Theobald Boehm

huit clés et des systèmes de plus en plus perfectionnés vont pousser à ajouter plus de clés. En 1830, Theobald Boehm, un flûtiste virtuose allemand de Munich, entraînera des changements majeurs à l’instrument. Il ouvra son propre atelier de facture pour la flûte traversière et il développera tout le mécanisme de clés que l’on connait encore aujourd’hui. 7 Par contre, le premier modèle de Boehm ne rencontrera pas un immense succès. En effet, de nombreux musiciens n’appréciaient pas sa sonorité puissante

dans les Flandres, qui durent jusqu’en novembre. 6 juillet 1917 Formation de la « commission inter-fractions » (« interfraktioneller Ausschuss ») au Reichstag, qui marque le début d’une parlementarisation du régime. Le 14 juillet, le chancelier Theobald von Bethmann Hollweg présente sa démission. 1918 8 janvier 1918 Le président des Etats-Unis, Wilson, présente un programme pour la paix en quatorze points. Au même moment, les grèves et les manifestations se multiplient en Autriche-Hongrie

1810) et l’ivoire.   La flûte moderne dite « Boehm »   La flûte conique de Théobald Boehm (flûtiste de la chapelle royale de Munich) en 1832 fut certainement le pas le plus décisif accompli sur la voie de toute la facture moderne des bois. D’après Boehm lui-même, c’est la sonorité puissante du flûtiste anglais Nicholson qui lui donna l’idée de renouveler la facture de la flûte. Ses recherches pour une sonorité plus pleine et plus égale amenèrent Boehm à construire en 1847 une flûte cylindrique (diamètre

cylindrique, elle devient conique. Cette nouvelle flûte se répand à travers toute l’Europe et J. S. BACH (16851750) commence à écrire pour elle. Jusqu’aux années 1820, la facture instrumentale évolue vers l’établissement d’une flûte à 8 clés. Théobald BOEHM lui apporte un perfectionnement final en rétablissant une perce cylindrique et en ne conservant qu’à la seule tête une perce légèrement conique. Surtout il lui applique vers 1832-1833 un système mécanique qu’il avait inventé permettant d’ouvrir

affecte directement l'invention musicale, il la conditionne et même, l'inspire par ses possibilités, comme par ses limites. Il est en partie générateur du style, dont il jalonne les étapes, comme le matériau dans l'architecture. L'invention du système Boehm pour les bois, plus particulièrement encore celle des pistons pour les cuivres ont, en dernière analyse, une portée équivalente à celle des chefs-d'oeuvre de la littérature du clavier, comme le perfectionnement décisif des cuivres fut la condition

1860, les flûtes traversières étaient d'un type qui avait lentement évolué, mais elles avaient ce son un peu aigrelet des flûtes baroques, et le flûtiste devait faire des acrobaties pour jouer toutes les notes justes, avec le même timbre. Puis Theobald Boehm mit au point la flûte traversière moderne, qui palliait bien des défauts des flûtes anciennes. À propos de cette flûte, aussi, on pourrait poser la question : 2 flûtistes peuvent-ils faire un art différent s'ils jouent tous les deux de cette flûte

l'identification de l'œuvre hermétique avec les mystères de la religion chrétienne, se rencontre à chaque pas dans les écrits mystiques du XVIIe siècle, dans les ouvrages de l'Anglais Argill, de Michaëlis, et surtout dans le livre du cordonnier théosophe J. Boehme, dont le fanatisme contribua beaucoup à donner de la vogue à ces idées. Il serait superflu de s'étendre sur un sujet semblable ; un passage de Basile Valentin suffira pour caractériser l'esprit de ces absurdes rêveries. Dans une Allégorie de la