Eaux Fortes Victor Hugo

l'amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage,Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l'amour eut la mer pour berceau,Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eauMais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes. Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes

Victor Hugo, "Crépuscule", commentaire composé Introduction :   Ce poème composé de sept strophes de quatre vers en alexandrins, est extrait des Contemplations, recueil de poésie de Victor Hugo, composé de 158 poèmes rassemblés en six livres, publié en 1856. Hugo expérimente le genre de l'autobiographie versifiée. Le souvenir prend donc une place prépondérante. Hugo aborde les thèmes de l'amour, de la joie, mais aussi de la mort et du deuil et exprime sa foi. Dans ce poème qui relève à la

ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage, Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer, Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer, Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l'amour eut la mer pour berceau, Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes. Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux, Ton amour qui me brûle est si fort douloureux, Que j'eusse éteint son feu de la mer

Clair de lune - Victor Hugo Introduction : Victor Hugo est un écrivain du 19° siècle. Il est le chef de file du romantisme qui, rappelons le est un mouvement littéraire qui s’oppose à la tradition classique et au rationalisme des Lumières. Il vise à une libération de l’imagination et de la langue avec l’expression du Moi et des thèmes privilégiés tels que la nature et l’amour. Cependant, Victor Hugo est aussi un artiste engagé et un homme politique. Il publie en 1829 un recueil de poésies :

| Objet d’étude : La question de l’Homme dans les genres argumentatifs. Textes Texte A : La Bruyère, « De l’Homme », 128, in Les Caractères 1688. Texte B : Fénelon, Lettre à Louis XIV, 1693. Texte C : Victor Hugo, Discours à l’Assemblée, 30 juin 1850. Texte D : Arthur Rimbaud, « Les Effarés », 1870 |Texte A

Mélancholie I. Soleils couchants, Victor Hugo II. Quand c’est, Stromaë III. Les Regrets (Sonnet XII), Du Bellay IV. La tristesse, De Lamartine V. Mon rêve familier, Paul Verlaine VI. Demain dès l’aube, Victor Hugo VII. Le buffet, Arthur Rimbaud VIII. Le guetteur mélancolique (extrait), Apollinaire IX. Poison perdu, Arthur Rimbaud X. Papaoutai, Stromaë I. Soleils couchants, Victor Hugo Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées;

où les hommes sont dans un état de nature, un état conflictuel où le plus fort l’emporte sur le plus faible. La seule issue étant de déléguer sa liberté au profit d’une organisation étatique : le Léviathan. L’homme est un loup pour l’homme - on le sait – mais l’homme est, comme le rappelle Aristote, un homme politique. Il est doté de raison, d’intelligence, de lumière ! Il ne doit pas, en aucun cas, tomber dans les eaux troubles, tumultueuses que renferme cette peine corporelle. C’est un châtiment

de très loin : elle est éternelle et ne vieillit jamais, contrairement à l’homme qui est éphémère. Ainsi, dans le Lac de Lamartine, l’éternité des éléments naturels souligne le pouvoir de permanence de cette même nature. Dans Le Soleil s'est couché, Hugo anticipe sa vieillesse et sa mort. Il est face à cette nature, représentée par le couché du soleil, qui contrairement à lui se renouvelle perpétuellement et échappe à sa mort. En un mot, la nature fournit un cadre privilégié à l’expérience et à l’expression

VICTOR HUGO Ths Do Phuong Mai Khoa Ngon ngu va van hoa Phap Truong DHNN - DHQGHN LA SAISON DES SEMAILLES, LE SOIR C'est le moment crépusculaire. J'admire, assis sous un portail, Ce reste de jour dont s'éclaire La dernière heure du travail.

textes de deux poètes du XIV Victor Hugo et Charles Baudelaire. Dans la strophe une nous remarquons « Enfin libre » au vers 2, ce qui nous soumet l’idée que la fenêtre n’était pas toujours libres. Nous sommes en présence de rimes riches et embrassées. A travers cette strophe l’auteur décrit la situation. Dans la strophe deux, les points de suspension au vers six coupent le vers. Il y a une interruption, une rupture dans le texte. Au vers sept le poète nous parle « des eaux de Cos ». L’île grecque de