : Coefficient d’empoussièrement : Indice de protection (IP) (IK) : 1. Données relatives au local 2. Choix des luminaires Système d’éclairage (1) F1 Direct Intensif F2 direct extensif

optique. Ainsi, les stimuli lumineux qui frappent cette zone ne sont pas captés et donc non vus. Au niveau du centre de la rétine, à 0° d’excentricité, se situe une petite dépression peu profonde appelée fovéa ou tache jaune. Elle ne contient aucun bâtonnet, mais uniquement des cônes. Cette zone de la rétine présente la plus grande acuité visuelle, car il y a à ce niveau un déplacement des neurones ganglionnaires et bipolaires vers la périphérie. Ainsi, les rayons lumineux frappent directement les cellules

recherché  ENERGIE GENERALITÉS UNITE D’ENERGIE : JOULE (J) soit 1J = 1W / s LA PUISSANCE : energie / s : exprimée en WATT (W) (on utilise souvent le kW/h) Pour fournir du travail : mécanique (mouvement), calorifique (température), lumineux, il faut de l’énergie. On trouve de l’énergie : dans le sol (e.geothermique) soleil (e. solaire) dans tout mouvement de matière (e. cinétique) dans la matière elle-même (e. potentielle) Transformation d’énergie : on transforme une énergie

trajet et la récéption de la lumière. Les structures constituant l’œil comme la cornée, les humeurs et le cristallin sont transparentes, elles permettent ainsi de laisser passer les rayons lumineux. Des maladie altérant cette transparence sont à l’origine de déficiences, d’altérations visuelles. Les rayons lumineux atteignent la rétine qui tapisse l’interieur du globe occulaire. II. Etude de la rétine 1 .Organisation de la rétine La rétine constitue la partie sensorielle de l’œil, il s’agit d’un

Effets induits 1 - Le mauvais dimensionnement d’une installation ou des sources mal adaptées à l’activité peuvent générer des comportement vis à vis des autres usages thermiques du bâtiment (Sentiment d’ambiance froide, d’ambiance chaude, de sur-éclairement ou de souséclairement) La production calorifique des appareils d’éclairage est à considérer avec les autres usages thermiques du bâtiment (chauffage / Climatisation / RT 2005). Toutes les sources d’éclairage produisent chaleur et lumière. La proportion

joule par mètre carré (J/m²) résilience 17 J/mol joule par mole (J/mol) potentiel chimique 18 K kelvin (K) température absolue 19 lm lumen (lm) flux lumineux 20 lm/m² lumen par mètre carré (lm/m²) éclairement lumineux 21 lm/W lumen par watt (lm/W) efficacité lumineuse 22 lm.s lumen-seconde (lm.s) énergie lumineuse 23 lx lux (lx) éclairement lumineux 24 m mètre (m) longueur 25 m² mètre carré (m²) aire, superficie, section efficace, perméabilité hydrodynamique PRESANSE - Pôle Médico-Technique Version

de précision La distance œil – tâche Les mouvements et le temps de présentation Les exigences des couleurs L’aménagement dimensionnel du poste de travail La nature des surfaces … 1.2. Tenir compte des caractéristiques de l’environnement lumineux : Niveaux d’éclairement Rapport d’éclairements Niveaux de luminances Rapport de luminances Température de couleurs Indice de rendu de couleur Eclairage naturel Contraintes spatiale. 1.3. Tenir compte des caractéristiques individuelles