Ecjs Divorce

âge et son degré de maturité. » http://vosdroits.service-public.fr B / QUI L’EXERCE ? Autorité parentale conjointe : Les père et mère exercent en commun l'autorité parentale quel que soit leur statut, qu'ils soient mariés ou non, séparés ou divorcés. Les parents exercent l'autorité parentale dès lors que la filiation de l'enfant est établie, sauf dans certains cas. Seul l'intérêt de l'enfant peut commander une solution différente = Exercice unilatéral de l’autorité parentale (Cf. PARTIE II)

marier. • Pour le Droit canonique, le mariage est un contrat. • Un mouvement contemporain est en faveur d’une contractualisation du Droit de la famille. C’est le mouvement qui tend à permettre aux individus de régler eux-mêmes leur relation. • Avec le divorce par consentement mutuel, le Droit admet que le mariage puisse se dissoudre par consentement mutuel, tout comme pour les contrats. Arguments en faveur de l’institution : • Le mariage fait naître des droits et des devoirs qui s’imposent aux époux indépendamment

considéré.) - plus strict (plus sévère envers les enfants « claques », prêter de l'attention envers les personnes âgées, …). Présent : Plusieurs modèles familiaux existants : - Famille monoparentale (1 parent décédé ou abandon du domicile ou divorce). - Famille recomposée. - Famille où les parents sont juste ensemble et non mariés ( = concubinage) - Famille mariés ( en baisse contrairement aux autres). - Instauration des pacs et du concubinage ( def. des 2 mots). - Couple homosexuel

de désactivation de présomption de paternité sont énoncées à l’article 316bis du Code civil : * « si l’enfant naît plus de 300 jours après qu’ait été acté un accord des époux établissant des résidences séparées dans le cadre d’une procédure de divorce » * « si l’enfant naît plus de 300 jours après l’inscription administrative des époux à des adresses séparées » * « si l’enfant naît plus de 300 jours après une décision de juge de paix actant les résidences séparées, mais moins de 180 jours

les formes de vies familiales se diversifient, le modèle idéal de la famille ne change pas (modèle de la famille nucléaire). Elle est régie par le mirage monogame indissoluble. Ce modèle idéal ne correspond plus à la réalité (plus de 50 % de divorces). Le divorce est un avatar négatif du modèle. L’évolution contemporaine fait qu’il y a une distinction entre alliance et filiation, que le mariage a perdu le monopole de la filiation. Il y a des familles recomposées (constellations familiales complexes)

compromis entre ces deux formes d’union traditionnelle, pour les homosexuels en particulier, mais aussi pour les hétérosexuels. En effet, certains hétérosexuels se pacsent, car n’acceptant pas le mariage pour plusieurs raisons: par principe, par peur du divorce ou ne se sentant pas prêts à un engagement pour la vie avec leur partenaire. La loi sur le PACS a été adoptée définitivement par l’assemblée nationale française le 13 octobre 1999, la décision du conseil constitutionnel du 9 novembre 1999 l’a déclarée

famille, dans ces deux aspects ( aspect purement personnel mais aussi patrimonial, par rapport a l'argent etc.. et l'aspect extra patrimonial, avec la mariage, mais aussi le divorce et le lien de filiation biologique et/ou adoptive ) Au niveau des aspects patrimoniaux, il y a aussi des consequences fiscales ( mariage et divorce ). Le droit civil reglemente egalement la proprieté ainsi que les differents droit dont l'individu peut beneficier a l'egard d'une chose ( attention: on peut posseder la chose

le cadre du TGI certains magistrats siègent à juge unique. C’est le cas du juge aux affaires familiales qui est compétent en matière de divorce, de séparation d’un couple en union libre ayant eu des enfants naturels. En 2004 une procédure a modifié le divorce, il y a celui pour faute, par consentement mutuel, accepté. Le JAF est compétent en matière de de divorce, il va statuer sur le domicile conjugal, attribuera la jouissance du DC à l’un ou à l’autre des époux. Le JAF va conseiller à celui qui

Le divorce pour faute doit être maintenu contrairement à ce qui est dû Avant la loi de 2004 Le div pour faute a été mis à la marge par la facilitation des autres divorces (div par consentement mutuel, pour altération du lien conjugal. Dans la réf de 2004 on a pratiquement gommé le div pour faute. Interdiction d’expliquer les motifs pour lesquels on demande le divorce (c’est un peu violent pour l’autre conjoint qui ignore totalement les causes de divorce). Depuis la réf de 2004 le divorce est

droit, toujours sous la forme interrogative. - L’exposé des règles de droit - le syllogisme judiciaire : définir les termes juridiques. Ensuite, on part d’un principe, un régime et les exceptions ( la jurisprudence) Ex : pour le divorce, on évoque les 4cas de divorce, on commence par celui qui a le moins de chance de succès vers celui qui s’applique Deuxième étape MINEUR On applique la règle de droit aux faits. On donne la conclusion en reprenant le nom des partis. Faire un plan ou non