Eaux Fortes Victor Hugo

idées. Les mots peuvent toucher, faire pleurer, rendre heureux ou triste. Ils prennent la force qu'ont les mots pour créer un poème. Je pense que la poésie n’est peut-être que le reflet de nous-mêmes. Pour Voltaire elle est la musique de l’âme. Pour Hugo, tout ce qu’il y a d’intime en tout. Les définitions ne manquent pas. Aucune n’est fausse, aucune n’est suffisante. Il y a, dans le goût que nous avons pour la poésie, une dimension personnelle, secrète. La certitude réside dans le fait que chacun

siècle vers Olivier de Magny et son œuvre, « Gordes, que ferons-nous ? Aurons-nous point la paix ? ». Ainsi, les thèmes de la guerre et d’abus de pouvoir sont abordés. Pour Olivier de Magny, c’est un malheur que de vivre « en un tel âge » mais il y a fort à parier que le XXIe siècle ne lui plairait guère plus ! La guerre restant tout de même un sujet vague, la bêtise humaine approfondit et poursuit sont parcours en s’arrêtant sur l’esclavage. En parcourant le poème « l’Esclave » de José Maria de Heredia

m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! 7 Victor HUGO   (1802-1885) DELAIN, DES L'AUBE... Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai

en faisant cela. Ainsi, nous avons pu voir dans ce poème lyrique, la souffrance de cet amour passionné et destructeur. Marceline Desbordes- Valmore a voulu y mettre toutes ses émotions et fut salué par de grands poètes tel Lamartine, ou encore Victor Hugo Ce poème de Marceline Desbordes –Valmore fut écrit à la suite de sa séparation avec son amant qu’elle aimait d’un amour passionné. Dans ce poème, elle a voulu nous montrer sa douleur lancinante, autant physique que moral, elle utilise

Vénus sortant des eaux, au théâtre des Variétés : « Les hommes braquaient leurs jumelles […], elle donna un coup de hanche qui dessina une rondeur sous la mince tunique, tandis que, la taille pliée, la gorge renversée, elle tendait les bras. Des applaudissements éclatèrent. » Carmen, l'héroïne éponyme de la nouvelle de Mérimée, exerce aussi sa séduction sur le lecteur comme sur don José qui ne peut résister à la beauté provocante de l'incandescente Andalouse « au jupon rouge fort court » et qui «

Vénus sortant des eaux, au théâtre des Variétés : « Les hommes braquaient leurs jumelles […], elle donna un coup de hanche qui dessina une rondeur sous la mince tunique, tandis que, la taille pliée, la gorge renversée, elle tendait les bras. Des applaudissements éclatèrent. » Carmen, l'héroïne éponyme de la nouvelle de Mérimée, exerce aussi sa séduction sur le lecteur comme sur don José qui ne peut résister à la beauté provocante de l'incandescente Andalouse « au jupon rouge fort court » et qui « écartait

moyen d'aborder des émotions qu'elle seule peut nous faire ressentir. (Partie I) Le deuxième sujet approché est le bien-être trouvé dans la nature. Parfois les animaux s'ajoutent au dessin comme dans Le Cygne, et les référence aux saisons sont aussi fort présente pour décrire leurs sentiments. (Partie II) La dernière partie résulte des poèmes associant parfois la femme à la nature (Le rêve d'un poète), se concentrant sur un lieu en particulier dans lequel les hommes vivraient en harmonie entre eux

introduit Verlaine chez Alphonse Lemerre.) Le titre de cette section est peut-être inspiré de la gravure de Dürer du même nom, dont Verlaine possédait une eau-forte. Il peut s'agir également d'une référence à Victor Hugo, qui avait intitulé ainsi le second poème du livre III des Contemplations Eaux-fortes------ atmosphère nocturne, éclairage lunaire Cette section est dédiée à François Coppée. Le titre donné à cette section est inspiré par deux articles de Baudelaire : « L'eau forte est à la mode » et

choix n’a jamais été mon fort ; et la poésie dans sa diversité a rendu mon choix encore plus difficile. Sommaire POESIE ORPHIQUE, POESIE LYRIQUE - « Il n’est point tant de barques à Venise… » Mellin de Saint Gelais - « sur le printemps de ma jeunesse folle » Clément Marot - « pleurez avec moi tendres fleurs » Agrippa d’Aubigné - « l’amour de moi s’y est enclose » Anonyme - « le lac » Alphonse de Lamartine - « elle avait pris ce pli dans son âge enfantin » Victor Hugo - « la cloche fêlée

Vergne • 3 octobre 2000 : Vincennes, Théâtre de la Tempête (reprise le 15 janvier 2002 : Théâtre des Treize Vents Montpellier) Luc de Goustine (traduction), Philippe Adrien (mise en scène), Gérard Didier (scénographie), Ghédalia Tazartès (musique), Victor Garrivier (Lear), Jean-Pol Dubois (Kent), Wolfgang Kleinertz (Gloucester), Olivier Constant (Edgar), Catherine Rétoré (Goneril), Sylvie Debrun (Regane), Natacha Mircovich (Cordélia), Jean-François Vlerick, Dominik Bernard, Bruno Blairet, Éric Challier