Ecjs Contraception

1 - Introduction La contraception est l’ensemble des méthodes visant à éviter de façon réversible et temporaire la grossesse. Elle concerne tant les garçons que les filles. De façon générale, les méthodes de contraception visent à empêcher : • soit l’ovulation, c’est le cas de la pilule, • soit la fécondation, c’est le cas du préservatif, • soit l’implantation de l’œuf fécondé, c’est le cas du stérilet. La contraception féminine est assez diversifiée et les contraceptifs

ce qui ressort essentiellement de l'histoire du droit antique est que l'avortement, ainsi que tout ce qui touchait à la contraception et à la gestation, relevait des lois de la maisons, domaine où les choses essentielles se réglaient entre l'autorité institutionnelle du père et la position stratégique de la mère. Pendant des millénaires, tout ce qui touchait à la contraception et à l'avortement releva essentiellement du "secret dans le secret" : du secret des femmes dans le secret des familles.

ou par une intervention chirurgicale ou l’on aspire l’embryon. « La contraception d’urgence » est une méthode de « rattrapage «  que l’on utilise après avoir eu des rapports ou si on a oublié de prendre sa pilule. C’est un comprimé (un seul) qui a pour but de retarder l’ovulation. Par contre, faut le prendre au plus tard 72 heures après le rapport sexuel. Différences entre CONTRACEPTION et CONTRAGESTION : Contraception = contrôle des naissances avant le stade de la conception de l’embryon

période de fécondité. Elle dépend de la date l’ovulation, de la durée de vie des spermatozoïdes et de l’ovocyte. Elle s’étend, en moyenne du neuvième jour au seizième jour du cycle. La connaissance de cette période ne peut tenir lieu de méthode de contraception car sa durée est très variable. o La rencontre des gamètes et début de grossesse Les spermatozoïdes ont acquis une capacité à féconder en traversant la glaire cervicale ( Au niveau du col). La glaire cervicale n’a une structure

PLAN : 1) Du silence à la conquête des droits. a) Les antécédents et la mise en place du féminisme. b) La légalisation des moyens de contraceptions. c) L’émancipation féminine par les textes de lois. 2) Une conquête inachevée. a) La parité hommes/femmes : une progression continue mais sans fin. b) Les résistances sociales et culturelles.   1) DU SILENCE A LA CONQUETE DES DROITS. a) Les antécédents et la mise en place du féminisme. Féminisme : doctrine qui a pour objet l’extension

l'avancée de la contraception et des droits de la femme. La contraception est très répandue en France : 57,2% des femmes utilisent la pilule, 21,9% un sterilet et 16% une autre méthode. L'usage du preservatif est rapporté dans 20,9% des cas (Baromètre Santé 2005) avec des variations considérables selon l'âge : de 90% chez les 15/19 ans (1 jeune fille sur 4 et 4 garçons sur 10) à 10% au delà de 35 ans. Malgré le nombre important de femmes et de couples utilisant un moyen de contraception, le nombre de

mondiale enregistre une croissance, mais elle est modérer. Cependant la croissance de la population mondiale est donc supérieure à la population européenne cela s’explique par un taux de natalité élevé qui s’explique par une absence de moyen de contraception, par le message chrétien qui encourage la natalité et par les progrès de l’agricultures qui permet de produire plus donc de nourrir plus de personne. De plus le taux de mortalité est tout aussi important cela s’explique par le manque d’hygiène

Bretagne. Cette théorie est issue du vieux malthusianisme. Toutefois pour Paul Robin elle ne doit pas se confondre avec une morale austère antinataliste, obstacle au plaisir et à l’amour comme Malthus le disait. Lui prône l’utilisation des moyens de contraception modernes et des innovations pédagogiques visant à mieux élever les enfants. L’objectif du néo-malthusianisme est une véritable régénératoin humaine par le contrôle des naissances et la pédagogie innovante, notamment libertaire. Ses arguments sont

fonctionne dans 99,7 % des cas. C-La contraception d’urgence en France -Le stérilet au cuivre peut être utilisé jusqu’au 5eme jour après l’ovulation calculée ; son efficacité est de 100% - La pilule du lendemain, elle permet de RÉDUIRE le risque de grossesse, 72 heures maximum après le rapport non ou mal protégé. Elle n’est cependant pas efficace à 100% ce qui en fait une contraception de dernier recours qui reste une méthode OCCASIONNELLE. Cette contraception est prévue pour des situations d’exception

La contraception Méthodes naturelles, caoutchouc, stérilet, spermicides, pilules... Aucune solution n'est efficace à 100 %. Mais si on laissait libre cours à la fécondité naturelle des femmes, elles auraient quatorze ou quinze enfants. De quand date le contrôle des naissances ? « C'est une caractéristique universelle de la vie sociale » écrit en 1936 le sociologue Norman Hines, pionnier de l'histoire de la contraception. A chaque époque, ses motivations et ses solutions. Souci démographique, volonté