Ecjs Drogue

culturelle depuis plus de 30 ans. Donc, la question qu'on se pose ici est « est-ce que le cannabis devrait être légaliser ?» Dans ce texte, j'essayerai de démontrer que oui il devrait être légalisé, bien que certains soutiennent que l'usage de cette drogue peut produire divers effets dommageables. Ainsi, la question peut impliquer de nombreux débats et susciter plusieurs points et plusieurs opinions. Premièrement, sachant que pour l’alcool, le tabac ou les psychotropes, le traitement privilégié est

état de manque qui est à l’origine de la toxicomanie. La plupart des drogues (héroïne, nicotine, alcool, cocaïne, principe actif du cannabis, ectasy) agissent, par des mécanismes différents, sur les neurones dopaminergiques des systèmes de récompense. La dépendance aux drogues est un phénomène complexe qui est tributaire de facteurs psychologiques, mais aussi de facteurs environnementaux. L’arrêt de la prise de toute drogue nécessite la mise en application d’un protocole de sevrage qui implique

SITUATION Le personnage dont il est question dans cette situation est un consommateur de drogues. Il consomme régulièrement du cannabis ainsi que des amphétamines, du « speed ». Tout allait bien pour lui, cette situation lui plaisait mais depuis peu, il se demande si cela est bien, si cela ne pourrait pas affecter de manière négative son futur. Il doit donc choisir entre continuer ou arrêter sa consommation de drogues. Le personnage est quelqu’un d’assez marginal. Afin de le comprendre, il faudrait

andine 3 En 1998, l’Assemblée générale spéciale des Nations unies (UNGASS1) sur les drogues envisageait d’« avoir éliminé ou réduit significativement les cultures illicites d’arbustes de coca, de plantes de cannabis et de pavot à opium en 2008. » Or, le rapport annuel publié à la fin du mois de juin 2008 affirme que, non seulement ces objectifs n’ont pas été atteints, mais que les productions de toutes les drogues d’origine naturelle ont sensiblement augmenté depuis dix ans (UNODC, 2008b). En particulier

des drogues dites « dures » comme l'héroïne par exemple. La présence d'additifs contribue à renforcer encore les phénomènes de dépendance : on soupçonne par exemple l'ammoniaque de favoriser le transfert de la nicotine au cerveau en abaissant le pH de la fumée. Même chose pour la théobromine, cet extrait de cacao agirait comme bronchodilatateur, augmentant la surface d'échange dans les poumons entre l'air et le sang3 ------------------------------------------------- Drogue Une drogue est un composé

semble toutefois exister. "Les jeunes âgés de 15 à 18 ans qui aiment le heavy metal ou le underground manifestent des caractéristiques associées au développement de tendances suicidaires, affirme le chercheur. Plusieurs d’entre eux consomment de la drogue et affichent une propension à l’isolement. Souvent, ils ont une piètre estime d’eux-mêmes et ressentent un sentiment d’impuissance." Plus ils accordent d’importance à ces courants musicaux, plus les jeunes ont tendance à vénérer les idoles de l’heure

Selon l’organisation mondiale de la santé (O.M.S.) la notion exacte du concept de la toxicomanie est défini par : « un état d’intoxication périodique ou chronique engendré par la consommation répétée d’une drogue naturelle ou synthétique ». La toxicomanie devient un mode d`adaptation, autant à soi, qu`à l`environnement. Elle sert de moyen de défense en permettant de maintenir un comportement le plus adéquat possible dans les circonstances. Qu’un produit soit licite ou illicite, la communauté scientifique

fait pas une drogue -dans le sens commun où on l'entend- mais une substance psychotrope.  Et c'est là qu'on confond dépendance et ré créativité; l'usage d'un psychotrope permet une autre 'perception' des choses, une détente...qu'on aimerait souvent avoir, ce qui peut être un cercle vicieux. .  Mais quand le fumeur de weed n'a pas la possibilité de fumer, il n'est pas en état de manque, marqué par des effets visibles et psychologiques, comme pourrait le faire l'alcool ou les drogues. AVIS DE CONSOMMATEURS :

La drogue, une menace économique: L’essentiel des revenus du trafic de drogue profitent au crime organisé dont les profits nécessitent des procédures de blanchiment d’argent. Il convient de préciser que le trafic de stupéfiant appartient à un ensemble de pratique illégales (trafic d’armes, trafic de main-d’œuvre, etc.) permettant de financer le crime organisé. La prise de valeur du produit augmente exponentiellement à chaque passage de frontière; ainsi le produit ne commence véritablement à prendre

II. La mondialisation de la drogue 1. A noter que toutes les civilisations ont une drogue excitante- sans doute indispensable au cerveau humain- (anglais thé, musulman café, européens alcools, africains noix de cola, andins feuilles de coca…)Les Romains utilisaient l’infusion de sauge pour stimuler les légionnaires… 2. L’Angleterre a même organisé au XIX° siècle le trafic de l’opium en Chine « guerre de l’opium » (1839 1942). 3. Découvertes chimiques :la morphine (concentré d’opium) pour les